Comment vous y prendriez-vous pour inventer une langue?
Deux personnages du film de James Cameron, Avatar, pour qui une langue a été inventée
Paul Frommer a étudié bien des langues. Anglophone d’origine, il a même parlé couramment l’hébreu, le perse et le malais. Mais il ne maîtrise pas encore la langue Na’vi. Et pourtant, il l’a inventée!
Ce linguiste de l’école de commerce Marshall, en Californie du Sud, a été recruté par le cinéaste James Cameron pour inventer la langue des Na’vi, le peuple vedette de son prochain film Avatar.
Pour choisir les sons parlés par les Na’vi, le linguiste est parti des lettres contenues dans les noms des personnages et des sons que James Cameron avait lui-même en tête.
«Il voulait une langue fluide et musicale, raconte-t-il. J’ai donc ajouté à ces premiers sons des consonnes éjectives et d’autres sons courts et rebondissants comme ceux qu’on trouve dans les langues africaines ou amérindiennes. Et puis, j’ai inséré des combinaisons de sons étranges.» Comme dans fngap, le mot Na’vi pour métal.
Des sons, des mots,une grammaire
Ensuite, il a inventé les mots. «J’ai décidé de leur morphologie: comment se construisent-ils, comment se modifient-ils?» Si habituellement, la terminaison des verbes français se conjugue, les verbes Na’vi eux se conjuguent en leur milieu. Cette conjugaison interne existerait aussi aux Philippines.
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createur de noms
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Na'vi, la langue d'Avatar
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Les marques françaises sauvées par le luxe
Une petite nouvelle, Lancôme, et huit habituées dont un seul poids lourd : Louis Vuitton (16e). La relative faiblesse de la présence de la France dans le haut du panier traduit la difficulté de nos marques à devenir globales.
Neuf sur 100. L'Hexagone parvient à placer neuf de ses fleurons dans le classement des cent marques les plus puissantes du monde. C'est bien. Sauf qu'une fois encore, ce sont les marques du luxe, les Louis Vuitton, Chanel, Hermès, Cartier et Lancôme — un nouvel entrant — qui défendent ses couleurs aux côtés de L'Oréal, Danone, Axa et Moët & Chandon. À noter que Hennessy, victime de la panne du secteur des boissons alcoolisées, notamment du marché asiatique du cognac, sort du classement.
Faut-il en déduire, qu'en dehors le luxe, les grandes marques françaises peinent à acquérir un statut de marques milliardaires ? Non, bien sûr. La méthodologie de l'étude est sévère et exclut de facto celles qui n'ont pas encore pris pied sur au moins trois continents (voir entretien ci-contre). « Les marques ne naissent pas globales, elles le deviennent en suivant une courbe d'apprentissage », analyse Jean-Baptiste Danet, président d'Interbrand Europe.
Reste que cette moindre représentativité traduit également certaines faiblesses. « Avant d'être des marques de poids, en chiffre d'affaires, nos grandes marques sont majoritairement des marques d'image. Par ailleurs, notre culture est encore très orientée vers le moyen de gamme. Nous créons donc moins de valeur, ce qui nous pénalise au niveau mondial », avance Georges Lewi, spécialiste des marques et directeur du BEC, Centre européen de la marque. Une culture du moyen de gamme doublée d'une timidité certaine en matière de diversification, il n'en faut guère plus pour limiter l'envol des prétendantes à la globalisation. « Les marques françaises semblent ne pas avoir compris que le monde est entré dans une logique « obamanienne » où le mouvement crée le succès. Elles pensent encore que le public leur en voudra si elles font des bêtises, alors que c'est l'inaction qui est sanctionnée », insiste l'expert en branding.
L'extension fait peur
Timorées, voire frileuses, les marques françaises, à l'inverse d'Apple, n'osent pas encore se lancer dans des politiques d'extension qui leur permettraient pourtant d'aborder de nouveaux marchés avec une certaine légitimité. Un exercice dans lequel excellent L'Oréal ou encore Danone dont les résultats, en cette année de crise, sont plus qu'honorables. Avec une progression de sa valeur de 10 %, Danone, malgré ses déboires chinois et son conflit avec son ex-partenaire Wahaha, fait ainsi partie des rares marques dont la valeur progresse de plus de 10 %.
R. M. -
best global brands Interbrand 2009 ranking
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Un norvégien adopte un nom de 62 lettres
www.nouvelobs.com
Andreas Jankov, un fan de cinéma norvégien, porte maintenant le nom de Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov.
Un norvégien, Andreas Jankov, a choisi de changer de nom, d'après le huffingtonpost. Mais ce chauffeur de bus fan de cinéma n'a pas fait dans la simplicité.
Son nouveau nom officiel est maintenant Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov. Ce patronyme fait référence à plusieurs films et personnages.
Du Seigneur des Anneaux à MacGyver
Julius est le nom d'un chimpanzé célèbre du zoo de Kristiansand, en Norvège.
Gimli fait référence à l'un des personnages principaux du Seigneur des Anneaux, un nain.
Arn est un film de chevaliers célèbre dans le pays.
MacGyver fait bien sur référence au personnage de la série éponyme incarné par Richard Dean Anderson.
Chewbacka est un hommage au compagnon poilu de Han Solo dans Star wars.
Highlander se rapporte au film américain de Russell Mulcahy retraçant l'histoire d'immortels s'entretuant et Elessar est une autre référence au Seigneur des Anneaux.
"Je réfléchissais à ce nom depuis trois ans et il a été approuvé en janvier", a-t-il déclaré. Apparement, il a du laisser de côté "highlander" pour sa carte de crédit et son passeport car sinon son nom aurait été trop long. Le patronyme comporte tout de même 62 lettres -
Coca-Cola unifie sa galaxie de sites de marques
Mardi 21 avril 2009
www.journaldunet.com
Coca-Cola propose en France une nouvelle plate-forme de marque au travers du site Coca-cola.fr.
Ce dernier réunit dorénavant les sites de Coca-Cola, Coca-Cola light et Coca-Cola Zéro.
Sa refonte a été entreprise par l'agence Fullsix afin de mettre en évidence les valeurs communes aux trois gammes de la marque tout en respectant leur identité propre.
Cette nouvelle version du site met aussi en avant les actualités de la marque et de ses gammes et devrait bientôt mettre l'accent sur les contenus issus de partenariats. -
Une certification pour protéger l'Île d'Orléans
www.cyberpresse.ca
Le jeudi 29 mars 2007
Anne Desjardins
Le Soleil
Collaboration spéciale
Une grande première : l’île d’Orléans verra le nom de son territoire protégé par la marque de certification Savoir-faire île d’Orléans.
L’idée a été développée par un comité de démarrage composé de représentants de l’Union des producteurs agricoles (UPA), du Centre local de développement (CLD) de l’île d’Orléans et de la Chambre de commerce locale, qui a planché pendant deux ans sur le projet.
L’annonce en a été faite hier à l’Auberge du Canard huppé, en présence de Laurent Pellerin, président de l’UPA, de producteurs et de gens du milieu de l’hôtellerie et de la restauration. Le but est limpide : protéger non seulement des produits et services, mais aussi un savoir-faire identifié à cette région très populaire sur les plans touristique autant qu’agroalimentaire.
Daniel Pouliot, président du comité de démarrage de la certification Savoir-faire île d’Orléans, présente le logo qui marquera les produits provenant de l’île.
Photo Le Soleil, Patrice Laroche
« Des fraises de l’île d’Orléans disponibles à Montréal au début juin, on en a vu souvent parce que c’est une image de marque vendeuse, alors qu’à l’île, ça n’existe pas », raille le producteur maraîcher Daniel Pouliot, président du comité de démarrage de la certification Savoir-faire île d’Orléans.
Au départ, le comité voulait se lancer dans la création d’une appellation d’origine, comme pour l’agneau de Charlevoix. « Mais on s’est vite rendu compte que notre désir de protéger l’ensemble de notre région, autant le territoire que le savoir-faire, nous empêchait de recourir à ce système et qu’il fallait opter pour une certification régie par l’Office de la propriété intellectuelle du Canada (OPIC) plutôt que pour une marque de commerce. »
C’est le Bureau de normalisation du Québec (BNQ) qui va apporter son expertise au comité de certification Savoir-faire île d’Orléans pour créer quatre cahiers de charges différents qui couvriront tous les secteurs : production agricole, produits transformés, services, arts et culture.
Une première au Canada
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La marque...pourquoi et comment ?
Vient de paraître !
La Revue de l'APM (Association Progrès du Management)
Numéro 59 - Décembre 2006
La marque...pourquoi et comment ?
- Les marques, phénomène de société, par Jean-Noël Kapferer
- Les fonctions stratégiques de la marque, par Bruno Jarrosson
- La valeur financière de la marque, 3 questions à Pierre Breese
- A vos marques...prêts ?, par Pierre-Louis Desprez
- Qu'est qu'une marque ?, par Georges Lewi
- Six règles d'or pour gérer sa marque, par Gérald Bédat
- Le nom de marque : pourquoi et comment ?, par Marie Pastelot
Expériences :
La marque écrite au stylo Pilot
Playmobil : marque et innovation
Nocibé : distributeur, marque - enseigne ou marque ?
Cure de jouvence à la Foire de paris -
Le néo-marketing et les défis de la marque
Mardi 5 décembre 2006
IAE Université Lyon 3 - Espace Malraux, Manufacture des Tabacs.
http://iae.univ-lyon3.fr
Le nouveau marketing contribue-t-il à créer les marques de demain ?
1ère journée du marketing de l'IAE organisée par l'Association MUST, des étudiants et diplômés du Programme de Master Marketing et Vente
Les professionnels et les étudiants se donnent rendez-vous pour débattre et discuter des tendances stratégiques qui feront les marque à venir. Les conférences suivies de tables rondes seront de véritables instants d'échange, de partage de savoirs et d'expériences.
Le pré-programme :
9h00 : Accueil et petit déjeuner
9h30 : Présentation et Ouverture de la Journée avec Gilles Guyot, Directeur de l'Institut d'Administration des Entreprises (IAE), et Valérie Girard, Responsable du Master en Administration des Affaires et du programme Marketing et Vente.
Cette journée est organisée par le MUST (Marketing Unit and Sales Team) qui sera représentée par les étudiants et les jeunes diplômés responsables de l'association.
10h00 : 1ère Conférence : «Le Marketing du réel et les tendances de demain» par : Brigitte Gentil, Maître de Conférences à l'IAE, Chercheur / Consultant
10h30 : Table ronde : « Le marketing de la réalité face aux tendances de demain » Animatrices : Brigitte Gentil et Corinne Montoya, Enseignante à l'IAE
Appropriation de la posture d'Intelligence Economique : par Daniel Tartonne, Dirigeant, Associé, AFGARD Management
Réseaux et Alliances, par le Directeur Marketing de l'Aéroport de Lyon Saint Exupéry /CCI et CRCI par Blandine Peillon, Directrice de l'agence Charlestown Lyon, Groupe ISS Accueil et Services
Mondialisation et Territoires par Pierre Luthereau, Directeur de l'aménagement de la Cité Internationale du Grand Lyon
Propriété Intellectuelle et Valorisation de la Marque par Antoine Rety, Délégué Régional de l'INPI Rhône Alpes
(12h00 : Pause déjeuner)
14h00 : 2ème Conférence : «Comment la marque prend elle en compte les tendances de demain ?» par Marie Pastelot (NALIAN, ex Nomen)
14h45 : 2ème Table ronde : « La marque en Business to Business : Quelles tendances ? » Animatrice : Marie-Hélène Thoraval, Consultant et Intervenant à l'IAE
La valeur de la marque en BTP par Laurent Foucaud, Président Directeur Général d'Intequedis,
Jean Christophe Vauquières, Adjoint au directeur commercial d'Alptis Assurances
Positionner visuellement sa marque en B to B
- Un partage culturel par Samuel Bernier, Gérant Designer de Cultivescence
Rapprochements, Acquisitions, Alliances : Quelles évolutions de la marque ? par Pierre Dianteill, Directeur Marketing, Société Cegid
Extension de la valorisation de la marque à l'étranger par Céline Couroux, INPI
15h45 : 3ème Table ronde « La marque territoriale : Comment construire une stratégie ?»
Animation et introduction de la table ronde : Valérie Girard, Maître de Conférences à l'IAE de Lyon
Le Grand Lyon : une Marque de demain ? par Jack Dumont,
Directeur de la communication du Grand Lyon
Le Beaujolais : Terroirs et Mondialisation par Franck Duboeuf,
Directeur Marketing société Georges Duboeuf ou son représentant ainsi que Michel Deflache,
Directeur de l'Interbeaujolais.
Synthèse de la journée présentée par Anass Nidam,
Maître de Conférences à l'IAE, et un Manager/Marketeur.
17h00 : Cocktail offert par l'IAE au Salon des Symboles
Renseignements pratiques : Institut d'Administration des Entreprises
Lieu : IAE de Lyon
Site universitaire de la Manufacture des Tabacs
16 rue du Professeur Rollet
69008 Lyon
plan d'accès
Responsable : Marie ROLAND, Association MUST
rollandmarie@gmail.com
Type : Conférence, Colloque / Séminaire -
Marques : le Paris SG, Lille et Lyon vont assigner des sociétés de paris
www.tsr.ch
22.11.2006 16:11
Le Paris SG, Lille et Lyon, ont annoncé mercredi leur intention d'assigner en justice les principales sociétés de paris sur internet, qui, selon eux, utilisent sans autorisation leurs marques, les noms et les photos de leurs joueurs sur leurs sites internet.
"L'Olympique Lyonnais, le LOSC et le PSG vont assigner, en France et en Belgique, les principales sociétés de paris sur internet, parmi lesquelles figurent notamment Bwin, Expekt et Unibet", annonce les trois clubs dans un communiqué commun.
Les trois club expliquent vouloir "faire cesser les atteintes à leurs marques (ainsi parfois qu'au droit au nom et à l'image de leurs employés) causées par ces sociétés de paris sur internet". Selon eux, ces sociétés, "afin (...) de rendre leurs sites attractifs (...), utilisent sans autorisation les marques des clubs, voire les noms et photos de certains de leurs joueurs, revêtus des maillots des clubs."
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Star Airlines prête à changer de nom
www.lechotouristique.com
14/11/2006
@ La rédaction de L'Echo Touristique
La compagnie charter devrait se rebaptiser "XL Airways France", une nouvelle appellation logique depuis la reprise de Star Airlines par XL Leisure Group, dont le fer de lance en Grande-Bretagne est Excel Airways.
Le 22 novembre prochain, Star Airlines devrait annoncer un changement de marque commerciale pour devenir "XL Airways France". La direction de la compagnie se refuse à tout commentaire mais le site internet de l'Institut National de la Propriété Industrielle (INPI) laisse apparaître le dépôt de cette nouvelle marque par Star Airlines.
Un nom qui serait somme toute tout à fait logique, après le rachat récent de Star Airlines par le Britannique XL Leisure Group, ancienne filiale d'Avion Group, dont le fer de lance en Grande-Bretagne est la compagnie aérienne Excel Airways. -
Le homard sauce basquaise ou 100 départements en quête de numéros
www.legalbiznext.com
par Claire Simonin, Avocat
Publication : jeudi 23 novembre 2006.
Le 23 mai 2006, le Tribunal de grande instance de Toulouse a rendu un jugement en matière de droit des marques dont on ne peut que déplorer la motivation bien succincte compte tenu de sa lourde portée, cette décision, frappée d’appel, ayant ouvert une boîte de Pandore que législateur et magistrats auront peut-être quelque mal à refermer.
Dans cette affaire, une société basque Bil Toki, qui a acquis dans le sud-ouest de la France une notoriété certaine en exploitant la marque 64 -symbole du département des Pyrénées-Atlantiques- sur différents produits et notamment des T-shirts, a déposé comme marques plusieurs autres numéros de départements français et singulièrement le numéro 29 symbole du Finistère.
D’après les termes quelque peu surprenants du jugement, la société demanderesse, forte du succès de la marque 64, « a [en effet] cherché à [le] renouveler (...) et à préserver d’autres opérations commerciales analogues en déposant d’autres marques composées des codes départementaux de régions à fortes identités culturelles constituant autant de marchés potentiels générateurs de profits », et a donc déposé les numéros des départements bretons, en ce compris celui du Finistère, en visant manifestement toujours les produits vestimentaires de la classe 25.
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Tatouage : Quand le corps trouve ses marques
fluctuat.net
Posté par Maxence le 20.11.06
Commençons cette petite histoire de l'art charnel par le début, son histoire justement.
Tout le monde le sait aujourd'hui, le tatouage est pratiqué depuis la plus haute antiquité. Tous les peuples, ou presque, ont donné dans cet art dit "primitif".
On a retrouvé des traces de ces décorations corporelles dans l'Europe antique (les Celtes en particulier), en Asie (en Chine et au Japon), en Amérique du Nord (chez les amérindiens), en Amérique du Sud (les Mayas, les Incas...), en Afrique (les peuples Berbères, les Lybiens, les Egyptiens...) mais aussi dans l'Arctique (les Eskimos, les Inuits partiquaient aussi le tatouage) et bien sûr dans les îles du pacifiques (Polynésie, Micronésie...).
A toutes les époques et sur tous les continents, le tatouage a servi de marques d'identification.
Des "papiers d'identités" à même la peau en quelque sorte ! Pourtant, ces marques relevaient parfois du mépris et de l'avilissement. Comme ces esclaves de l'Antiquité dont on tatouait le front, ou les hérétiques et les blasphémateurs du Moyen-âge que l'on marquait au fer (une pratique aujourd'hui à la mode, pour des raisons esthétique : le branding, littéralement le "marquage") ou les prostituées kurdes en Turquie qui étaient tatouées pour ne plus pouvoir échapper à leurs souteneurs.
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Démantèlement d’un réseau de contrefaçons de parfums
www.culturefemme.com
Posté par Mwana le 23/11/2006
Il s’agissait de contrefaçons de parfums de marques prestigieuses revendues sur des marchés ambulants du Var.
5 personnes, dont 4 hommes et une femme, ont été interpellées et placées en garde à vue à Hyères dans le Var.
Après la découverte sur des marchés ambulants de la région de fausses bouteilles de parfum, une enquête avait été ouverte, et une instruction pour « contrefaçon » entamée au tribunal de Toulon.
Dans un laboratoire installé dans un pavillon, les faussaires mélangeaient des essences essentielles à de l’eau de Cologne, avant d’utiliser des flacons similaires à ceux des grandes marques. Les faux étaient revendus à moins de 10 euros sur les marchés ambulants. ©Culturefemme.com -
Labels et AOC au sud de l'Allemagne
agrihebdo/journal
Parution semaine 46, 2006
Même si les signes de qualité et d'origine AOC relèvent d'une tradition latine et méditerranéenne, l'Allemagne s'y intéresse aussi pour essayer de profiler certains de ses produits agroalimentaires.
Mettre le cap au nord pour aller découvrir des produits AOC (appellation d'origine contrôlée) et IGP (indication géographique protégée), voilà qui titille la curiosité. En général, AOC et IGP sont associées à la France, à l'Italie, et d'une manière plus générale aux pays du sud de l'Europe.
La Suisse, qui regroupe les deux cultures, latine et germanophone, met en évidence cette disparité :
chez les Romands, les AOC et IGP fleurissent, tandis qu'en Suisse allemande, elles sont encore confidentielles, se résumant à quelques produits comme le Sbrinz, le Reintaler Ribelmais, etc.
Qu'à cela ne tienne, en Allemagne, les AOC et IGP existent et font partie des instruments utilisés pour mettre en valeur des produits régionaux.
Cette orientation est relativement nouvelle, elle découle de la création de l'Union européenne et de la Politique agricole commune.
Au total, 67 AOC et IGP allemandes sont enregistrées à Bruxelles, dont 31 eaux minérales naturelles
et eaux de source ainsi que douze sortes de bière. Les produits agroalimentaires sont peu nombreux :
quatre fromages, une dizaine de produits carnés, du raifort et des cornichons, quelques spécialités de boulangerie, deux poissons et une huile de lin.
l'emmental allemand
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La Redoute signe ses produits de son nom
www.lsa.fr
Olivier Bitoun
23/11/2006
La nouvelle griffe textile La Redoute Création s'impose dans la collection printemps-été 2007. Cette signature apparue timidement sur la saison automne-hiver 2006, vise à faire le lien entre les produits et l'enseigne.
« Bon nombre de nos clients ne savent pas que plus de 80 % des vêtements vendus par La Redoute sont des marques propres », explique Elisabeth Cazorla, la directrice habillement de La Redoute que LSA a rencontré aujourd'hui lors de la présentation de la collection printemps-été 2007.
Le véadiste, filiale de Redcats (La Redoute, Cyrillus, Vertbaudet, Daxon...), a décidé de se mettre en avant. La marque La Redoute Création prendra progressivement la place des boutiques et labels multiples qui nommaient différentes gammes dans le catalogue.
Créée par les bureaux de style de La Redoute, elle se présente comme une marque de mode. La nouvelle signature apparaîtra aussi bien sur les vêtements femmes, hommes et une partie de l'enfant.
En terme de positionnement prix, La Redoute Création occupe le coeur de gamme, un segment qu'elle partage avec La Redoute Essentiels et La Redoute Best, deux autres marques également rattachées sans équivoque à l'enseigne. Ces trois gammes représenteront environ 30 % de l'offre textile vendue à La Redoute.
Dans cette nouvelle architecture de l'offre des marques propres, l'entrée de gamme reste occupée par la collection baptisée Prix Mini. A l'autre extrémité, les marques propres telles Soft Grey, Active Wear, Laura Clément et Unité La Redoute continueront de signer les collections plus qualitatives et plus chères. -
Comment les couteliers ont perdu la marque Laguiole?
www.20min.ch
Giuseppe Melillo
Depuis qu’ils ne peuvent plus utiliser leur marque, les couteliers français de Laguiole se lancent dans le monde du luxe et du bijou.
Des couteaux Laguiole vendus de 1200 euros (1900 fr.) ou 5000 euros (7900 fr.) ?
Comment expliquer ce positionnement haut de gamme pour une lame habituellement vendues une centaine de francs ?
«Dandys et collectionneurs aiment une lame en damas, acier plié à l’ancienne, ou un manche de phacochère, un cochon sauvage fossile, réalisé en petite série par un artisan», confie Brigitte Nourrisson, gérante de la boutique Laguiole sur Internet.
Les couteliers s’aventurent dans le luxe aussi parce qu’ils ont l’interdiction d’user du nom de leur village de Laguiole pour griffer des dérivés.
Pour tous les autres produits que le couteau, la griffe appartient à l’homme d’affaires Gilbert Szajner qui a déposé la marque Laguiole TM en 1992. Les couteliers l’ont attaqué en justie, mais ils ont tout perdu dans ce procès qui s’est terminé en 2001.
Le tribunal reconnaît les droits de Gilbert Szajner.
Aujourd’hui, sa société, Laguiole SA, touche 800 000 euros
(1,2 millions de francs) en royalties par an pour la vente de briquets, stylos, vin, parfums, montres, vêtements, lunettes, vaisselle, lave-vaisselle et même 4x4.
Les juges décident en outre que la marque Laguiole ne peut pas être déposée pour le couteau, une centaine de fabricants se partageant l’appellation. Du coup, les couteliers pakistanais et indiens peuvent vendre en toute légalité des couteaux Laguiole à prix cassés. -
Darjeeling.fr : premier cas de rejet dans le cadre d’une PARL
www.mailclub.info
Le 24/11/2006 par Benjamin Vitasse
En introduisant une PARL le 20 juin 2006 (procédure alternative de résolution des litiges du .fr et .re) l’établissement public indien Tea Board a tenté de récupérer les noms de domaine
« darjeeling.fr » et « darjeeling.tm.fr » enregistrés par la célèbre marque française de sous vêtements féminins du même nom.
Le requérant est l’établissement public indien Tea Board, crée pour la promotion du thé notamment celui produit dans la région de Darjeeling. Il considère que le défendeur (la société Française Delta Lingerie, qui commercialise des sous vêtements sous la marque « Darjeeling », à enregistré les noms de domaine en violation de ses droits de propriété intellectuelle sur le terme « Darjeeling ».
Ces deux entités sont respectivement titulaires de marques enregistrées et exploitées pour le terme
« Darjeeling », pour des produits en rapport avec leurs activités propres. Elles sont donc a priori toutes deux légitimes pour l’obtention de leur nom de domaine.
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Google: «pas un verbe, mais un nom»
www.branchez-vous.com
Texte rédigé par : Christian Leduc
Publié dans BRANCHEZ-VOUS! le 26 octobre 2006
Dans son blogue officiel, Google a indiqué mercredi que son nom devait rester un nom propre et non être utilisé par tout le monde comme un verbe.
La compagnie californienne s'inquiète particulièrement de l'usage de plus en plus courant par certaines personnes du verbe «Googler» (To google, en anglais) lorsqu'un internaute effectue une recherche sur Internet, en particulier lorsque cette recherche est faite dans un autre moteur que celui de Google.
Dans son blogue, Google cite un article paru dans le New York Times en mai dernier et où l'un des protagonistes déclare qu'il a «googlé» un individu pour savoir s'il était fiable.
Or, rappelle Google, l'anecdote citée dans le Times provient d'un événement survenu en... 1996, deux ans avant la création du moteur de recherche par Larry Page et Sergey Brin.
«L'usage du verbe "Google" est une horreur pour les avocats qui protègent notre marque de commerce, autant qu'il soulève la joie de nos experts en marketing, peut-on lire sur le blogue de la compagnie. Même si nous sommes contents que vous pensiez à nous lorsque vous faites des recherches sur Internet, nous avons tout de même une marque de commerce à protéger», explique la compagnie.
Rappelons que le verbe anglais «to google» a été ajouté dans les dictionnaires d'Oxford et de Merriam-Webster l'été dernier. Selon les deux dictionnaires, le verbe signifie qu'une personne effectue une recherche sur le moteur de Google.com. -
La distribution impose ses marques
www.usinenouvelle.com
26/10/2006
Carrefour, Auchan et Darty refont surface sur les produits de télécommunication. L’enjeu ici est moins de gagner de l’argent que de bâtir des liens durables avec leurs clients. De nourrir les valeurs de ces marques. Et de créer de la confiance en proposant, moins cher qu’ailleurs, des produits plus complexes que des petits pois.
Après Auchan, Carrefour se (re)lance sur le marché du téléphone mobile. L’offre du numéro deux mondial de l’hypermarché (qui s’était positionné sur ce marché il y a une dizaine d’années, via sa filiale Carrefour Telecom) sera finalisée le 08 novembre.
Elle s’appuie sur le même modèle qu’Auchan. Carrefour loue le réseau d’Orange et revend la minute de communication 39 centimes d’euro à ses clients. De son côté Auchan s’appuie sur le réseau SFR, et vend sa minute un centime d’euro plus cher.
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Pour le nom de son futur 4x4, Volkswagen avait le choix entre cinq noms
www.caradisiac.com
Volkswagen Tiguan : Le constructeur veut s’attaquer au Toyota Rav4
Fin 2007, Volkswagen accueillera un nouveau modèle dans sa gamme. Un 4x4 de loisirs qui répondra au doux nom de Tiguan. Il deviendra l’un des concurrents des leaders de la catégorie : Toyota Rav4 et Nissan X-Trail
Pour le nom de son futur 4x4, Volkswagen avait le choix entre cinq noms : Nanuk, Namib, Rockton, Samun et Tiguan. Grande première dans l’industrie automobile, Volkswagen a demandé aux lecteurs des magazines automobiles du groupe de presse allemand Autobild de déterminer quel serait le meilleur patronyme pour cette auto.
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