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noms de marque

  • Thierry Mugler lance WOMANITY

    http://www.influencia.net


    Inviter les femmes à vivre une expérience inédite, surprenante et ludique autour du thème de la féminité : le projet de Thierry Mugler est audacieux, car WOMANITY est...

    womanity.jpg

     ...pour l'instant un espace d'expression et d'échange sur le web, qui invite la gent féminine -mais aussi masculine - à donner sa définition de la WOMANITY, mot déposé par la marque, et à partager sa vision de ce que signifie être une femme aujourd'hui. Pas de parfum Womanity, pas d'eau de toilette Womanity, pas de maquillage WOMANITY ! « Le nom est trop fort pour le réduire à un produit », affirme Joël Palix, président de Clarins Fragrance Group. Osé !


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    par Isabelle Musnik

  • PEPSI change de nom

    www.influencia.net

    Florence Berthier 

    La langue espagnole n'est pas toujours simple...
    La marque de soda en joue et fait fi de son P.  

    Pepsi.jpgDécidément Pepsi Cola est joueur et ne cesse d'innover. Après sa «co-fusion»
    de logo réussie avec les baskets Gourmet (INfluencia du 4 février 2010), le voilà s'amusant - encore une fois - avec la prononciation locale de sa marque.

    Tout est parti d'une campagne menée en Argentine, en 2009,
    où  Fernando Torres, joueur de football, n'arrive pas à dire correctement le deuxième «P» de Pepsi, comme «24,333%»
    de ses compatriotes.

    Enervé après sa 189ème prise ratée, il arrache cette fameuse lettre
    de l'affiche placardée derrière lui et affirme avec fierté au réalisateur vociférant, que chez lui on dit : «Pecsi».

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  • Pepsi et Gourmet «co-fusionnent» leur logo


    Publié le 27 janvier 2010 par Florence Berthier 

    Inhabituel voire innovant : deux marques s'associent pour mieux courir après leur cible.  Un phénomène de "logofusion" des plus rares dans le monde du marketing... Affaire à suivre de très près...

    Pepsi et Gourmet, spécialisée dans la chaussure de sport, se sont associés - à l'initiative de la société conseil Epiphany - pour une édition spéciale de la basket Gourmet UNO. Jusque là rien d'exceptionnel, Emporio Armani et Reebok ont fait la même chose.

    Mais à la différence de ces deux dernières qui se sont contentées de juxtaposer leur nom, les deux marques ont eu l'originalité d'imbriquer leur logo au point d'en créer un, spécifique au modèle.

    actu_638_vignette.jpgEn effet, inscrite largement sur la languette de la chaussure, la marque Gourmet intègre bien un «O» mais sous la forme du fameux globe bleu-blanc-rouge de Pepsi. A part ce code chromatique, aucune autre mention écrite n'est faite.

    Toutefois, toute la chaussure -blanche et très sobre- reprend exactement les couleurs de la canette Pepsi  sur les coutures et les lacets. Destinée à être portée au printemps et en été -d'où l'association logique avec Pepsi, fabricant de boissons rafraîchissantes- elle a été conçue en toile de coton.

    A travers cette initiative, les deux marques créent du lien en impliquant leur clientèle respective et démontrent leur volonté d'aller d'une communauté à une autre. Et tout en s'appropriant les vertus de chacune, la fraîcheur pour Pepsi et la mode pour Gourmet, elles créent l'événement et se rejoignent habilement sur le thème de la reconnaissance sociale.

    Enfin, avec cette paire de baskets potentiellement «collector», c'est aussi l'occasion d'augmenter leur notoriété, d'élargir leur cible et de mener la vie dure à leurs concurrentes et à des  collections aussi très créatives, comme Adidas et Starwars récemment sorties.

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  • Na'vi, la langue d'Avatar

    www.lexpress.to


    Comment vous y prendriez-vous pour inventer une langue?

    Deux personnages du film de James Cameron, Avatar, pour qui une langue a été inventée

    Paul Frommer a étudié bien des langues. Anglophone d’origine, il a même parlé couramment l’hébreu, le perse et le malais. Mais il ne maîtrise pas encore la langue Na’vi. Et pourtant, il l’a inventée!

    Ce linguiste de l’école de commerce Marshall, en Californie du Sud, a été recruté par le cinéaste James Cameron pour inventer la langue des Na’vi, le peuple vedette de son prochain film Avatar.

    Pour choisir les sons parlés par les Na’vi, le linguiste est parti des lettres contenues dans les noms des personnages et des sons que James Cameron avait lui-même en tête.

    «Il voulait une langue fluide et musicale, raconte-t-il. J’ai donc ajouté à ces premiers sons des consonnes éjectives et d’autres sons courts et rebondissants comme ceux qu’on trouve dans les langues africaines ou amérindiennes. Et puis, j’ai inséré des combinaisons de sons étranges.» Comme dans fngap, le mot Na’vi pour métal.

    Des sons, des mots,une grammaire

    Ensuite, il a inventé les mots. «J’ai décidé de leur morphologie: comment se construisent-ils, comment se modifient-ils?» Si habituellement, la terminaison des verbes français se conjugue, les verbes Na’vi eux se conjuguent en leur milieu. Cette conjugaison interne existerait aussi aux Philippines.

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    navi-compendium-french.jpg

  • Azinat.com, ambassadeur du département.

    Sur Internet. Fière de l'Ariège, une équipe lance un label qui met en valeur les spécificités locales.

    www.LaDepeche.fr

    Lancé depuis quelques mois sur Internet, Azinat. com commence à marquer les esprits auprès des Ariégeois d'ici et d'ailleurs. On a pu découvrir le label lors de la nuit blanche du 09/09/09 organisée à Foix par le conseil général et l'Agence de développement touristique du département, lors de la remise des prix du Who's Who « les ambassadeurs de l'Ariège sur le Net ».

    200912270450_w350.jpg

    Certains en ont eu un aperçu sur un T-shirt noir moulant ou ample, ou encore au passage devant la vitrine d'un bar ou d'un restaurant à Foix, Ax-les-Thermes, Laroque d'Olmes, ou encore à Mirepoix. L'azinat est un plat typique des hautes vallées de l'Ariège qui s'accompagne de rouzolle.

    « Nous avons créé cette marque identitaire essentiellement pour valoriser l'idée qu'être Ariégeois d'origine ou de cœur est quelque chose de positif, offrir un peu de fierté d'être ariégeois chez les jeunes générations.

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  • Le changement de nom est un gadget

    Dimanche 27 décembre 2009

    www.nicematin.com

     

    Faut-il changer le nom de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) ?

     

    Le président du conseil régional, le socialiste Michel Vauzelle, a lancé une consultation auprès de la population qui a abouti à la sélection de sept noms (1). S'il était réélu, il a annoncé qu'il consulterait les habitants par référendum.

     

    Que pensez-vous de cette démarche ?

     

    C'est un gadget qui sert la communication tous azimuts de Michel Vauzelle alors que les habitants de la région ont des préoccupations plus importantes. Ils attendent qu'on leur parle de l'emploi, de l'aménagement du territoire, de la formation...

     

    Quel nom préférez-vous malgré tout ?

     

    Je considère que Provence-Alpes-Côte d'Azur résume bien ce que sont nos territoires. Les autres propositions font abstraction de la Côte d'Azur, le terme Méditerranée ne pouvant la remplacer car la réalité n'est pas la même à Marseille et à Nice. Le problème c'est l'abréviation Paca, qu'il vaut mieux ne pas utiliser.

     

    E.N.

     

    Les propositions de noms :

     

    Provence

    Pays de Provence

    Provence-Méditerranée

    Alpes-Méditerranée

    Alpes-Provence

    Provence-Alpes-Méditerannée

    Provence-Alpes-Côte d'Azur

     

    Le point de vue de Dominique Estrosi-Sassone, adjointe au maire de Nice et conseillère régionale sortante, n° 2 sur la liste majorité présidentielle dans les A.-M.

    Par Eric Neri (eneri@nicematin.fr) et avec la participation de nos agences locales.

     

  • Ces marques qui veulent la peau des hommes

    www.lesechos.fr

    Au rayon des produits de beauté, les antirides et anticernes destinés aux hommes pointent leur nez. Les marques mènent des recherches de plus en approfondies et lancent des innovations en cascade. Encore faut-il convaincre les mâles qu'ils en ont vraiment besoin...

    Si la banale mousse à raser ou les lotions après-rasage restent des produits indispensables pour les hommes, les crèmes anti-âge et autres contours des yeux, incontournables pour la majorité des femmes, commencent à coller aux moeurs masculines. Même s'il est difficile d'estimer avec précision ce marché encore naissant.

    Selon les derniers chiffres de la Fédération des entreprises de la beauté (Febea), le taux de pénétration des produits spécifiques à la peau mâle est passé, entre 1997 et 2007, de 0,9 à 2,4 % au rayon des soins cosmétiques en France. En attendant des données plus récentes qui ne seront pas disponibles avant début 2010, on peut considérer que leur poids actuel tourne autour de 5 %, compte tenu des nouveautés lancées en cascade ces deux dernières années.

    Il va sans dire que les marques déploient des trésors d'innovation pour séduire ce potentiel, en théorie énorme. Mais ça ne suffit pas. Car, contrairement à la gent féminine, toujours curieuse des dernières innovations cosmétiques, il faut vraiment pousser les hommes à tester un nouveau produit dont ils ne voient pas, a priori, l'utilité.

    « Pour les convaincre, nous devons être beaucoup plus pragmatiques et pédagogiques », souligne Morgane Jouot, chef de groupe de Nivea for Men, qui génère 27 millions d'euros par an pour les soins du visage - à comparer aux 258 millions d'euros des gammes du groupe destinées aux femmes. Lancé en 1989, son premier produit était un baume après-rasage hydratant suivi, deux ans plus tard, par la première crème de soin apaisante. « On s'est d'abord rattaché à la routine et à la gestuelle masculine, explique Morgane Jouot.

    Ensuite, notre offre s'est développée en adéquation avec l'évolution du comportement masculin. Aujourd'hui, on arrive à avoir des tendances presque simultanées chez l'homme et la femme. » Comme le premier contour des yeux sous forme de « roll-on » (principe similaire au déodorant à bille), que vient de lancer la marque du groupe allemand Beiersdorf.

    Différences biologiques

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  • Les marques françaises sauvées par le luxe

    Une petite nouvelle, Lancôme, et huit habituées dont un seul poids lourd : Louis Vuitton (16e). La relative faiblesse de la présence de la France dans le haut du panier traduit la difficulté de nos marques à devenir globales.

    Neuf sur 100. L'Hexagone parvient à placer neuf de ses fleurons dans le classement des cent marques les plus puissantes du monde. C'est bien. Sauf qu'une fois encore, ce sont les marques du luxe, les Louis Vuitton, Chanel, Hermès, Cartier et Lancôme — un nouvel entrant — qui défendent ses couleurs aux côtés de L'Oréal, Danone, Axa et Moët & Chandon. À noter que Hennessy, victime de la panne du secteur des boissons alcoolisées, notamment du marché asiatique du cognac, sort du classement.

    Faut-il en déduire, qu'en dehors le luxe, les grandes marques françaises peinent à acquérir un statut de marques milliardaires ? Non, bien sûr. La méthodologie de l'étude est sévère et exclut de facto celles qui n'ont pas encore pris pied sur au moins trois continents (voir entretien ci-contre). « Les marques ne naissent pas globales, elles le deviennent en suivant une courbe d'apprentissage », analyse Jean-Baptiste Danet, président d'Interbrand Europe.

    Reste que cette moindre représentativité traduit également certaines faiblesses. « Avant d'être des marques de poids, en chiffre d'affaires, nos grandes marques sont majoritairement des marques d'image. Par ailleurs, notre culture est encore très orientée vers le moyen de gamme. Nous créons donc moins de valeur, ce qui nous pénalise au niveau mondial », avance Georges Lewi, spécialiste des marques et directeur du BEC, Centre européen de la marque. Une culture du moyen de gamme doublée d'une timidité certaine en matière de diversification, il n'en faut guère plus pour limiter l'envol des prétendantes à la globalisation. « Les marques françaises semblent ne pas avoir compris que le monde est entré dans une logique « obamanienne » où le mouvement crée le succès. Elles pensent encore que le public leur en voudra si elles font des bêtises, alors que c'est l'inaction qui est sanctionnée », insiste l'expert en branding.

    L'extension fait peur

    Timorées, voire frileuses, les marques françaises, à l'inverse d'Apple, n'osent pas encore se lancer dans des politiques d'extension qui leur permettraient pourtant d'aborder de nouveaux marchés avec une certaine légitimité. Un exercice dans lequel excellent L'Oréal ou encore Danone dont les résultats, en cette année de crise, sont plus qu'honorables. Avec une progression de sa valeur de 10 %, Danone, malgré ses déboires chinois et son conflit avec son ex-partenaire Wahaha, fait ainsi partie des rares marques dont la valeur progresse de plus de 10 %.

    R. M.

  • best global brands Interbrand 2009 ranking

  • Un norvégien adopte un nom de 62 lettres

    www.nouvelobs.com

    Andreas
    Jankov, un fan de cinéma norvégien, porte maintenant le nom de Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov.

    U
    n norvégien, Andreas Jankov, a choisi de changer de nom, d'après le huffingtonpost. Mais ce chauffeur de bus fan de cinéma n'a pas fait dans la simplicité.

    Son nouveau nom officiel est maintenant Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov. Ce patronyme fait référence à plusieurs films et personnages.

    Du Seigneur des Anneaux à MacGyver

    Julius est le nom d'un chimpanzé célèbre du zoo de Kristiansand, en Norvège.

    Gimli fait référence à l'un des personnages principaux du Seigneur des Anneaux, un nain.

    Arn est un film de chevaliers célèbre dans le pays.

    MacGyver fait bien sur référence au personnage de la série éponyme incarné par Richard Dean Anderson.

    Chewbacka est un hommage au compagnon poilu de Han Solo dans Star wars.

    Highlander se rapporte au film américain de Russell Mulcahy retraçant l'histoire d'immortels s'entretuant et Elessar est une autre référence au Seigneur des Anneaux.

    "Je réfléchissais à ce nom depuis trois ans et il a été approuvé en janvier", a-t-il déclaré. Apparement, il a du laisser de côté "highlander" pour sa carte de crédit et son passeport car sinon son nom aurait été trop long. Le patronyme comporte tout de même 62 lettres

  • "Les extensions personnalisées permettront aux grandes marques d’architecturer la visibilité de leurs sites"

     

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    2ème interview sur les créateurs de marques. Notre invitée : Marie Pastelot, fondatrice et directrice de Nalian, société spécialisée dans la création de marques.

    Pour créer une marque chez Nalian, vous travaillez par territoires d’évocation ? Pouvez-vous nous expliquer comment fonctionne ce principe ?

    Lire la suite de l'interview

     

     

  • Paris en tête d'un sondage sur l'image de marque des villes

    www.lexpress.fr

    SINGAPOUR - Paris se classe en tête d'un sondage publié mercredi sur l'image de marque de 50 grandes villes, devant Sydney et Londres.

    L'indice CBI de l'institut Anholt-GfK Roper "mesure la perception de chaque ville, qui influence les choix sur les endroits où vivre, travailler et partir en vacances", explique son fondateur Simon Anholt.

    2009-06-17T060142Z_01_APAE55G0GQV00_RTROPTP_3_OFRTP-VILLES-SONDAGE-20090617.JPGIl a été calculé en interrogeant près de 10.000 personnes dans vingt pays en fonction de six catégories comme la notoriété, l'environnement, l'intérêt du style de vie ou la possibilité de trouver un emploi ou une école.

    "Alors que Sydney se classe première dans trois catégories, c'est la forte avance de Paris sur Sydney en termes de notoriété et d'animation qui la place en première position", explique le responsable de l'enquête, Xiaoyan Zhao.

    Les dix premières villes sont dans l'ordre Paris, Sydney, Londres, Rome, New York, Barcelone, San Francisco, Los Angeles, Vienne et Madrid. En queue de peloton, on retrouve le port saoudien de Djeddah, Bombay ou Le Caire.

     

     

  • Coca-Cola unifie sa galaxie de sites de marques

    Mardi 21 avril 2009
    www.journaldunet.com

    Coca-Cola propose en France une nouvelle plate-forme de marque au travers du site Coca-cola.fr.

    Ce dernier réunit dorénavant les sites de Coca-Cola, Coca-Cola light et Coca-Cola Zéro.

    coca.jpg

    Sa refonte a été entreprise par l'agence Fullsix afin de mettre en évidence les valeurs communes aux trois gammes de la marque tout en respectant leur identité propre.

    Cette nouvelle version du site met aussi en avant les actualités de la marque et de ses gammes et devrait bientôt mettre l'accent sur les contenus issus de partenariats.

  • Réseaux sociaux : usurper une identité n'est pas un délit en France

    Multimédia
    ZDNet.fr/

    Juridique
    Comme « sur Internet, personne ne sait que vous êtes un chien », selon un axiome célèbre, il n'est pas rare dans des sites de réseaux sociaux ou autres du Web 2.0 que des internautes empruntent une autre identité : le cas s'est produit à plusieurs reprises, en particulier sur Facebook, des politiques (Alain Juppé, le maire de Tournai) aux sportifs (le footballeur de la Juventus de Turin Alessandro Del Piero il y a quelques jours), en passant par un frère du roi du Maroc.

    Que se passe-t-il dans une telle situation ?
    Dans le cas de Facebook, l'intéressé ou un de ses représentants (agent, juriste...) saisit le site qui efface le profil litigieux, mais quid des cas limites - quand il y a un doute sur le titulaire réel d'une identité sur le site, ou quand la personne « copiée » n'est pas une célébrité ayant les moyens de recourir à un avocat ? Facebook n'a pas répondu à nos questions à ce sujet. Reste à voir si la montée de ce genre d'affaires permettra au site de continuer à gérer au fil de l'eau la question.

    Dans Wikipédia, vérification et éventuel renommage

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  • Dominique Leguern: "L'artiste est une marque"

    www.lexpress.fr

    MIDEM 2009
    Par Gilles Médioni, publié le 17/01/2009 09:00

    Le MidemNetForum s'ouvre ce samedi 17 janvier, quelques heures avant le 43eMidem qui aura lieu du 18 au 21 janvier. A cette occasion, Dominique Leguern, directrice de la manifestation nous parle des nouveaux virages du marché du disque.

    Le Midem est raccourci d'une journée. Encore un signe de crise économique?

    Il y a quand même 400 exposants... Ceci dit la montée en puissance du digital n'a toujours pas compensé les pertes de ventes de disques qui devraient encore accuser une baisse de 12%. Les fabricants, les presseurs de CD, les distributeurs physiques et certains labels ont disparu. L'industrie du jeu vidéo et celle du dvd sont touchées par les faillites des Megastores notamment à Londres.

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  • "Sarkozy, une marque engagée."

    www.challenges.fr
    07.06.2007

    Pour le directeur général de Havas, Nicolas Sarkozy
    est une vraie marque qui véhicule plusieurs messages.
    Contrecoup d'une communication aussi forte :
    une obligation de résultats.

    Footing avec le Premier ministre, baiser à Cécilia,
    déjeuner à la cantine d'EADS...
    Nicolas Sarkozy affiche une présidence « en rupture ».
    Selon Opinion-Way-Le Figaro-LCI, 91 % des Français
    jugent « dynamique » le style Sarkozy,
    85 % « moderne » et 52 %... « tape-à-l'oeil » .
    medium_0083_interview.jpg
    Stéphane Fouks, directeur général de Havas,
    et conseiller politique - pour le PS notamment -, livre son analyse.
    Avec Nicolas Sarkozy, c'est le règne du marketing politique... ou de la politique « ultra-marketée »?
    Les deux, dès lors que, chez lui, la forme ne se distingue jamais du fond.
    Dès le départ, Nicolas Sarkozy, dans son contenu et sa communication, est une marque.

    Depuis son arrivée à l'Elysée, cette marque véhicule plusieurs messages.
    D'abord, celui d'une « hyper-présidence », omniprésente, énergique, et en rupture.
    La volonté, ensuite, de transgresser les frontières par rapport à l'idéologie de son camp - on le voit dans la composition de son gouvernement.

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  • Une certification pour protéger l'Île d'Orléans

    www.cyberpresse.ca
    Le jeudi 29 mars 2007
    Anne Desjardins
    Le Soleil
    Collaboration spéciale

    Une grande première : l’île d’Orléans verra le nom de son territoire protégé par la marque de certification Savoir-faire île d’Orléans.

    L’idée a été développée par un comité de démarrage composé de représentants de l’Union des producteurs agricoles (UPA), du Centre local de développement (CLD) de l’île d’Orléans et de la Chambre de commerce locale, qui a planché pendant deux ans sur le projet.

    L’annonce en a été faite hier à l’Auberge du Canard huppé, en présence de Laurent Pellerin, président de l’UPA, de producteurs et de gens du milieu de l’hôtellerie et de la restauration. Le but est limpide : protéger non seulement des produits et services, mais aussi un savoir-faire identifié à cette région très populaire sur les plans touristique autant qu’agroalimentaire.
    medium_bilde.jpg
    Daniel Pouliot, président du comité de démarrage de la certification Savoir-faire île d’Orléans, présente le logo qui marquera les produits provenant de l’île.
    Photo Le Soleil, Patrice Laroche

    « Des fraises de l’île d’Orléans disponibles à Montréal au début juin, on en a vu souvent parce que c’est une image de marque vendeuse, alors qu’à l’île, ça n’existe pas », raille le producteur maraîcher Daniel Pouliot, président du comité de démarrage de la certification Savoir-faire île d’Orléans.

    Au départ, le comité voulait se lancer dans la création d’une appellation d’origine, comme pour l’agneau de Charlevoix. « Mais on s’est vite rendu compte que notre désir de protéger l’ensemble de notre région, autant le territoire que le savoir-faire, nous empêchait de recourir à ce système et qu’il fallait opter pour une certification régie par l’Office de la propriété intellectuelle du Canada (OPIC) plutôt que pour une marque de commerce. »

    C’est le Bureau de normalisation du Québec (BNQ) qui va apporter son expertise au comité de certification Savoir-faire île d’Orléans pour créer quatre cahiers de charges différents qui couvriront tous les secteurs : production agricole, produits transformés, services, arts et culture.

    Une première au Canada

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  • La marque...pourquoi et comment ?

    Vient de paraître !

    La Revue de l'APM (Association Progrès du Management)
    Numéro 59 - Décembre 2006

    medium_apm-logo.gif

    La marque...pourquoi et comment ?

    - Les marques, phénomène de société, par Jean-Noël Kapferer
    - Les fonctions stratégiques de la marque, par Bruno Jarrosson
    - La valeur financière de la marque, 3 questions à Pierre Breese
    - A vos marques...prêts ?, par Pierre-Louis Desprez
    - Qu'est qu'une marque ?, par Georges Lewi
    - Six règles d'or pour gérer sa marque, par Gérald Bédat
    - Le nom de marque : pourquoi et comment ?, par Marie Pastelot

    Expériences :
    La marque écrite au stylo Pilot
    Playmobil : marque et innovation
    Nocibé : distributeur, marque - enseigne ou marque ?
    Cure de jouvence à la Foire de paris

  • Le néo-marketing et les défis de la marque

    Mardi 5 décembre 2006
    IAE Université Lyon 3 - Espace Malraux, Manufacture des Tabacs.
    http://iae.univ-lyon3.fr

    Le nouveau marketing contribue-t-il à créer les marques de demain ?

    1ère journée du marketing de l'IAE organisée par l'Association MUST, des étudiants et diplômés du Programme de Master Marketing et Vente
    medium_img_1161587503169.2.jpg
    Les professionnels et les étudiants se donnent rendez-vous pour débattre et discuter des tendances stratégiques qui feront les marque à venir. Les conférences suivies de tables rondes seront de véritables instants d'échange, de partage de savoirs et d'expériences.

    Le pré-programme :

    9h00 : Accueil et petit déjeuner
    9h30 : Présentation et Ouverture de la Journée avec Gilles Guyot, Directeur de l'Institut d'Administration des Entreprises (IAE), et Valérie Girard, Responsable du Master en Administration des Affaires et du programme Marketing et Vente.
    Cette journée est organisée par le MUST (Marketing Unit and Sales Team) qui sera représentée par les étudiants et les jeunes diplômés responsables de l'association.

    10h00 : 1ère Conférence : «Le Marketing du réel et les tendances de demain» par : Brigitte Gentil, Maître de Conférences à l'IAE, Chercheur / Consultant

    10h30 : Table ronde : « Le marketing de la réalité face aux tendances de demain » Animatrices : Brigitte Gentil et Corinne Montoya, Enseignante à l'IAE

    Appropriation de la posture d'Intelligence Economique : par Daniel Tartonne, Dirigeant, Associé, AFGARD Management

    Réseaux et Alliances, par le Directeur Marketing de l'Aéroport de Lyon Saint Exupéry /CCI et CRCI par Blandine Peillon, Directrice de l'agence Charlestown Lyon, Groupe ISS Accueil et Services

    Mondialisation et Territoires par Pierre Luthereau, Directeur de l'aménagement de la Cité Internationale du Grand Lyon

    Propriété Intellectuelle et Valorisation de la Marque par Antoine Rety, Délégué Régional de l'INPI Rhône Alpes

    (12h00 : Pause déjeuner)

    14h00 : 2ème Conférence : «Comment la marque prend elle en compte les tendances de demain ?» par Marie Pastelot (NALIAN, ex Nomen)

    14h45 : 2ème Table ronde : « La marque en Business to Business : Quelles tendances ? » Animatrice : Marie-Hélène Thoraval, Consultant et Intervenant à l'IAE

    La valeur de la marque en BTP par Laurent Foucaud, Président Directeur Général d'Intequedis,
    Jean Christophe Vauquières, Adjoint au directeur commercial d'Alptis Assurances

    Positionner visuellement sa marque en B to B
    - Un partage culturel
    par Samuel Bernier, Gérant Designer de Cultivescence

    Rapprochements, Acquisitions, Alliances : Quelles évolutions de la marque ? par Pierre Dianteill, Directeur Marketing, Société Cegid

    Extension de la valorisation de la marque à l'étranger par Céline Couroux, INPI

    15h45 : 3ème Table ronde « La marque territoriale : Comment construire une stratégie ?»
    Animation et introduction de la table ronde : Valérie Girard, Maître de Conférences à l'IAE de Lyon


    Le Grand Lyon : une Marque de demain ? par Jack Dumont,
    Directeur de la communication du Grand Lyon

    Le Beaujolais : Terroirs et Mondialisation par Franck Duboeuf,
    Directeur Marketing société Georges Duboeuf ou son représentant ainsi que Michel Deflache,
    Directeur de l'Interbeaujolais.

    Synthèse de la journée présentée par Anass Nidam,
    Maître de Conférences à l'IAE, et un Manager/Marketeur.

    17h00 : Cocktail offert par l'IAE au Salon des Symboles

    Renseignements pratiques : Institut d'Administration des Entreprises

    Lieu : IAE de Lyon
    Site universitaire de la Manufacture des Tabacs
    16 rue du Professeur Rollet
    69008 Lyon

    plan d'accès
    Responsable : Marie ROLAND, Association MUST
    rollandmarie@gmail.com
    Type : Conférence, Colloque / Séminaire

  • Marques : le Paris SG, Lille et Lyon vont assigner des sociétés de paris

    www.tsr.ch
    22.11.2006 16:11

    Le Paris SG, Lille et Lyon, ont annoncé mercredi leur intention d'assigner en justice les principales sociétés de paris sur internet, qui, selon eux, utilisent sans autorisation leurs marques, les noms et les photos de leurs joueurs sur leurs sites internet.

    "L'Olympique Lyonnais, le LOSC et le PSG vont assigner, en France et en Belgique, les principales sociétés de paris sur internet, parmi lesquelles figurent notamment Bwin, Expekt et Unibet", annonce les trois clubs dans un communiqué commun.

    Les trois club expliquent vouloir "faire cesser les atteintes à leurs marques (ainsi parfois qu'au droit au nom et à l'image de leurs employés) causées par ces sociétés de paris sur internet". Selon eux, ces sociétés, "afin (...) de rendre leurs sites attractifs (...), utilisent sans autorisation les marques des clubs, voire les noms et photos de certains de leurs joueurs, revêtus des maillots des clubs."

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