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  • Koenigsegg, la marque suédoise au nom imprononçable

    Par auto magazine, vendredi 6 avril 2007 à 10:29
    www.guideauto.org

    Déjà réputée pour faire parti du club des super-supercars avec la CCX (806 chevaux montés dans une carrosserie en carbone et kevlar!), innove en proposant la supercar la plus puissante et la plus propre du monde !

    Forte de ses 1018 chevaux et de ses 1060 nm de couple, la Koenigsegg CCXR « Flower Power » se plante devant la Bugatti Veyron pour devenir la routière la plus puissante du marché, tout en ayant le potentiel pour être la voiture officielle de tous les écologistes.

    L'adaptation au bioéthanol permet une augmentation naturelle de la puissance, notamment grâce à de meilleures capacités de refroidissement des chambres de combustion, mais les ingénieurs suédois ont tout de même déclaré être « surpris » par les 212 chevaux gagnés !

    Les heureux acheteurs écolos devront choisir avec précaution leurs déplacements, car avec un (petit) 22 litres d'E85 au 100 kilomètres, les passages à la pompe devraient être fréquents... et le bio éthanol ne court pas les rues dans nos vertes contrées.

    Pour ceux qui auraient déjà fait l'acquisition d'une CCX « basique » (plus de 600 000 euros) et qui souhaitent passer au vert, Koenigsegg leur propose la transformation pour la modique somme de 180 000 euros HT.
    Allez, on pose la guitare et on sort le chéquier...

  • Koenigsegg, la marque suédoise au nom imprononçable

    Par auto magazine, vendredi 6 avril 2007 à 10:29
    www.guideauto.org

    Déjà réputée pour faire parti du club des super-supercars avec la CCX (806 chevaux montés dans une carrosserie en carbone et kevlar!), innove en proposant la supercar la plus puissante et la plus propre du monde !

    Forte de ses 1018 chevaux et de ses 1060 nm de couple, la Koenigsegg CCXR « Flower Power » se plante devant la Bugatti Veyron pour devenir la routière la plus puissante du marché, tout en ayant le potentiel pour être la voiture officielle de tous les écologistes.

    L'adaptation au bioéthanol permet une augmentation naturelle de la puissance, notamment grâce à de meilleures capacités de refroidissement des chambres de combustion, mais les ingénieurs suédois ont tout de même déclaré être « surpris » par les 212 chevaux gagnés !

    Les heureux acheteurs écolos devront choisir avec précaution leurs déplacements, car avec un (petit) 22 litres d'E85 au 100 kilomètres, les passages à la pompe devraient être fréquents... et le bio éthanol ne court pas les rues dans nos vertes contrées.

    Pour ceux qui auraient déjà fait l'acquisition d'une CCX « basique » (plus de 600 000 euros) et qui souhaitent passer au vert, Koenigsegg leur propose la transformation pour la modique somme de 180 000 euros HT.
    Allez, on pose la guitare et on sort le chéquier...

  • La folie «Knut» fait grimper les actions du zoo de Berlin

    medium_83965_1.jpgwww.lexpress.mu

    La «Knut» mania, du nom de cet ourson polaire né au Jardin zoologique de Berlin il y a un peu plus de trois mois, s’est emparée de la Bourse, où les actions du zoo ont plus que doublé cette semaine.

    L’établissement, qui a fait enregistrer «Knut» en tant que marque officielle la semaine dernière, a enregistré un spectaculaire afflux de visiteurs, impatients d’apercevoir le petit animal aujourd’hui âgé de trois mois et demi.

    «Jamais auparavant, nous n’aurions pensé enregistrer le nom d’un animal comme une marque commerciale», s’exclamé le directeur du zoo, Gerald Uhlich. «Mais nous avons réussi et ça marche incroyablement bien. En l’espace de deux jours, une marque mondiale est née. Nos actions ont pratiquement explosé», s’est-t-il félicité.

  • Une certification pour protéger l'Île d'Orléans

    www.cyberpresse.ca
    Le jeudi 29 mars 2007
    Anne Desjardins
    Le Soleil
    Collaboration spéciale

    Une grande première : l’île d’Orléans verra le nom de son territoire protégé par la marque de certification Savoir-faire île d’Orléans.

    L’idée a été développée par un comité de démarrage composé de représentants de l’Union des producteurs agricoles (UPA), du Centre local de développement (CLD) de l’île d’Orléans et de la Chambre de commerce locale, qui a planché pendant deux ans sur le projet.

    L’annonce en a été faite hier à l’Auberge du Canard huppé, en présence de Laurent Pellerin, président de l’UPA, de producteurs et de gens du milieu de l’hôtellerie et de la restauration. Le but est limpide : protéger non seulement des produits et services, mais aussi un savoir-faire identifié à cette région très populaire sur les plans touristique autant qu’agroalimentaire.
    medium_bilde.jpg
    Daniel Pouliot, président du comité de démarrage de la certification Savoir-faire île d’Orléans, présente le logo qui marquera les produits provenant de l’île.
    Photo Le Soleil, Patrice Laroche

    « Des fraises de l’île d’Orléans disponibles à Montréal au début juin, on en a vu souvent parce que c’est une image de marque vendeuse, alors qu’à l’île, ça n’existe pas », raille le producteur maraîcher Daniel Pouliot, président du comité de démarrage de la certification Savoir-faire île d’Orléans.

    Au départ, le comité voulait se lancer dans la création d’une appellation d’origine, comme pour l’agneau de Charlevoix. « Mais on s’est vite rendu compte que notre désir de protéger l’ensemble de notre région, autant le territoire que le savoir-faire, nous empêchait de recourir à ce système et qu’il fallait opter pour une certification régie par l’Office de la propriété intellectuelle du Canada (OPIC) plutôt que pour une marque de commerce. »

    C’est le Bureau de normalisation du Québec (BNQ) qui va apporter son expertise au comité de certification Savoir-faire île d’Orléans pour créer quatre cahiers de charges différents qui couvriront tous les secteurs : production agricole, produits transformés, services, arts et culture.

    Une première au Canada

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  • Hugo Boss fait interdire la marque de Joey Starr

    www.lefigaro.fr
    FLORENTIN COLLOMP. Publié le 02 avril 2007

    Choc des cultures : Hugo Boss face à Joey Starr.
    La marque de prêt-à-porter allemande a obtenu gain de cause face au trublion du rap français, devant le tribunal de grande instance de Paris. En cause, le label B.O.S.S., pour Boss of Scandalz Strategyz, créé par Joey Starr, alias Didier Morville, 39 ans, condamné à plusieurs reprises par la justice pour diverses agressions, avec ses copains les DJ Spank et Naughty J.
    Sous cet intitulé, les trois artistes produisent ensemble des disques et des émissions sur Skyrock. En janvier 2004, ils déposent la marque B.O.S.S. pour toute une série de produits, dont 55 types de vêtements, notamment des costumes.

    Hugo Boss réagit et saisit la justice à l'automne dernier.

    Le 14 mars, le tribunal a jugé « illicite » toute utilisation de ce sigle sur des vêtements, mais aussi pour des produits musicaux ou audiovisuels. Il a donc purement et simplement annulé la marque, sous astreinte de 150 euros par infraction constatée.

    Pour le tribunal, la confusion entre Boss et B.O.S.S. est de nature à porter préjudice au groupe allemand car, souligne-t-il dans son jugement, « la marque B.O.S.S. est associée à la personnalité de son titulaire, M. Joey Starr, qui publiquement se veut provocateur et agressif alors que les produits Boss/Hugo Boss sont connus pour leur recherche d'un certain luxe et d'un certain classicisme ».

    La percée des rappeurs dans le prêt-à-porter ferait-elle peur aux gardiens du chic ? L'explosion des marques de banlieue date de la fin des années 1990. Au début, ce phénomène restait considéré comme marginal et communautariste. Rapidement, pourtant, il est apparu comme une menace pour les géants du sportswear, tels Nike, Adidas ou Puma. Et, depuis peu, même les grands noms du prêt-à-porter se sentent concernés.

    Explosion du « bling » business

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