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  • Noms de marques & Territoires

    La création de noms de marques territoriales
    par Marie Pastelot, Directeur Général Nalian,
    et Sylvain Blain, Chargé d'étude Nalian,


    Les marques territoriales rythment l’histoire du tourisme

    "Le tourisme participe efficacement à la mondialisation parce qu’il circonscrit et modèle les territoires, les valorise, les fait connaître et parfois les dévalue (C Girault - 2007).
    La problématique des marques dans le secteur du tourisme
    et plus particulièrement celle des marques de territoires
    est un thème fortement stratégique.

    Par le passé, les acteurs du tourisme n’accordaient
    que peu d’intérêt à leurs stratégies de marques.
    Aujourd'hui, les tendances montrent que l’on accorde en France de plus en plus d’importance au marketing territorial.
    Celui-ci constitue un outil de développement d'un territoire.

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    Il est le carrefour entre communication, marketing et stratégie économique. Les collectivités territoriales cherchent à s'entourer de cette compétence. Gérées comme des entreprises,
    les collectivités territoriales disposent de plus en plus
    de « Brands Managers », en charge de gérer les portefeuilles
    de marques.

    La création et le développement d’une marque forte et distinctive est devenu un défi marketing important pour la promotion
    des destinations." (Extrait de l'ouvrage)

    Pour commander cet ouvrage
    Le Guide Permanent du Développeur économique
    www.territorial.fr

    ©Réseau TERRITORIAL - France
    1ère MAISON D'EDITION ET DE PRESSE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

  • Alfa Mi.To : tout est bon, sauf le nom !

    www.motorlegend.com
    14/03/2008

    La vie est pleine de surprises. On l'avait affectueusement – mais bien officieusement – baptisée « Junior », avant qu'Alfa Romeo ne lance un concours sur internet afin de lui trouver un nom définitif. Mais visiblement, le patronyme choisi par les internautes (« Furiosa ») n'était pas du goût du constructeur italien, qui a opté au dernier moment pour un « Mi.To » qui sonne fort mal dans la langue de Molière.

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    Il serait cependant dommage de se laisser rebuter par un nom aussi ridicule. D'abord parce qu'il résulte de la contraction de « Milano-Torino », tirant un trait d'union entre le berceau historique d'Alfa et la Mecque de l'industrie automobile italienne. Ensuite parce que ce « Mi.To » désigne une auto diablement séduisante.

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  • La marque associative : Les composantes et l'impact sur le don

    www.cerphi.org
    15/03/08

    Ces travaux de recherche que viennent de réaliser Géraldine Michel et Sophie Rieunier et publiés par le Cerphi portent sur l’influence de la raison sociale d’une association comme une marque commerciale.

    L’étude porte sur La Croix Rouge, l’AFM – Téléthon, l’UNICEF (qui n’est pas une association, mais qui est perçue ainsi par le grand public), Greenpeace, Handicap International, Médecins Sans Frontières.

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  • «Tecktonik» avait oublié la Suisse

    www.20minutes.fr
    Mardi 4 Mars 2008 - PA

    Le phénomène tecktonik

    On pensait que les fondateurs de la marque «Tecktonik» avaient bétonné leurs droits d'auteur. Surtout en lisant le chat qu'ils ont donné sur 20minutes.fr et dans lequel ils lançaient, «l'Inpi protège même la phonétique d'une marque et faire une soirée Techtonique ou teckmonique, c'est donc pas possible, désolé…»
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    Photo : A. Freindorf - 20 Minutes

    Mais ils ont oublié un petit (et riche) pays dans leur business plan: la Suisse. L’Institut fédéral de la propriété intellectuelle (IFPI) a effectivement accordé les droits de ce terme sur territoire helvétique à deux jeunes Romands, selon 20minutes.ch, et ce «au grand dam de la société française TF1 Entreprises, mandatée pour protéger la marque dans l’Hexagone et ailleurs».

    Comment ont-il fait? Rien de plus simple: «TF1 n’a pas pensé à la Suisse quand elle a déposé la marque pour l’Union européenne», a expliqué au site Jérémy Müller, un des deux jeunes nouveaux propriétaires helvétiques de la marque. Ils ne désirent cependant pas garder le monopole de la marque car, pour eux, «la culture tecktonik appartient à tout le monde».