Source : www.sportnat.com
Voici la signification ou l'origine de quelques noms de marques célèbres de randonnées ou de course à pied, à défaut de les utiliser vous pourrez toujours montrer votre science sur le sujet.
Si jamais vous avez d'autres informations sur le sujet, n'hésitez surtout à me les faire parvenir que nous puissions mutualiser nos connaissances.
Adidas : La marque a été créée par Adolf Dassler. Ce dernier était surnommé Adi d'où le nom de "Adidas" donné à sa marque. Son frère Rudolf est le fondateur de la marque "Puma".
Aigle : Le rapace qui a prêté son nom à cette marque depuis 1853 est réputé pour sa capacité à planer sur de longues distances et à repérer de loin ses proies avant de fondre sur elles à grande vitesse. Il vit en Europe et en Amérique du Nord.
ASICS : Le nom de cette marque est l'acronyme de "Anima Sana In Corpore Sano" (une âme saine dans un corps sain) qui est une déformation de la célèbre maxime du poète romain Juvénal : "Mens Sana In Corpore Sano" (un esprit sain dans un corps sain). Il est vrai que MSICS est moins porteur comme nom de marque.
Columbia : En 1937, Paul et Marie Lamfrom émigrent d'Allemagne aux Etats-Unis et ouvrent un magasin de Chapeau dans l'Oregon à Portland qu'ils nomment "Columbia Hat Company" du nom de la rivière Columbia qui passe dans la ville de Portland.
Décathlon : Cette marque fait référence à l'épreuve d'athlétisme du même nom, et quoi de mieux comme symbole pour des magasins multisports que cette épreuve, apparue aux Jeux Olympiques de Saint Louis (Etats-Unis) en 1904, regroupant les disciplines suivantes : 100 mètres, saut en longueur, lancer du poids, saut en hauteur, 400 mètres plat, 110 mètres haies, lancer du disque, saut à la perche, lancer du javelot, 1500 mètres. Seul bémol, cette épreuve est purement masculine.
Lire la suite de l'article
- Page 2
-
-
Téléphones griffés
Source : www.w3sh.com
Posted By Aurelie On 31st August 2006
Après les sonneries, les coques en strass et autres goodies, le téléphone portable va franchir un nouveau pas vers la personnalisation en affichant un logo d’une marque de vêtements ou de sports.
Comme elles s’affichent sur les tee-shirts, les marques de mode ainsi que les marques de cosmétiques et de luxe vont ainsi envahir nos portables.
Précurseur sur ce marché, [1] Modelabs (qui a lancé en 2005 des portables pour la marque de sport Airness et pour l’agence de mannequins Elite.) va sortir en octobre un téléphone aux couleurs de la télévision musicale américaine MTV.
Un autre projet est prévu pour la fin de l’année en partenariat avec une marque de jeu vidéo japonais, dont le nom est tenu secret. Des contenus spécifiques accompagnent ces téléphones. Les portables MTV proposeront ainsi des vidéos clip, des extraits d’émissions.
Il faut savoir que le téléphone griffé de luxe est un marché prometteur puisqu’il pourrait représenter un chiffre d’affaires équivalent à celui de la montre de luxe. -
PinkTV enfin propriétaire de son nom
Source : www.tetu.com
Copyright tetu.com
par Louis Maury
France (Télévision)
PinkTV a racheté son nom! Condamnée le 2 mai pour contrefaçon par le tribunal de grande instance de Paris, la chaîne gay n'avait plus le droit d'user du mot «Pink» (lire Quotidien du 3 mai). La chaîne a donc reglé cette affaire à l'amiable, sans quoi elle aurait pu se trouver dans l'obligation de se rebaptiser.
Le 2 mai dernier, PinkTV avait été condamnée pour contrefaçon par la justice qui lui avait interdit d'utiliser la marque «Pink». En effet, la chaîne, lancée le 25 octobre 2004, était poursuivie devant la troisième chambre civile du tribunal de grande instance de Paris par la société de production Fovea, qui avait déposé la marque «PINK» le 27 décembre 1999.
Fovea était le producteur de l'émission «PINK» (Programme d'Information Non Konformiste), dont sept volets ont été diffusés par France 2 à partir de janvier 2000. Fovea avait assigné la chaîne en janvier 2005 pour contrefaçon tant de sa marque que de ses droits d'auteur. Dans son jugement, le tribunal jugeait que «l'atteinte portée aux droits d'auteur antérieurs de la société Fovea était caractérisée» et prononçait la nullité des marques PinkTV et de ses déclinaisons.
Il était même fait interdiction à la société d'utiliser le signe Pink sous quelque forme que ce soit, sous astreinte de 10.000 euros par jour de retard, disposait le jugement. PinkTV avait alors annoncé son intention de faire appel du jugement. «Je les avais prévenus en 2004 lors du lancement de l'antenne, a précisé la directrice de Fovea, Isis Colombe-Combreas au quotidien gratuit 20 Minutes.
J'avais même proposé un arrangement à l'amiable, qui leur aurait coûté bien moins cher!» Aucune des parties ne souhaite maintenant révéler le montant de la transaction. «L'essentiel est que PinkTV soit désormais propriétaire de son titre», précise la chaîne. -
Guge, le nouveau nom chinois de Google, suspect de ringardise
Source : www.01net.com
Nicolas Sridi, de Pékin , 01net., le 26/04/2006 à 17h08
La filiale locale du moteur de recherche vient de changer de nom.
Mais ses connotations rurales suscitent une vague de protestations.
Google China, qui s'est déjà fait remarqué pour s'être rapidement conformé à la censure du Parti, vient de siniser son nom pour devenir Guge (prononcer « Gou Gue »). Le but de la manoeuvre est évidemment de se rapprocher des internautes de l'Empire du milieu. Un sondage, récemment réalisé en Chine, montre que plus de la moitié des personnes interrogées n'était pas capable d'épeler correctement « Google ». Mais le choix du second moteur de recherche en Chine (après Baidu.com) ne fait pas l'unanimité. Et il existe désormais un site pour protester, noguge.com.
« Guge » en chinois évoque les chants folkloriques entonnés par les paysans au cours des récoltes, c'est cette connotation rurale et traditionnelle qui déplaît le plus. Pour les internautes chinois, majoritairement citadins, Google est le symbole d'une modernité à l'occidentale basée sur la high-tech. Ainsi, le site permet de participer à une pétition réclamant le changement du nom. Les slogans de la campagne sont explicites : « Google on t'aime, mais on n'aime pas Guge » ou encore « Guge n'est pas un nom correct, nous sommes insatisfaits, Google est-ce que tu nous entends ? ».
Près de 10 000 personnes ont déjà signé la pétition et beaucoup ont laissé leurs commentaires sur le site. « Google évoque pour moi un sentiment d'indépendance alors que Guge me semble trop traditionnel et vieillot. » Tom Doctoroff, responsable de la filiale chinoise de l'agence publicitaire internationale JWT, se montre plus tempéré, mais néanmoins critique : « Un chant rural n'a rien à voir avec le sens original de Google. Vous faites de telles erreurs lorsque vous ne connaissez pas vos consommateurs. Selon moi, il s'agit d'une faute grave. »
Côté utilisateurs, c'est Gougou (« chienchien ») qui semble être le nom le plus apprécié, car il colle parfaitement au signe du zodiaque chinois pour 2006, le chien. Mais Guge ne se laisse cependant pas démonter par cette vague de critiques. Un porte-parole de Google China a ainsi expliqué que « des noms comme Gougou ne correspondent absolument pas à l'image d'une entreprise ou d'un produit et ne reflètent ni nos objectifs ni notre mission ». -
Les marques chinoises partent à l'assaut
Source : www.letemps.ch
Angélique Mounier-Kuhn
Lundi 4 septembre 2006
• Dans quelques années, les marques chinoises peupleront notre quotidien.
• Certaines, comme Haier et Lenovo, se sont déjà taillé une réputation incontournable.
Divaguons un peu. Dans la cuisine, un réfrigérateur Haier et un four à micro-ondes Galanz, dans le salon un écran télévision TCL et sur le bureau, à côté de l'ordinateur portable Lenovo, un téléphone Bird. Garée dans l'allée, devant la maison, un 4x4 Landwind dernier cri. Il faudra s'y faire. Toutes ces marques chinoises, encore incongrues à nos yeux et nos oreilles, feront un jour partie de notre quotidien.
«Cela va arriver plus tôt que ce que l'on croit», soutient Dominique Turpin, professeur de marketing à l'IMD de Lausanne. «Les Chinois sont beaucoup plus rapides que les Japonais qui avaient mis deux décennies à développer la renommée internationale de leurs marques.»
«Les Occidentaux ont cru que les entreprises chinoises se concentreraient sur l'immensité de leur marché intérieur», ajoute le professeur. Erreur d'appréciation. Car la Chine, premier atelier du monde, a déjà bien compris tout l'intérêt qu'elle aurait à ne pas se cantonner éternellement à son rôle de sous-traitant pour nos entreprises occidentales.
Après avoir œuvré à la constitution de géants économiques nationaux, elle a dorénavant mis le cap sur la maîtrise de la très lucrative chaîne de distribution à l'international. «La Chine passe du stade de producteur pour les autres au stade de possesseur de marques, chinoises ou rachetées. Et ce n'est qu'un début», déclare ainsi Yves Carcelle, président de Louis Vuitton International.
Pour ce faire, les entreprises de l'Empire du Milieu disposent de deux avantages colossaux: un réservoir inépuisable de main-d'œuvre bon marché, gage de prix imbattables, et leur faculté d'innovation rapide, en reprenant au besoin à leur compte les technologies importées par les entreprises étrangères. Autre atout, le soutien déterminé des autorités. «A l'heure de la mondialisation, l'un des objectifs économiques du gouvernement est d'encourager des entreprises à acquérir une dimension internationale, capable de concurrencer les firmes occidentales et japonaises», confirme Rengang Huang, délégué économique de la Chine auprès de l'Organisation mondiale du commerce. D'ailleurs, la Chine entend bien profiter des Jeux olympiques de Pékin en 2008 comme d'une vitrine planétaire pour ses champions émergents. Air China, Tsingtao, Haier et Lenovo en sont notamment les sponsors.
Pour l'heure, seule une poignée de marques jouit d'une notoriété incontournable. En faisant l'acquisition fin 2004 de la division PC de l'américain IBM, Lenovo, premier fabricant d'ordinateurs en Chine, s'est propulsé au troisième rang mondial. TCL est devenu le plus grand producteur d'écrans télé au monde avec la reprise de certaines activités de Thomson en 2003. Après avoir conquis l'Asie du Sud-Est et l'Afrique, le fabricant d'électroménager Haier accapare déjà un tiers du marché américain des réfrigérateurs. Aujourd'hui, il affiche ostensiblement l'ambition de ravir la première place en Europe.
Pour les autres, la longue marche a débuté. «Les marques chinoises sont conscientes qu'il leur faudra encore du temps et beaucoup d'efforts pour rattraper leurs concurrentes occidentales. Mais elles s'y préparent sans relâche», précise Rengang Huang. Ainsi, la Chine a encore beaucoup à faire pour se mettre à la page des techniques de marketing occidentales. Il lui faudra notamment convaincre la clientèle européenne que le positionnement de ses produits, le bas de gamme, n'est plus nécessairement synonyme de piètre qualité. Mais plutôt qu'avec un produit chinois, la ménagère en a pour son argent.
«La qualité n'est plus un facteur de différentiation. Aujourd'hui, tout le monde vend des produits de qualité. Y compris la Chine dont la plupart des usines sont déjà aux standards occidentaux», affirme Dominique Turpin. -
Ecrire son nom en hiéroglyphes comme au temps de l'Egypte des pharaons
Source : www.egyptos.net
Entrer votre nom et cliquez sur afficher pour voir la traduction en hiéroglyphes (chaque hiéroglyphe représente un son ou une consonne): cliquer ici
La traduction est effectuée à partir des signes unilitères (qui désigne une consonne ou un son), il faut savoir que l'écriture égyptienne a aussi utilisé des signes qui avaient valeur de deux consonnes (les signes bilitères) ou de trois consonnes (les signes trilitères). -
Orion, le nom du prochain vaisseau spatial de la Nasa
Source : www.lefigaro.fr
Publié le 25 août 2006
«Nous l'avons appelé le Crew Exploration Vehicle pendant plusieurs années, mais aujourd'hui il a un nom : Orion.» La Nasa ne devait dévoiler le nom de son nouveau vaisseau que le 31 août, en même temps que l'attribution des marchés pour sa construction.
Mais après la diffusion accidentelle d'un message enregistré par l'astronaute américain Jeff Williams, depuis la Station spatiale internationale, l'agence spatiale américaine a décidé d'annoncer officiellement son nom.
En choisissant Orion, la constellation d'étoiles la plus connue et la plus facilement identifiable depuis la Terre, la Nasa espère que le nom du vaisseau deviendra aussi évocateur, dans le domaine de l'exploration spatiale, que l'a été Apollo dans les années 1960 et 1970.
Lire la suite de l'article