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  • La marque...pourquoi et comment ?

    Vient de paraître !

    La Revue de l'APM (Association Progrès du Management)
    Numéro 59 - Décembre 2006

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    La marque...pourquoi et comment ?

    - Les marques, phénomène de société, par Jean-Noël Kapferer
    - Les fonctions stratégiques de la marque, par Bruno Jarrosson
    - La valeur financière de la marque, 3 questions à Pierre Breese
    - A vos marques...prêts ?, par Pierre-Louis Desprez
    - Qu'est qu'une marque ?, par Georges Lewi
    - Six règles d'or pour gérer sa marque, par Gérald Bédat
    - Le nom de marque : pourquoi et comment ?, par Marie Pastelot

    Expériences :
    La marque écrite au stylo Pilot
    Playmobil : marque et innovation
    Nocibé : distributeur, marque - enseigne ou marque ?
    Cure de jouvence à la Foire de paris

  • L’aéroport de Bruxelles veut se faire un nom

    http://aerocontact.com
    Publié le 23/10/2006 à 15:35 :: Catégorie : Transport Aérien

    Bruxelles National, Zaventem et Brussels International Airport sont morts, vive « Brussels Airport ». Affublé de trop de noms, l’aéroport de Bruxelles y perdait son latin et son identité. Il a donc décidé de changer d’Etat civil le 19 octobre et d’adopter un positionnement fort fondé sur son statut de porte d’entrée sur la capitale européenne. Sa marque est désormais « Brussels Airport, Welcome to Europe ».

    Avec son nom, son logo s’est également métamorphosé. La partie portant la nouvelle marque est à dominante grise. Dans le carré gauche en revanche, le bleu ciel règne en maître. Il est strié de lignes blanches formant une étoile, convergeant toutes vers un seul et même point : le centre de l’Europe. La société gestionnaire, jusqu’à présent la BIAC (Brussels International Airport Company), a été rebaptisée « The Brussels Airport Company ».

    La direction de la plateforme a présenté son nouveau positionnement, qui se décline en trois adjectifs : européen, efficace et accueillant. Européen car l’aéroport veut que chaque voyageur sache qu’il pose le pied dans la capitale de l’Union Européenne. Efficace car il a été primé pour son fonctionnement. Accueillant car, souhaitant devenir l’une des plus importantes plateformes d’Europe, il compte développer ses services.

    L’aéroport de Bruxelles a accueilli 16,182 millions de passagers en 2005 et les vols d’une centaine de compagnies.

    Emilie Drab

  • BIAC va changer de nom et devenir "Brussels Airport"

    Source : www.canalz.be
    26/9/2006

    BRUXELLES 26/09 (BELGA) = Le gestionnaire de l'aéroport de Bruxelles-National, BIAC (Brussels International Airport Company), va changer de nom au profit de "Brussels Airport". Ce changement de nom devrait intervenir le 19 octobre prochain et vise a augmenter la visibilité du gestionnaire et de sa marque. Par ailleurs, les syndicats ont menacé mardi d'entamer des actions pendant les vacances d'automne, alors que des négociations pour une nouvelle convention collective sont en cours avec la direction. Faute de progrès, les syndicats menacent de mener des actions, lors des vacances de Toussaint.(PRS)

  • Solex cherche célébrité dans le vent

    Source : tf1.lci.fr
    David STRAUS - le 27/09/2006

    Relooké par le désigner italien Pininfarina, le Solex né juste après la guerre revient en novembre prochain.

    Devenu électrique, le célèbre vélo cherche l'acteur ou le chanteur qui l'incarnera le mieux. Profil : un actrice du style de Charlotte Gainsbourg.
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    Le célèbre vélo à moteur né en 1946 réapparaîtra dans les villes et les campagnes en novembre prochain, sous le nom d'e-Solex. Le groupe Cible qui a racheté la marque souhaite se démarquer de l'image du curé de campagne monté sur son engin pétaradant sur les routes de villages.

    Après avoir fait appel au très sélect Pininfarina (Ferrari) pour relooker le deux-roues devenu électrique, la firme cherche une ou deux célébrités pour incarner sa marque. Profil : jeune, française, issue du milieu de la chanson ou du cinéma et, surtout, "un peu bohème". Le nom de Charlotte Gainsbourg a été évoqué.

    Autre secret espoir du groupe : convaincre la Mairie de Paris de réserver un instant la plus belle avenue du monde pour quelques Solex. Des champs aux Champs-Elysées : quel chemin parcouru !

  • Apple veut protéger son Pod

    Source : www.infos-du-net.com
    par Nicolas Aguila le 27/09/2006

    Nous avions déjà assisté par le passé à de nombreuses lettres de mise en demeure envoyées par Apple quant à l’utilisation du vocable « Pod ». Des sites Internet ont dû changer de nom, des produits de grande consommation ont été rebaptisés et ainsi de suite. Mais Apple va maintenant plus loin et compte s’attaquer à tout ce qui touche de près ou de loin au podcast...
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    C’est Pod’bol
    Vous connaissez déjà le principe d’un podcast : un site Internet diffuse une émission sur la toile, émission qui peut être téléchargée avec un programme dédié pour être ensuite écoutée sur son baladeur (un iPod, par exemple...). Bien que cette technologie ne soit pas spécifique à Apple, l’assimilation d’un quelconque baladeur à la marque « iPod » a entraîné la création de ce mot podcast. Mot qui semble ne plus faire rire Apple, qui a donc envoyé une lettre de mise en demeure à la société Podcast Ready, développant le site Internet du même nom ainsi qu’un logiciel nommé myPodder.

    La guerre aux podcast
    Bien entendu, Apple réclame le remplacement de tout nom contenant le mot « Pod » par quelque chose de plus correct, sans quoi la firme devra porter plainte pour violation de droits d’auteur et usurpation d’identité. Si le terme myPodder a effectivement été reconnu comme posant potentiellement quelques problèmes, compte tenu de sa ressemblance avec le nom du baladeur à la Pomme, l’accusé refuse en recvanche un quelconque changement sur le nom Podcast. Premièrement car celui-ci ne porte pas particulièrement à confusion, mais aussi et surtout car il y a bien longtemps que ce mot est entré dans le langage courant des internautes.

    Reste qu’Apple campe sur ses positions et que cela semble de mauvaise augure pour la suite des évènements, car que se passera-t-il si la firme menace tous les organismes (entreprises, constructeurs, sites Internet, journalistes, etc.) utilisant le terme podcast sans en avoir demandé l’autorisation à Apple ?

  • Apple lorgne sur la marque 'Podcast' ?

    Source : www.clubic.com
    Publiée par Vincent le Mardi 26 Septembre 2006
    Brève Business Internet

    Apple continue de s'attaquer aux produits / sites Web portant une consonance proche de son baladeur, l'iPod. Ainsi, après avoir demandé à deux firmes de cesser d'utiliser le terme « Pod » dans leurs produits (voir la brève Insolite : Apple s'attaque aux noms en 'Pod'), la firme à la pomme s'est attaquée à un développeur de logiciels.medium_pod.2.jpg

    Apple a effectivement envoyé un courrier aux développeurs des logiciels et sites Web « myPodder » et « Podcast ». La missive demande de cesser d'utiliser des termes qui violent les marques déposées d'Apple. Le fondateur de ces deux logiciels/sites a fait savoir qu'il allait peut-être renoncer au nom « myPodder ». Mais la demande d'Apple sur le nom « Podcast Ready » soulève bien des interrogations.

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  • Le mauvais nom de la bière

    Source : www.lyderic.com

    La bière 1664™ a dû être renommée 1668 pour être commercialisée en Chine par Kronenbourg™.
    En effet, 4 est le chiffre porte-malheur en Chine comme le 13 l’est en Europe.
    Les chinois sont très superstitieux.
    Cette superstition est souvent basée sur les homophonies.
    Or ‘4′ se prononce comme ‘mort’.

  • Emergis lance la nouvelle stratégie de marque de ses solutions

    Source : www.ccnmatthews.com
    MONTREAL, QUEBEC (7 sept. 2006)

    Emergis inc. (TSX:EME) a dévoilé aujourd'hui sa nouvelle stratégie de marque en vertu de laquelle toutes ses solutions seront renommées sous deux grandes catégories : Assure et Assyst. Ces marques reflètent maintenant la proposition de valeur d'Emergis qui résulte de la combinaison d'une technologie éprouvée, d'une expertise de l'industrie ainsi que d'une grande portée dans les communautés de professionnels.

    medium_20060907-assure_150.jpgAssure regroupe des solutions qui permettent de relier de vastes communautés de soins de santé et d'affaires afin d'optimiser les interactions entre leurs différents intervenants, pour une plus grande efficacité des processus et un échange d'information sécurisé.
    (CCNMatthews Photo/Emergis Inc.)

    medium_20060907-assyst_150.jpgAssyst regroupe des solutions de gestion misant sur la connaissance et l'expertise d'Emergis en ce qui a trait aux besoins de groupes de professionnels ciblés.
    (CCNMatthews Photo/Emergis Inc.)

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  • Droit des Marques : Ne pas toucher aux Appellations d’Origine Contrôlée

    Source : www.vitisphere.com
    15/09/2006 Législation
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    Si une marque porte sur un nom géographique ou consiste en un terme de fantaisie qui reprend ou rappelle étrangement tout ou partie d’une appellation d’origine, elle ne peut être valablement enregistrée dans la mesure où étant susceptible de créer un risque de confusion, elle revêt un caractère trompeur.

    Pour caractériser le délit d’usurpation, il n’est donc pas nécessaire que la marque reproduise exactement l’appellation d’origine, il suffit qu’elle soit de nature à induire en erreur et ce, peu importe que la marque litigieuse soit ou non accompagnée d’indications susceptibles d’éviter toute confusion (Cour de cassation, Ch. crim, 5 avril 2005 à propos de la marque HERITAGE DES CAVES DES PAPES c. AOC CHATEAUNEUF-DU-PAPES et AOC HERMITAGE ; Cour de cassation, Ch. Com, 3 mai 1983 à propos de la marque RITZLINGER c. AOC RIESLING).

    Particulièrement exemplaire, à cet égard, est le jugement du 16 mars 2006 rendu par le tribunal de grande instance de Paris [3ème Ch., 2ème Sect., RG 2004/1448], par lequel a été annulée notamment la marque dénominative KAGOR désignant des boissons alcooliques (à l’exception des bières), vins, digestifs, liqueurs, spiritueux.

    Les juges de première instance ont souligné à l’appui de leur décision que «ce terme (est) extrêmement proche phonétiquement de l’appellation même si elle n’est pas reproduite à l’identique et évoque incontestablement le nom de Cahors ; que pour désigner des boissons alcooliques (à l’exception des bières), vins, liqueurs et spiritueux, il constitue un emploi illicite et porte préjudice à l’appellation d’origine contrôlée dont l’usage est interdit par le Code rural et le Code de la consommation».

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  • Nokia va changer de stratégie concernant le choix des noms de terminaux de la marque

    Source : www.mobinaute.com
    Copy - Le 08/09/2006 @ 16:33

    Après Motorola (ex : RAZR), LG (ex : Chocolate) ou plus récemment HTC (ex : Mteor), c'est au tour du Finlandais Nokia d'envisager une nouvelle stratégie de nommage des produits mobiles de la marque.
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    Exit les Nokia 6680, N73 ou E61 ? Nokia a annoncé hier vouloir désormais utiliser de nouveaux noms de produits pour les téléphones mobiles de la marque en ne faisant plus usage de numéros comme le font déjà Motorola avec son RAZR ou LG avec son Chocolate.

    A cette occasion, Keith Pardy, directrice marketing de Nokia, a précisé que "vous allez voir des noms de produits avec une signification et un impact fort pour le consommateur en lieu et place de simples numéros". Cependant, si il n'est pas encore connu si ce changement de stratégie ne concernera que les prochains mobiles de la marque ou également ceux déjà commercialisés récemment, il reste à savoir quels seront les premiers mobiles qui disposeront d'un nom de produit au lieu d'un numéro de produit associé.

    Toujours est-il qu'en terme de nombre de ventes, il apparait effectivement que les produits mobiles avec un nom court facile à retenir comme "Chocolate" ou "RAZR" connaissant un succès commercial important de part le monde. A noter que Nokia a précisé également avoir raté le coche du lancement de mobiles très fin, la société envisageant de lancer des modèles allant dans ce sens à moyen terme.

  • Fraudes aux noms de domaine : l'Afnic alerte sur le slamming

    Source : www.atelier.fr
    Infrastructures IT

    La multiplication des attaques sur Internet ne cesse d'enrichir le vocabulaire informatique... Nouveau en lice, le slamming, une escroquerie aux noms de domaines. Afin de limiter la recrudescence de ce nouveau type de détournements, l'Association française pour le nommage Internet en coopération, l'Afnic, vient de publier une mise en garde sur son site afin d'alerter des cyber-marchands et autres éditeurs en ligne encore trop crédules.

    Pour l'association, le slamming consiste en des "pratiques illicites, fondées sur la tromperie, et visant à obtenir d'un titulaire de nom(s) de domaine ou de marque(s) qu'il souscrive à des services non sollicités en relation avec sa présence sur Internet". En clair : escroquer les détenteurs d'un nom de domaine en leur vendant, sous de faux prétextes, une prestation plus élevée que la normale.

    Selon l'Afnic, trois modes opératoires sont principalement pratiqués. La fausse facture de renouvellement, tout d'abord, consiste en l'envoi d'un "avis d'expiration" du nom de domaine du client visé, qui prendra effet si celui-ci ne s'acquitte pas d'une certaine somme indiquée sous forme de facture. En signant ce document, l'internaute déclenche le transfert de son nom de domaine vers un nouveau prestataire, forcément beaucoup plus cher.

    Deuxième technique recensée par l'Afnic : la pression psychologique, qui cible les entreprises. Celles-ci reçoivent un courrier leur indiquant qu'un de leur client s'apprête à déposer un ou plusieurs noms de domaine identiques ou proches du nom de leur société. Jouant le rôle du bon Samaritain, le prestataire "slammeur" invite alors celle-ci à déposer ces noms avant son concurrent… et ce à des prix très élevés.

    Enfin, les arnaqueurs pratiquent la technique du "faux registre", qui vise à contacter des entreprises en leur précisant l'obligation légale d'apparaître dans un annuaire, faux documents d'apparence officielle à l'appui. L'Afnic précise que ce "texte laisse planer un doute sur le caractère obligatoire de ce 'référencement', mais les victimes ayant signé la proposition reçoivent un véritable annuaire accompagné d'une facture de plusieurs centaines d'euros".

    L'association consacre une partie de son communiqué aux précautions à prendre, comme l'obligation de ne passer que par le bureau d'enregistrement auquel la gestion du domaine a été confiée. Car avec l'ouverture récente de l'extension ".fr" aux particuliers, c'est toute une population d'internautes plus ou moins au fait des pratiques de l'adressage qu'il faut alerter.

    (Atelier BNP Paribas – 18/09/2006)

  • Création du nom VEGA pour nommer le "Show Truck" Magnum de Renault Trucks (09/11/2006)

    VEGA est le nom de l'étoile la plus brillante du ciel boréal.

    Le nom VEGA évoque, sur le plan phonétique, le préfixe "méga" qui, placé devant une unité de mesure, la multiplie par un million, et le nom de la ville "Las Vegas" : la plus grande ville du Nevada.

    VEGA est constitué de 2 voyelles et de 2 consonnes (clarté des sons).
    L'alternance consonne-voyelle facilite la prononciation internationale.
    La lettre "V" initiale évoque le mouvement, la victoire.
    La lettre "G" rappelle le nom MAGNUM.
    Enfin, les lettres "V" et "A" présentent une symétrie visuelle (homogénéité).

    Le nom souhaité par Renault Trucks devait venir qualifier l'appellation "Renault Magnum", être international, être facile à retenir et à prononcer, pouvoir être facilement associé à Renault Magnum (être courte), évoquer des valeurs de mouvement, de modernité et d'exclusivité


    Pour plus d'information :
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    Renault Trucks Corporate

    Renault Magnum Vega : Innovation et design au service du plaisir des conducteurs Renault Trucks présente pour la première fois au salon de Hanovre, le Magnum Vega, un "show truck" spécialement dessiné pour les conducteurs les plus exigeants. Tous en ont rêvé, Renault Trucks l'a réalisé. Magnum Vega est un concept d'aménagement de cabine qui réunit tout ce qu'un professionnel de la route pourrait désirer. Plaisir de vie à bord, personnalisation, confort de conduite, sérénité et fierté sont les maîtres mots qui caractérisent l'atmosphère qui s'en dégage. Matériaux nobles, éclairage élaboré, siège de repos pivotant et coulissant, meuble de rangement multifonctions, équipements haut de gamme figurent parmi les éléments étudiés dans ce "laboratoire d'idées" qu'est Magnum Vega. Ce véhicule dont la personnalité s'affirme avec style sera décliné en une série spéciale qui sera commercialisée en 2007.
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    www.leprogres.fr
    Article du lundi 18 septembre 2006
    Christian Hédou
    chedou@leprogres.fr


    Un salon roulant beau comme un camion

    Demain au salon de Hanovre, Renault Trucks présente un modèle haut de gamme, le Magnum Vega. L'intérieur est particulièrement confortable, avec fauteuil relax, coin cuisine et jeux vidéo

    «Les routiers en rêvaient, nous l'avons fait », résume Hervé Bertrand, directeur du design de Renault Trucks (groupe Volvo AB), en revisitant le slogan de Sony. Mais cette fierté est justifiée : le dernier né du constructeur de poids lourds est spectaculaire, extérieurement mais aussi intérieurement. Appelé « Magnum Vega », ce modèle haut de gamme sera présenté demain au salon IAA de Hanovre, en Allemagne.
    Extérieurement, c'est la nuit que le Magnum Vega est le plus beau. Ses concepteurs en effet l'ont équipé de lumières spécifiques fluorescentes : de minces filets bleutés filent sur les flancs, et sur la calandre le losange Renault est « rétro éclairé » dans les mêmes tonalités. A l'arrière, un carénage du plus bel effet recouvre la partie destinée à accrocher les semi-remorques.
    Mais ce n'est là que la partie visible du paquebot. Il faut grimper dans la cabine pour découvrir un véritable salon roulant. Bénéficiant du plancher parfaitement plat du Magnum, le Vega offre un espace et un confort hors du commun.
    Des lumières tamisées et des spots orientables décorent ce mini-studio. Du côté passager, un fauteuil relax pivotant se déplace sur toute la profondeur de la cabine, pour permettre au conducteur de se détendre après plusieurs heures de conduite. A portée de main, se trouve un coin cuisine, avec bouilloire et four à micro-ondes. Une penderie, un système audio Hi Fi, un écran plat orientable, un lecteur de DVD et une console de jeux vidéo font aussi partie de l'équipement, ainsi que la couchette intégrée.
    Livré au second trimestre 2007
    « Le Magnum Vega sera livré à partir du second trimestre 2007 en deux versions : une version normale et une autre avec options », précise un responsable commercial de Renault Trucks. Combien coûteront ces petites merveilles ? Le constructeur élude pudiquement cette question. Mais les spécialistes du poids lourd estiment que le Vega devrait être vendu dans une fourchette allant de 70 à 80 000 euros pièce. Qui va se payer ce superbe camion ? « Nous visons un marché de petits transporteurs, en France, en Espagne, en Italie, en Allemagne et dans les pays de l'Est, qui font du transport à longue distance, et qui passent fréquemment quatre jours par semaine dans leur camion », répond un dirigeant de Renault Trucks. L'objectif est d'en vendre « quelques centaines » sur deux ans, à travers des séries limitées.

  • Création de VISIANCE, le nouveau nom de Affiches et Associés (21/09/2006)

    Le nom VISIANCE évoquent les notions de vision, de visée, d'objectif et d'alliance.
    L'initiale "V" et la première sonorité du nom évoquent la vie et le vivant (mouvement).
    La sonorité finale évoque l'idée d'amplitude.
    La répétition de la voyelle "I" autour du "S" confère au nom VISIANCE une homogénéité visuelle.

    VISIANCE compte désormais parmi les plus importants opérateurs français en solutions d'impression sérigraphique et numérique

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    Source : www.emarketing.fr

    Visiance, la nouvelle identité d'Affiches et Associés
    Actualités du 30/08/2006


    Affiches et Associés est mort. Vive Visiance. Un nom plus en adéquation avec le métier actuel de l'entreprise. « Cette nouvelle dénomination nous permet d'éclaircir notre positionnement auprès de nos clients », commente Marc Giry, directeur général du prestataire. Sérigraphe, Visiance est spécialisée depuis sa création dans la production de supports de communication d'extérieur, notamment grand format. Mais son éventail de services s'est considérablement élargi : PAO, fabrication, découpe, façonnage, colisage, logistique ou encore impression numérique. Pour son développement, l'entreprise a investi 1,98 million d'euros dans l'achat de matériel. Parallèlement, elle a finalisé l'acquisition d'un imprimeur équipé de presses numériques en bobines. Une intégration qui lui permet d'accélérer son repositionnement.

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    Source : www.graphiline.com
    Actualités du 06-07-2006
    Antoine Gaillard © www.Graphiline.com

    Affichage : l'imprimerie Affiches Associés (42) devient Visiance

    Une nouvelle dénomination pour marquer son évolution et son positionnement d’acteur global sur le marché.

    Une nouvelle dénomination pour marquer son évolution et son positionnement d’acteur global sur le marché.

    Depuis 1986, date de sa création, Affiches Associés exerce son métier de sérigraphe dans l’impression d’affiches. En 2002, Affiches Associés évolue vers l’impression de PLV, et mène depuis, une stratégie continue d’investissements modernes et performants qui lui ont permis de conforter son positionnement sur l’impression sérigraphique et numérique, de développer, en plus de son cœur de métier, de nouvelles productions, notamment en matière de PLV.

    Les investissements, qui ont représenté à eux seuls un montant de 1,98 millions €, ont principalement porté sur l’achat de machines d’impression sérigraphique 4 couleurs UV, d’une machine d’enduction, de deux lignes de gravure numérique directe (CTS), d’une machine à plat numérique DURST Rho 205 et de 3 lignes de découpe grand format …

    VISIANCE vient en outre de finaliser l’acquisition d’une société spécialisée dans l’impression numérique en bobines. Aujourd’hui, quatre traceurs grande laize haute définition et un scanner à plat viennent ainsi compléter l’offre produits de VISIANCE.

    Depuis 2004, l’entreprise enregistre une croissance continue à deux chiffres pour atteindre plus de 9,6 millions € de chiffre d’affaires en 2005, soit une croissance de +36% à effectif constant.

    Laurent Guichard, Président-directeur général, explique : « Notre société ne cesse d’évoluer et de se développer pour apporter des réponses complètes, adaptées à tous types de demande en impression sérigraphique et numérique. VISIANCE est le symbole de cette évolution et de ce positionnement global. Depuis quatre ans, nous allons au-delà de l’impression avec du « prêt-à-poser » et nous continuons d’innover pour offrir toujours de nouvelles solutions ».

  • Man commercialise désormais ses véhicules d’occasion sous la marque Man TopUsed

    Source : www.autoactu.com
    Emilie Binois
    Constructeurs - 19/09/2006

    Le constructeur de véhicules industriels Man rebaptise sa marque de véhicules d’occasion Man TopUsed. Pour ce lancement, il l’accompagne en outre de la mise en place d’une charte de qualité et d’une garantie européenne.

    Exit Man Diesel. Man commercialisera désormais ses véhicules d’occasion sous la nouvelle marque Man TopUsed. Un nouveau nom "plus clair et pouvant être utilisé au niveau international. En outre, il souligne davantage le caractère haut de gamme des produits", explique Peter Erichreineke, directeur général marketing et commercialisation du groupe.

    Le lancement de cette nouvelle marque s’accompagne en outre de la mise en place d’une charte de qualité, garantissant que les véhicules ont été contrôlés avant leur mise en vente, dans les 1 200 points de service du réseau européen Man.

    En outre, Man proposera également en option payante une garantie européenne pour la chaîne cinématique ou pour l’ensemble du véhicule, pendant 6,12 ou 24 mois et pour un kilométrage pouvant aller de 450 000 km sur la gamme légère à 1 million de km pour la gamme lourde. Entrent dans le cadre de cette garantie, les véhicules de moins de 54 mois et ne dépassant pas 650 000 km au compteur pour la gamme lourde, 400 000 km pour la gamme moyenne et 300 000 km pour la gamme légère.

    En cas d’intervention sur le véhicule sous garantie, Man prend en charge 80% des coûts de main d’œuvre et des pièces pendant les 6 premiers mois et 50% du 7ème au 24ème mois de la garantie.

    Le constructeur propose donc un partage sur les frais de réparation. L’offre est donc plus "marketing" que commerciale lorsque l’on sait qu’avant de proposer la garantie sur un véhicule, le vendeur doit avoir reçu l’aval du constructeur même s’il entre dans le cadre de la garantie tant au niveau de son âge que du kilométrage.
    Seul véritable avantage : son extension européenne. En effet, la garantie une fois souscrite est valable dans tous les pays où Man est implanté et permet de bénéficier d’une assistance en dehors du pays d’immatriculation.
    "Il faut l’appréhender comme étant un service supplémentaire voué à sécuriser nos clients", explique Frédéric Gauthier, responsable VO de Man France. "Cette garantie est proposée sur des véhicules déjà fortement immatriculés, il est donc logique qu’elle soit soumise à conditions", ajoute-t-il. Logique…

  • Microsoft devant la justice pour le nom ForeFront

    Source : www.generation-nt.com
    18/09/2006 par Cédric B.

    Un fabricant de logiciels pour les entreprises du bâtiment aux Etats-Unis poursuit en justice Microsoft pour l'utilisation du nom ForeFront pour ses logiciels de sécurité.
    La firme Dexter + Chaney basée à Seattle vend son logiciel nommé " Forefront Construction Management Software " depuis presque 20 ans, a indiqué son porte-parole vendredi dernier. " La marque en est arrivée à signifier beaucoup pour nous et nos clients, et nous espérons que cela soit le cas pour nos futurs utilisateurs " a t-il ajouté.

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    Dexter + Chaney a donc porté cette affaire contre Microsoft devant les tribunaux jeudi dernier. La firme cherche en effet à empêcher Microsoft d'utiliser le nom ForeFront. Le groupe de Redmond avait lancé cette marque en juin dernier comme un label unique concernant ses solutions de sécurité.

    Selon le porte-parole de Dexter + Chaney, " Ils vendront sous notre marque et à des clients très similaires aux notres. Avant que le marché ne devienne confus et que notre business ne soit touché, nous aimerions qu'ils trouvent un autre nom. "

    De son côté, Microsoft ne voit pas où il pourrait y avoir confusion car les produits des deux compagnies sont très différents, a déclaré un porte-parole du géant des logiciels :

    " Nous faisons très attention aux noms de nos nouveaux produits et considérons la possible utilisation de ces noms par d'autres compagnies afin d'éviter tout conflit. Par exemple, nous croyons que l'utilisation spécifique du nom Microsoft ForeFront ne causera aucune confusion sur le marché car les produits et les secteurs sont significativement différents. " a t-il annoncé.

    Le Forefront Construction Management Software de Dexter + Chaney, qui n'a rien à voir avec un logiciel de sécurité, est conçu pour aider les entreprises du bâtiment à gérer leurs travaux de la conception à la finition. En revanche, les produits ForeFront de Microsoft visent la sécurité des ordinateurs et des réseaux.

  • Chiffres records pour le phishing en 2006

    Source : www.pcinpact.com
    Mardi 12 septembre 2006, rédigé par Bruno Cormier

    Pêche au coup de boule

    En juillet dernier, la pratique illégale du phishing touchait un nombre record de marques sur le Net. Les malfaiteurs ont contrefait 157 marques présentes sur la Toile, en mettant en place une campagne de pêche au pigeon par e-mail pour chacune d'entre elles. Ce nombre total de marques détournées pour escroquer l'internaute, en lui volant des informations personnelles et surtout financières, est en augmentation de 18 % par rapport à juin 2006, et de 12 % par rapport au record précédent du mois de mai dernier.
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    Les premières marques visées sont toujours des établissements financiers, plus susceptibles de récupérer des informations personnelles et financières à l'insu de la victime. Les malfaiteurs visent désormais tous les recoins de l'Internet, et notamment les organismes financiers plus petits. Ces constatations sont toutes rapportées par l'Anti-Phishing Working Group (APWG), qui précise que 14 191 sites ont été contrefaits dans le but de servir de support à la pratique du phishing en juillet dernier, un autre nouveau record, en augmentation de 41 % par rapport au mois précédent, et de 18 % par rapport au dernier chiffre record de mai dernier.

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    Le phishing est en plein essor, et la pratique commence à réellement inquiéter depuis la mise en vente d'un « kit de phishing » par un groupe de pirates russes, simplifiant alors la technique. Désormais, le phishing vise aussi à infecter le PC avec un code dit « redirecteur », qui force l'ordinateur à se connecter à des serveurs DNS pirates, pour l'aiguiller vers des sites contrefaits afin de mieux escroquer l'utilisateur.

    Le phishing s'exerce aussi dans le site contrefait pour infecter le visiteur à l'aide d'un cheval de Troie, ou d'un autre malware téléchargé à l'insu de l'Internaute. Exemple type, un site imitant le site officiel de la Coupe du Monde 2006 de football, utilisant le coup de tête décisif de Zidane en guise d'appât.

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  • L'italianité en vogue pour baptiser les nouveaux modèles automobiles

    Source : www.latribune.fr
    La Tribune - édition du 30/08/06
    Hommes et Expertises
    Pierre Kupferman

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    Citroën vient de déposer Nemo, Renault Libretto et Genea. Leurs concurrents - Nissan, Jaguar, GM - ont déjà marqué leur préférence pour des noms se terminant par " o " ou par " a ".

    Nemo. Pour l'instant, ce nom ne figure pas dans le catalogue des véhicules Citroën, mais la filiale de PSA a assuré au printemps dernier sa protection au niveau européen, laissant augurer une exploitation à moyen terme de ce nom que les studios Pixar ont largement contribué à populariser. Même profil pour Libretto et Genea, deux " marques " que Renault a déposées voici quelques jours à l'Office de l'harmonisation dans le marché intérieur ( Ohmi, équivalent européen de l'Inpi).

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    Ces appellations à consonance italienne semblent sonner le glas des noms en " us " et en " is " qui n'ont pas porté bonheur à la marque au losange. Alors que Clio et Twingo se sont avérés de grands succès commerciaux, Vel Satis et Modus ont déçu leurs géniteurs, sans, bien sûr, que leurs patronymes y soient pour grand-chose. Les performances de la Yaris et de la Prius de Toyota le démontrent.

    Ces baptêmes annoncés s'inscrivent dans un mouvement de fond qui, ces dernières années, semblent s'imposer dans le secteur automobile. D'un côté, les adeptes des chiffres et des lettres - BMW, Mercedes, Peugeot, Volvo -, de l'autre, les partisans de noms qui sonnent joliment dans toutes les langues. Et de ce point de vue, les noms finissant par un " o " ou un " a " paraissent les plus à même à satisfaire tout le monde. " Les constructeurs privilégient les noms qui créent à la fois de l'aspérité, permettent à l'automobiliste de se projeter et sont faciles à mémoriser. L'objectif est d'émerger le plus vite possible ", souligne Laurence Evrard, directrice générale déléguée de Nomen, agence spécialisée dans le " naming ".

    Plus de limites.
    Jusqu'alors les noms latins semblaient plutôt réservés aux petits modèles type Kia Picanto. Le choix opéré par Jaguar pour baptiser l'une de ses dernières créations - la " portfolio " sortie l'an passé - montre que cette tendance ne connaît plus de vraies limites. Elle semble même inspirer le " naming " automobile outre-Atlantique.

    Pour s'imposer sur le marché européen avec la marque Chevrolet, General Motors s'appuie sur ses Rezzo, Epica, Lacetti et autres Nubira. Des noms qui ne diront rien aux afficionados américains de la marque. Seul le coupé sport Camaro, qui complétera le catalogue européen dans quelques mois, trouve sa place outre-Atlantique. Même au Japon, les noms à consonance américaine ou française ont moins la cote que par le passé.

    On trouve certes encore une " Porte " dans le catalogue nippon de Toyota et une " Presage " dans celui de Nissan, mais pour les petits citadines, la Dolce Vita s'est imposée. Chez Daihatsu (groupe Toyota), par exemple, les petites nouvelles s'appellent Gino, Latte et Cuore. À plus long terme, les constructeurs français pourraient cependant amorcer un virage sémantique. Voici quelques semaines, Renault a déposé à l'Inpi Twizy. Une protection nationale qui peut être étendue au niveau européen dans les six mois. Si tel était le cas, on pourrait penser que ce nom serve au successeur de la Twingo. De son côté, Citroën a jeté son dévolu sur trois très jolis mots de la langue française : Sycomore, Capsule et Paradoxe. Trois noms qui siéraient bien à des séries spéciales.

    Montée en puissance de la pub

    Sur le premier semestre 2006, le secteur automobile a passé en France le cap symbolique du milliard d'euros investis tous médias confondus. L'étude sectorielle publiée par TNS Media Intelligence met en évidence la forte progression de Fiat, BMW et Citroën. Leurs budgets semestriels ont crû respectivement de 43 %, 40 % et 29,5 %. Renault conserve tout de même la pole position. En six mois, ses achats d'espaces publicitaires ont atteint presque 170 millions d'euros brut (les décomptes de TNS Media Intelligence s'appuient sur les tarifs catalogues) contre 113 millions d'euros pour Citroën et 106 millions d'euros pour Peugeot. Cette montée en puissance quasi générale - seuls Opel et Peugeot ont opté pour la stabilité - est liée à la sortie de nouveaux modèles. Cela n'a pas empêché les constructeurs de doper en priorité la visibilité de leurs campagnes à caractère promotionnel. TNS Media Intelligence a calculé que " cette forme de communication a crû de 18 % au cours du premier semestre 2006 ". Les " journées portes ouvertes " et les opérations exceptionnelles de remises représentent désormais 30 % des achats d'espaces des constructeurs.

  • Nokia donnera des noms à ses téléphones au lieu de numéros

    Source : www.latribune.fr
    Dépêche reçue le 07/09/06 à 20:55
    HELSINKI (Reuters)


    Nokia, le premier fabricant mondial de téléphones mobiles, donnera désormais des noms à ses combinés, après les succès enregistrés par des modèles comme le RAZR de Motorola et le "chocolat" de LG Electronics.

    "Nous allons (désormais) donner à nos produits des noms porteurs de sens qui aient une importance aux yeux des consommateurs", a indiqué Keath Pardy, responsable du marketing chez Nokia, au cours d'une réunion d'investisseurs de la banque Citigroup à New York.


    Le géant finlandais de la téléphonie n'a pas précisé si tous ses nouveaux modèles porteraient des noms et si les codes à quatre chiffres seraient abandonnés.

    Nokia a présenté cette semaine ses nouveaux modèles 7390, 7373 et 7360.

    Motorola a enregistré une forte hausse de ses ventes après le lancement du combiné ultra-fin RAZR et a décidé de donner à ses prochains modèles des noms tels que SLVR (pour Silver, argent en français) ou encore PEBL (pour Pebble, galet).

    LG Electronics a lui aussi créé l'événement avec son mobile "chocolat", un modèle coulissant noir.

    "Nous avons réagi avec retard sur les modèles ultra-fins, (...) nous travaillons à revenir dans la course. Mais en même temps, il ne faut pas perdre de vue ce qui vient après", a indiqué Pardy.

    Les analystes du secteur ne voient pas l'arrivée des noms comme un changement fondamental même s'ils accueillent positivement cette évolution.

    "Personne ne se souvient des numéros. Les gens veulent parler de téléphones ayant des noms. Les nombres ne véhiculent pas de valeur ou de sentiment", a déclaré Jussi Hyoty, analyste chez FIM Securities.

  • Un nouveau logo sur toutes les bouteilles d'alcool

    Source : RTL L'info
    SANTE - ENQUÊTE 12/09/06

    L e petit dessin qui montre une femme enceinte dans un cercle barré va bientôt faire son apparition sur les bouteilles d'alcool.

    RTL a eu la confirmation que l'arrêté d'application de la loi votée, il y a deux ans, sera pris avant la fin de ce mois. medium_logo.jpg

    Par ailleurs, une enquête nationale menée chez les jeunes de 17 ans entre 2000 et 2005, révèle que leur consommation d'alcool est en baisse. Mais, paradoxalement, les jeunes sont de plus en plus nombreux à rechercher l'ivresse.

    L'arrêté sera publié avant la fin du mois
    On verra très prochainement un petit dessin sur les bouteilles d'alcool destiné à prévenir les femmes enceintes sur les risques liés à leur grossesse. RTL a eu la confirmation que l'arrêté d'application de la loi votée, il y a deux ans, sera pris avant la fin de ce mois. Le petit pictogramme représentera donc une femme enceinte tenant un verre dans un cercle barré. On pourra trouver ce pictogramme sur les grands crus comme sur les bouteilles de bière. L'avertissement pourra aussi être écrit en toute lettre: "la consommation de boissons alcoolisées pendant la grossesse même en faible quantité peut avoir des conséquences graves sur la santé de l'enfant". L'arrêté le rendant obligatoire va donc être publié avant la fin du mois et les producteurs auront alors un an pour changer leurs étiquettes ou y ajouter un petit autocollant.

    Cette mesure intervient alors que trop d'enfants naissent encore chaque année, handicapés par les conséquences de l'alcoolisme de leur mère. Le ministère de la santé lance une campagne d'information, cette semaine, sur le thème : zéro alcool pendant la grossesse. En effet, l'alcool que boit une femme enceinte passe directement dans le sang du foetus, avec des effets sur tous les organes et surtout sur son système nerveux central. La conséquence la plus grave, liée à des consommations importantes, c'est le SAF, le syndrome d'alcoolisation foetale qui touche jusqu'à 3.000 enfants chaque année. C'est la première cause non génétique de retard mental. A plus faible dose, l'exposition à l'alcool peut aussi avoir des conséquences sur le développement de l'enfant et comme on ne connaît pas le seuil au dessous duquel on pourrait garantir qu'il n'y a pas de risques, la recommandation, c'est "zéro alcool pendant la grossesse".

    Les jeunes boivent moins mais se saoulent de plus en plus
    C'est le résultat paradoxal d'une enquête nationale sur l'alcoolisme des adolescents. La consommation régulière est en diminution mais lorsque les jeunes boivent, ils vont de plus en plus souvent jusqu'à l'ivresse. On prend une cuite à la manière des pays scandinaves ou de la Grande Bretagne, même si pendant le reste de la semaine on ne touche pas à l'alcool. Plus généralement, on boit moins en France, mais on boit tout de même encore beaucoup, puisque 10 millions de Français consomment de l'alcool au moins trois fois par semaine, et 6 millions et demi tous les jours. 22.000 morts sont directement liés à cette consommation.

    A.C. avec F.Prabonnaud

  • TightPod : Apple monnaye un changement de nom

    Source : www.generation-nt.com
    05/09/2006
    par Jérôme G.


    L'appât du gain aura été le plus fort et pour s'épargner la peine d'un procès à l'issue hasardeuse, la créatrice des TightPods a préféré renoncer à cette appellation moyennant finance.

    Cela commence à devenir un habitude et la firme à la pomme n'hésite pas à allonger les billets verts pour régler ses différents judiciaires à l'instar de ce qu'elle a fait dans l'affaire l'opposant à Creative Labs.


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    C'est Pod bol
    Le mois dernier, Apple envoyait des lettres de mise en demeure à deux sociétés qui avaient eu l'outrecuidance d'utiliser le vocable Pod dans les noms de leurs produits respectifs, en l'occurrence, Profit Pod, un appareil électronique pour détecter le nombre de pièces de monnaie qui ont été insérées dans une machine distributrice ou dans un jeu d'arcade et TightPods, des housses pour ordinateurs portables vendues via Internet.

    Cette usurpation éhontée était selon Apple, susceptible de nuire à son image de marque.

    Arrangement pécuniaire
    Face à la machine judiciaire made in Apple, Terry Wilson, la créatrice des TightPods, a préféré capituler sans combattre en acceptant les termes d'un arrangement financier à la teneur non précisée et de déclarer : " Je vais changer le nom de mon produit " tout en précisant qu'elle ne pouvait se permettre de se lancer dans ce genre de procès.

    Et un cas en moins, au suivant ...

    Source : Philadelphia Inquirer