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  • Le nom des nombres

    Source : Nicolas Granier
    Le nom des nombres :
    le système français étendu.



    Entrez un nombre en chiffres et cliquez sur Afficher pour faire apparaître son nom en toutes lettres.
    N = (cliquer ici)

    Afficher en toutes lettres :
    le nombre N lui-même.
    le nombre 10N c'est-à-dire un 1 suivi de N zéros.
    le nombre 106N soit le N-ième nombre en "...illion".

  • Cannes, marque déposée

    Source : www.lefigaro.fr
    Fabienne Reybaud. Publié le 22 août


    Ses palaces, ses casinos, ses boutiques de luxe, sa Croisette, son Palais des festivals... Moins people que Saint-Trop’, plus sexy que Monaco, la cité cannoise attire chaque année plus de 2,5 millions de visiteurs. Un village global où princes saoudiens,banquiers londoniens et nouvelles fortunes russes trouvent...leurs marques.

    medium_canne.2.jpg(AP / J. Christensen)

    « Nous assumons totalement le fait d’accueillir ici les gens les plus riches du monde ! affirme David Lisnard, maire adjoint de Cannes et président du Palais des festivals et des congrès. Hôtels, restaurants, clientèle..., le haut de gamme est surreprésenté, cela fait partie de l’identité de la ville et nous permet aussi de beaucoup redistribuer : Cannes a un taux record de logements sociaux pour la région, le même que celui de Marseille ! » Bien. Évidemment, sur cette fameuse Croisette longue de 4 kilomètres, où les chauffeurs de taxi prennent des cours d’anglais mais oublient de mettre le compteur, ce ne sont pas les HLM qui sautent aux yeux... Sinon une enfilade de palais et d’hôtels somptueux, d’immeubles élégants et de plages chauffées à blanc non par l’odeur des sardines grillées mais par les compils lounge et des infusions frappées de verveine- gingembre sirotées avec indolence par de jeunes Ukrainiennes en Bikini Dior, quand ce ne sont pas des princesses arabes voilées de Pucci. Le pittoresque et le folklore cannois sont là.

    Les 70 000 habitants de la cité azuréenne se moquent comme d’une guigne des danses provençales et de la pêche locale. Cela ne leur a jamais rapporté un sou. La beauté de la baie, si. Le nom de leur ville encore plus : depuis quelques années, Cannes est, à l’instar d’un produit de luxe, une marque déposée. Avec tout ce que cela comporte en termes d’image, d’offre et de services...

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  • Insolite : Apple s'attaque aux noms en 'Pod'

    Source : www.clubic.com
    Publiée par Alex le Mercredi 16 Août 2006
    Brève Insolite


    Est-il abusif d'utiliser un nom à la consonance proche de celle d'un baladeur à grand succès pour désigner et promouvoir un appareil dont la finalité est tout autre ? Pour Apple, la réponse à cette question ne fait apparemment aucun doute. La firme à la pomme a en effet récemment demandé par courrier à deux sociétés de cesser et de renoncer à utiliser la syllabe « pod » dans le nom de leurs produits, évoquant une violation de la marque « iPod ».

    medium_pod.jpg

    Mach5products commercialise un appareil baptisé Profit Pod, destiné à recueillir les informations émises par les distributeurs automatiques ou les bornes d'arcade munis d'un collecteur et à dispenser du comptage manuel des pièces de monnaie. Selon Apple, la présence d'un écran, la proximité avec l'univers du jeu vidéo, la forme rectangulaire et - bien sûr - la présence de la syllabe « pod » dans le nom sont des arguments suffisants pour justifier la confusion entre le Profit Pod et ses propres produits. Une lettre similaire serait parvenue siège de TightPod, qui fabrique des protections pour ordinateurs portables.

    Le Profit Pod de Mach5products

    D'après un avocat spécialisé dans le droit des marques, ce genre de démarche serait relativement courant, les marques cherchant à se protéger par tous les moyens de la concurrence, ou de la dilution de leur marque lorsque la proximité entre deux produits ne parait pas évidente. Dans le cas de la société Mach5products, c'est une demande de dépot sur la marque Profit Pod, déposée en 2004, qui a vraisemblablement poussé Apple à demander le changement de nom.

  • Dites 'pod' et Apple voit rouge...

    Source : www.neteco.com
    Par la Rédaction


    Apple menace les entreprises qui glissent l'expression 'pod' dans le nom de leurs produits

    Les entreprises qui rencontrent le succès avec un produit sont très souvent susceptibles lorsque des produits 'concurrents' adoptent une orthographe dont la consonance est proche de celle du nom de leur propre produit.

    Apple, dont la susceptibilité n'est plus à démonter, ne déroge pas à la règle. Fort du succès mondial de son 'iPod' - très largement premier baladeur numérique du marché en volume, comme en chiffre d'affaires ou en part de marché (80 %) - le constructeur s'inquiète de l'apparition de produits pas forcément concurrents, mais dont il juge le nom trop proche du sien.

    Ainsi en est-il de 'Profit Pod', une borne de comptage des pièces de monnaie pour les distributeurs automatiques, et de 'TightPod', un fabricant de protections pour ordinateurs portable, qui ont été invités par Apple et par courrier à renoncer à l'utilisation de la syllabe 'pod'.

    Que leur reproche Apple ? De violer sa marque 'iPod' en plaçant dans dans leur marque, ou le nom de leurs produits dont l'activité est jugée trop proche de celle de l'iPod, la syllabe 'pod'.

    L'action d'Apple n'est pas nouvelle. Les entreprises cherchent à protéger leurs marques, dont le coût d'installation dans l'esprit du consommateur représente souvent un investissement marketing et publicitaire considérable. Les poursuites engagées contre Google, dont les règles parfois jugées laxistes permettent d'exploiter des noms de marques concurrentes dans des liens sponsorisés, viennent nous le rappeler.

    Le constructeur cherche à écarter toute forme de concurrence qui pourrait faire de l'ombre à son produit et aux marges qu'il dégage.

    Il faudrait cependant rappeler à Apple qu'un 'pod' est une 'cosse', et que la plupart des appareils électriques et électroniques disposent de 'pods' ? Si son service juridique devient actif sur cette expression, Apple pourrait bien réserver des surprises à de nombreuses entreprises…

  • Le terme "Pod" est-il la propriété d'Apple ?

    Source : www?neteco.com
    17/08/2006


    Estimant le risque de contrefaçon de marque élevé, Apple a alerté plusieurs sociétés pour qu'elles cessent d'associer le terme 'Pod' à leurs marques et produits

    Contrefaçon de marque ?

    Susceptible, Apple a envoyé la semaine dernière des lettres d'alerte à des sociétés américaines pour qu'elles cessent d'utiliser le terme "Pod".

    Estimant le risque de contrefaçon de marque élevé, le concepteur du baladeur numérique le plus vendu au monde, l'iPod, leur demande de renommer leurs produits et marques "afin d'éviter toute confusion".

    Mach5products a reçu l'une de ces lettres. Cette société basée en Floride commercialise un terminal de collecte de données depuis des machines, jeux et distributeurs, nommé "Profit Pod".

    Apple aurait indiqué dans sa lettre que "les deux appareils transmettent et reçoivent des données, fonctionnent avec un ordinateur et ont des composantes similaires."

    TightPod, un fabriquant d'étuis pour ordinateurs portables basé dans le New Jersey, a lui aussi été alerté par le groupe informatique américain. Terry Wilson, gérant de TightPod, serait prêt à accepter les doléances d'Apple, à la condition que le groupe participe pour moitié au financement de l'opération.

    La multinationale est en position de force face à ces entreprises de taille moyenne. Sa démarche, protéger ses investissements et ses marques, y compris vis-à-vis d'entités actives dans d'autres secteurs, n'est pas nouvelle.

    Récemment Google "a invité" plusieurs organes de presse, dont le puissant Washington Post, à ne plus utiliser le terme 'to Google' et ses dérivés pour désigner une recherche effectuée sur Internet.

  • DÉPOSER UNE MARQUE

    Source : APCE Agence Pour la Création d'Entreprises

    medium_apce_logo.2.gif

    Toute entreprise, quelle que soit sa forme, ou toute personne physique, peut déposer une marque auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi).

    Il peut s'agir d'une marque de fabrique, de commerce ou de service, ou tout simplement du nom de l'entreprise s'il est suffisamment original et non encore utilisé par une autre entreprise concurrente.

    Que peut-on déposer en tant que marque ?

    Un signe verbal, qui peut s'écrire ou se prononcer (nom, mots, lettres, chiffres, sigle, slogan...).
    Un signe figuratif (dessins, logos, hologrammes, reliefs... mais aussi des formes, nuances précises ou combinaisons de couleurs...).
    Un signe sonore (sons, phrases musicales pouvant être matériellement traduits).

    Ces signes doivent être distinctifs et suffisamment originaux.

    Le dépôt d'une marque ne doit pas porter atteinte à des droits antérieurs. On ne peut, par exemple, déposer un nom qui a déjà fait l'objet d'une marque antérieure ou qui est déjà utilisé par une autre entreprise dans le même domaine car il y a alors un risque de confusion dans l'esprit du public. Les titulaires des marques notoirement connues se protègent quelque soit le produit ou le service visé.

    Certaines terminologies peuvent être sévèrement réglementées ou irrecevables en tant que marque. Attention, par exemple, à l'emploi des mots "France", "Français", "Europe" ou encore "médical", "docteur" et d'une manière générale, de toute terminologie pouvant entraîner une confusion dans l'esprit du public. De même, ne sont pas admises les marques ayant une consonance ou une apparence similaire.


    Pourquoi déposer une marque ?

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  • Google désapprouve l'emploi de son nom en tant que verbe

    Source : Challenges.fr | 17.08.2006

    Le célèbre moteur de recherche Google a considéré comme une insulte le fait que son nom soit employé en tant que verbe, rapporte le quotidien britannique Times du jeudi 17 août. Une telle pratique pouvant porter atteinte à son image.

    medium_google.2.jpg


    L'emploi du verbe “to google“ dans le langage courant a explosé ces dernières années et deux dictionnaires ont récemment ajouté ce verbe dans leur recueil de mots. Le “Merriam-Webster“ y associe la définition “utiliser le moteur de recherche Google pour rechercher, sur le web, des informations sur quelqu'un ou quelque chose“.

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  • Les «Pages jaunes» perdent leur statut de marque protégée en Allemagne

    Source : www.agefi.com
    Vendredi - Samedi - Dimanche 11 - 12 - 13 août 2006

    La décision de l’agence de protection des brevets et des marques pourrait coûter très cher à Deutsche Telekom qui n’a toujours pas privatisé cette activité.

    Frédéric Therin à Munich

    L’annonce est un coup dur pour DeTeMedien. Après deux ans de réflexion, l’agence allemande de protection des brevets et des marques (DPMA) a annoncé hier sa décision de retirer de sa liste de noms protégés «Gelbe Seiten» et «Yellow Pages», les traductions en allemand et en anglais de «Pages jaunes».

  • Quand les boutiques Brice s'attaquent à «Brice de Nice»


    ANNE SALOMON. Publié le 11 août 2006

    www.lefigaro.fr

    Les producteurs du film «Brice de Nice» condamnés pour contrefaçon de marque.

    RIEN ne semblait pouvoir atteindre Brice de Nice. Le film, sorti en janvier 2005, avait rencontré un succès inespéré. Avec plus de 4 millions d'entrées, il se situait juste après les énormes machines américaines Star Wars et Harry Potter. Les producteurs du film avaient même été autorisés par Nike à imprimer son emblématique virgule - mais à l'envers - sur le tee-shirt jaune du héros. Le groupe américain avait longuement jaugé la nouvelle virgule et finalement décidé qu'elle constituait un clin d'oeil à la leur, presque un hommage. Tout se déroulait donc comme dans un rêve.

    medium_brice.jpgMais voilà qu'un beau jour d'avril, les producteurs apprennent que des poursuites pour contrefaçon sont engagées contre eux. La virgule de Nike n'est pas concernée, la couleur jaune n'est pas déposable... C'est en réalité une entreprise de prêt-à-porter dont les magasins sont situés dans des galeries commerciales qui réclame justice. Elle s'appelle Brice et s'offusque que son nom ait pu être utilisé sans avoir été consultée. Elle demande que Mandarin, la société de production, ne puisse plus user du nom Brice sur ses tee-shirts ou son site Internet. L'entreprise va plus loin encore en faisant remarquer que son magasin de Nice pourrait souffrir de l'existence du site bricedenice.com.

    Bref, Brice estime avoir le monopole de Brice et accuse ni plus ni moins Mandarin de contrefaçon. Au passage, elle lui réclame 150 000 euros de dommages et intérêts, 200 euros par infraction constatée et 10 000 euros par jour jusqu'à ce que Mandarin ait cessé complètement d'utiliser la marque Brice.

    Tee-shirt Brice ou tee-shirt de Brice

    Le coup est rude. L'avocat de Mandarin, Marc Schuler, du cabinet Taylor Wessing, se demande alors comment un prénom pourrait être déposé et donc protégé comme une marque... À la mi-juillet, les juges parisiens lui ont donné raison sur ce point. Mais ils ont quand même condamné Mandarin à verser 14 000 euros à Brice.

    La raison n'est pas banale. Sur le site du film, un slogan a posé problème aux magistrats : « N'oublie jamais de porter ton tee-shirt Brice avant de brancher une nana. » Et là, on ne plaisante plus avec le droit. Mandarin aurait pu écrire « ton tee-shirt de Brice » mais pas « ton tee-shirt Brice ». Car un vêtement Brice est la propriété de la marque du même nom. En termes juridiques, cela s'appelle de la contrefaçon par reproduction. Et c'est à ce titre que Brice de Nice a finalement été condamné.

    En revanche, Mandarin a parfaitement le droit de continuer à exploiter le prénom Brice. Car selon les juges, aucune confusion n'est possible aux yeux des consommateurs. D'une part parce que les vêtements classiques commercialisés par Brice ne sont en rien comparables avec les tee-shirts exclusivement jaunes du personnage du film. En outre, les tee-shirts Brice de Nice ne sont disponibles que sur Internet alors que Brice est vendu dans des magasins en dur. L'infraction de contrefaçon par imitation n'a donc pas été retenue. Autrement dit, Mandarin va pouvoir continuer à exploiter son filon. On chuchote même qu'un Brice 2 serait en préparation...

  • Plus qu'un nom

    Sheila Copps
    11/08/2006 21h33

    Journal de Montréal


    Quelqu'un peut-il mettre du plomb dans la tête de Réal Bourassa? Pourquoi une personne normale affublerait-elle une franchise de basket-ball d'un nom qui soit aussi méprisant que «vaches» l'est pour les femmes et «nègres» pour les Noirs?
    Dégradant et humiliant
    Pouvez-vous imaginer des Outgames organisés par de «grandes pédales»? Raciste est la seule façon de qualifier son utilisation du mot «frogs».


    Je soupçonne qu'en proposant un tel nom pour sa nouvelle franchise de l'Association américaine de basket-ball, l'entrepreneur québécois Bourassa savait qu'il allait soulever pareille controverse.

    «Le Québec encouragera-t-il les Frogs?». clame un titre à la une du Globe and Mail, faisant ainsi allusion à la controverse. Politiciens et rédacteurs sportifs ont mis le nom au pilori, mais M. Bourassa n'en démord pas.

    Il dit qu'on l'a plus d'une fois surnommé «frog» sans que ça ne l'affecte. Toutefois, M. Bourassa, c'est une chose de choisir de rire de soi-même, et c'en est une autre de former une équipe qui sillonnera l'Amérique du Nord comme une caricature du peuple québécois.

    Même son deuxième choix de nom, Kebekwa, semble ridiculiser les gens. Si Bourassa a quelque chose à prouver, il devrait choisir une autre arène que le sport. Politique et sports sont une combinaison mortelle qui ne peut que ruiner les chances de son équipe.

    Les «Jumping frogs» seraient non seulement une humiliation pour la plupart des Québécois, mais ce nom pourrait également entraîner le boycott de son équipe.

    S'il est une chose que les Québécois détestent, c'est bien l'affront, et ce choix bizarre semble destiné à en être un...

    Évocateur et inspirant
    Quant au basket-ball, il est grand temps qu'une nouvelle équipe s'installe au Québec et les noms ne manquent pas pour inspirer la fierté à la province. Forteresse de Québec, par exemple, nom évocateur de force et d'unité, éléments inspirants s'il en est pour une équipe gagnante.

    En outre, il focaliserait l'attention sur la nature historique de la ville de Québec, qui est l'un des deux sites urbains du patrimoine mondial de l'UNESCO au Canada.

    Ou encore les Maraudeurs de Montmorency, pour rappeler la magnifique chute située près de la ville de Québec. Très peu de joueurs peuvent rêver en égaler la hauteur !

    Même les plaines d'Abraham serait un grand nom pour une équipe désireuse de faire les annales du basket-ball au Québec.

    La réussite de toute nouvelle équipe nécessite le soutien de la collectivité entière. Cela ne rime à rien de la mettre au monde avec un nom insultant pour les francophones. Les clichés grossiers doivent être abolis plutôt que d'être érigés en appellations d'origine.

    Clichés grossiers
    Pouvez-vous imaginer un Terre-Neuvien qui nommerait son équipe «les Newfies» ? Qu'en serait-il des «Pois de senteur» pour une équipe de Hamilton ? Autant d'images navrantes dont les collectivités essaient désespérément de se débarrasser.

    N'en faites pas un nom d'équipe, donnant ainsi crédit aux bigots qui se délectent surtout des clichés grossiers. M. Bourassa a un choix vaste comme le monde.

    En tant que passionnée de basket-ball (et ancienne championne canadienne de ce sport), j'aimerais bien assister à un match au programme de la nouvelle ligue américaine.

    Cependant, si cela veut dire appuyer le dénigrement de la culture française, ne comptez pas sur moi.

    Les seules grenouilles que je connaisse sont dans l'étang derrière chez moi.

  • Équipe de basketball : Un nom controversé

    Souce : www.radiocanada.ca
    Mise à jour le vendredi 11 août 2006, 13 h 52 .

    Jumping Frogs

    La suggestion du propriétaire de la nouvelle équipe de Québec de l'Association américaine de basketball de nommer son équipe les Jumping Frogs continue de susciter des réactions.

    medium_jump.jpgL'ancien ministre responsable de la Francophonie, Denis Coderre, somme les dirigeants de mettre tout de suite cette option au panier. Comme plusieurs, le député libéral de Bourassa la considère comme une insulte pour les francophones. « Je trouve ça dégradant. [...] Ça va être quoi notre hymne national, la chanson de notre ami Robert Charlebois ? », s'insurge M. Coderre.

    Cette possibilité a notamment provoqué des réaction dans les quotidiens La Presse et le Globe and Mail, de Toronto. Le propriétaire de la nouvelle franchise de basketball défend cependant son choix d'appeler son équipe les Jumping Frogs.

    L'organisation hésite toutefois entre ce nom et celui de Kebekwa. Le nom retenu sera annoncé à la fin du mois à la suite d'un vote populaire sur Internet. Les Jumping Frogs ou les Kebekwa disputeront leur premier match en novembre.Les explications de Marc Durand

  • Nouveauté : Kia Cee'd, tel est son vrai nom

    Source : www.moniteur-automobile.presse.fr/fr/

    On attendait un patronyme au modèle issu du concept présenté à Genève. Finalement, Kia a décidé de garder le même nom.

    medium_voit1.jpg


    Dans le genre, Kia a fait fort.
    On nous présente un concept en faisant miroiter l'annonce d'un nouveau nom pour le modèle définitif.
    Et en fin de compte, et ben c'est le même !
    La Cee'd (prononcer Sid) est la nouvelle voiture familiale du segment C de Kia.
    Un modèle conçu et construit en Europe, en Slovaquie, et attendu sur nos marchés en décembre.
    On n'apprendra rien de neuf sur le modèle, hormis qu'il devrait marquer un tournant pour le constructeur.
    En prime, Kia nous a proposé quelques clichés de l'intérieur de la Coréenne

  • Appelez-moi PLAYSTATION 3 !

    www.inpactvirtuel.com

    Lundi 14 août 2006 à 06h30, rédigé par Gizmo

    Sony présente la première console majuscule

    Play Station, Playstation, Pléstèchionne... mais comment ça s'écrit, #@!! de !!$%@^# ?" s'insurge le correcteur sous amphets qui perd les pédales au bout de sa soixantième news corrigée en une demi-heure...


    medium_plays.jpg

    Revenons quelques années en arrière... La PlayStation, première du nom, s'écrit PlayStation, avec un P et un S majuscule. Ses abréviations, PSX ou PSOne n'ont jamais été officielles. PSX était, si mes souvenirs sont bons, son nom de code, d'ailleurs. Quant à la PSOne, c'est le nom de la PlayStation blanche et petite, sortie à la fin de la vie de la console.

    La PlayStation 2 s'écrit de la même manière : P et S majuscules. Mais jamais le nom de PS2 n'a été officiellement autorisé. Bon, ne rêvez pas, hein, ce n'est pas pour ça que Sony ne l'a pas déposé...

    Idem pour la PlayStation Portable. Notez les majuscules. Idem pour le nom PSP, jamais officiellement autorisé, même s'il orne la console, justement.

    Bon, on vous rassure, hein, qui dit non officiellement autorisé, ne veut pas dire non toléré...

    Tout ça pour dire que par contre, tout change pour la PLAYSTATION 3. En effet, l'écriture officielle se voudra tout en majuscules. Et que Sony utilisera également officiellement l'abréviation PS3.

    Voilà voilà voilà...

  • Annonce des marques nationales préférées des internautes chinois

    Source: le Quotidien du Peuple en ligne

    medium_chinois.gif




    Les résultats de l'Enquête 2006 sur les marques préférées des internautes chinois ont été annoncé dernièrement au public et les prix honorifiques ont été décernés aux dix lauréats suivants :

    Wuliangye (producteur d'alcool), Guangfa (carte de crédit bancaire), Xuechi (groupe de confection d'habits), Stare Grid Corporation of China (producteur d'électricité), Haier (groupe de fabrication d'équipements électroménagers), China Construction Bank Corporation (principal banque d'Etat), Hongta (groupe de fabrication de cigarettes), Chiao Tung Bank Co. Ltd (Bank of Communications, l'une des quatre plus anciennes banques chinoises fondée en 1907 sous la dynastie des Qing) et Lenovo China (le plus grand producteur d'équipements informatiques de Chine).

    D'autre part, Wuliangye a obtenu le prix leader des dix grandes marques chinoises.

    La présente enquête a été lancée et organisée par l'Association chinoise d'internet.

  • Votre nom .fr !

    www.seniorplanet.fr

    Désormais, les particuliers ont la possibilité de déposer leur nom et d'enregistrer des noms de domaines directement en ".fr".
    Un moyen pratique de laisser son empreinte dans le monde du Net en créant sa propre adresse e-mail ou/et un site Internet ultra personnalisé de type "monnom.fr".


    medium_senior.jpg

    Depuis le 20 juin à 9 heures, les particuliers peuvent enregistrer un nom de domaine terminant par ".fr" et donc avoir une adresse Internet très "frenchie" ! Jusqu'ici, seuls les professionnels, les associations ou encore les organismes publics pouvaient bénéficier de cette terminaison.

    Désormais, chacun peut laisser libre cours à son imagination et déposer le nom de domaine en ".fr" qui lui ressemble. Un nom, un pseudo ou n'importe quel mot du moment qu'il est encore disponible. On peut ainsi disposer d'une adresse email en propre et facilement mémorisable sous la forme prénom@nom.fr, par exemple.

    C'est pareil pour les sites Internet. On peut créer un nom de domaine à partir de notre nom (mathieulyon.fr) ou d'un mot existant (crapaudromain.fr), le choix est entièrement libre. Pour le mettre en place et le conserver, il faut s'acquitter d'une somme chaque année, comme un abonnement.

  • Starwood pré-lance sa nouvelle marque sur le Web grâce à un univers 3D

    www.lejournaldunet.com

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    Plutôt que d'attendre 2008 et l'inauguration du premier hôtel de sa future chaîne pour communiquer, Starwood le recrée virtuellement et invite les internautes à vivre l'expérience pour se familiariser avec le concept. (10/08/2006)


    Comment faire connaître une marque et familiariser les consommateurs avec un concept alors que le produit n'existe pas encore ? Grâce à Internet et à un jeu qui recrée virtuellemenent le produit et permet de l'utiliser. Telle est la solution adoptée par le groupe hôtelier d'origine américaine Starwood, propriétaire entre autres des marques Sheraton, Le Meridien et Westin Hotels & Resorts, pour le lancement d'une nouvelle marque baptisée Aloft. Créé officiellement en 2005, ce nouveau concept d'hôtellerie devrait en effet ne voir physiquement le jour que tout début 2008 en Amérique du Nord.

    Aussi, afin de faire naître très rapidement autour de cette marque encore virtuelle des comportements de fidélité, le groupe Starwood a décidé de faire appel a une agence de marketing électronique, ElectricArtists. Objectif : créer le premier hôtel virtuel de cette future chaîne. Construit sur une île imaginaire baptisée Aloft island, cet établissement conçu en 3D sera, à compter du mois de septembre 2006, l'exacte réplique des futurs hôtels et sera accessible aux joueurs.

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  • la Corolla va changer de nom

    www.nouvelobs.com

    Bruits de couloir

    10/08/2006 15:02 - Si l'on en croit les confessions faites à nos confrères de Automotive News sous couvert d'anonymat, la prochaine génération de la Toyota Corolla ne s'appelera pas... Corolla.

    medium_logo_toyota.jpg

    Décidé à reproduire le succès rencontré par la Yaris dans le segment inférieur, le constructeur nippon serait sur le point de renoncer à ce patronyme quarantenaire pour sa future berline compacte. Mais seulement en Europe où le modèle souffre d'une image moins jeune et moins dynamique que celle de ses concurrentes directes.

    S'il est confirmé, ce changement de nom coïncidera avec la petite révolution stylistique que s'apprête à vivre la Corolla. Il n'empêche. L'opération semble très risquée, certaines voix au sein des troupes Toyota laissant même entendre qu'il serait suicidaire de se priver d'un nom commercial connu de par le monde. Toyota n'est d'ailleurs pas le dernier pour rappeler que, depuis 1966, la Corolla s'est vendue à 30 millions d'exemplaires...

  • Babar, une marque qui a de la défense

    www.lesechos.fr
    (07/08/2006) [ 07/08/06 - 08H50 ]
    ELISA MORÈRE

    En soixante-quinze ans, Babar est devenu le chouchou de plusieurs générations. Cent-cinquante licenciés se partagent dans le monde l'image de l'éléphant.

    medium_babar.jpg

    Petits, vous avez sûrement personnellement connu Babar. Vous avez en tête l'image d'un bon gros animal qui parle, d'un père comblé, d'un ami fidèle... Mais avez-vous imaginé que Babar était aussi une affaire en or ? Mieux : un poids lourd placé au Top 10 des marques françaises les plus importantes dans le domaine jeux et jouets selon le classement de la société NPD. Poids lourd audiovisuel aussi puisqu'il est diffusé quotidiennement dans 150 pays. Côté licences, il cartonne tout autant. Catherine Banos-Bernard, à Canal+, directrice déléguée en charge du lien entre les licenciés et les ayants droit de Babar, la société Nelvana, confirme : « Nous avons plus de 65 licenciés en France. C'est énorme puisque 10, c'est déjà formidable ! » Dix-sept nouveaux licenciés ont été enregistrés en 2005, et 10 de plus, ou en renouvellement de contrat, durant les six premiers mois de 2006. De plus, 150 licenciés se partagent dans le monde la manne financière autour du personnage. Il n'y a que l'Amérique latine qui n'accroche toujours pas et les Etats-Unis qui classent Babar chez les snobs et le jugent réservé à une élite enfantine née dans la soie.

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  • Des préservatifs au nom déposé de CCTV-1 ?

    Source: le Quotidien du Peuple en ligne

    CCTV-1, acronyme pour la première chaîne de la China Central Television, le nom de la société d'état de télévision de Chine, pourrait devenir une marque déposée de préservatifs si l'application d'un homme d'affaires local est approuvée.

    Cependant, les fonctionnaires de CCTV ont exprimé leur étonnement et choc à ce projet, et réfléchissent à comment protéger leur nom de marque.

    Li Zhenyong, de la province du Fujian (Chine du sud-est), a déposé son application pour l'enregistrement de la marque déposée le 6 janvier dernier, a lundi rapporté le Chongqing Economic Times.

    L'application couvre dix produits, y compris des capes cervicales, des préservatifs, des contraceptifs non chimiques, qui pourraient porter le nom de marque de « CCTV-1 ». En chinois, le quatrième et cinquième caractère du nom (« yi tao ») est un homonyme pour le mot « préservatifs ».

    L'application de Li est maintenant sujette à l'évaluation du Bureau des Marques Déposée de l'Administration d'Etat pour l'Industrie et le Commerce (SAIC).

    medium_PRESERV.jpg

    Un fonctionnaire du SAIC a déclaré que l'évaluation de l'application de Li durerait au moins 18 mois, et probablement aucune conclusion ne surviendrait avant la fin de l'année prochaine.

    "Si personne ne loge une objection durant le processus, l'approbation de la marque déposée est seulement une question de temps," selon un analyste.

    Li a indiqué il espérait que la renommée de CCTV attirerait l'investissement des grandes compagnies pour la production de son produit. Une compagnie de produit contraceptif basée à Shenzhen a déjà offert 400.000 yuans (US$50,000) pour acheter le nom, si la marque venait à être déposée.

    Un fonctionnaire de CCTV, qui a refusé d'être nommé, a déclaré être consterné que le nom de CCTV ait été choisi comme marque déposée pour des préservatifs.

    Le même fonctionnaire a déclaré qu'il consulterait les hauts fonctionnaires de la station pour décider si des actions judiciaires devraient être prises ou non pour stopper l'enregistrement.

  • Marques : le retour en force d'Internet

    www.lalibre.be
    Vincent Slits
    Mis en ligne le 02/08/2006

    Comme chaque année, le cabinet américain Interbrand établit un classement des 100 marques les plus cotées. Les symboles de l'Internet, Google et eBay, affichent les plus fortes progressions.
    La Corée du sud fait également une percée.


    Comme chaque année, Interbrand, leader mondial en conseil et création de marque, a analysé, en partenariat avec «Business Week», la valeur financière des marques des grandes multinationales de la planète. Son dernier classement «Best Global Brands 2006 » - la cinquième édition du genre - vient de sortir de presse: on y retrouve les 100 premières marques mondiales selon leur valeur. Au sommet de ce classement, on retrouve Coca-Cola: la marque du géant d'Atlanta est évaluée à... 67 milliards de dollars. Le top 5 est d'ailleurs «trusté» par la bannière étoilée avec, outre Coca-Cola, Microsoft, IBM, General Electric et Intel.

    Google en vedette

    En réalité, il n'y a pas eu en tête de ce classement de grande révolution d'une année sur l'autre. Notons toutefois que Toyota, en passe de devenir le premier constructeur automobile mondial devant General Motors, pointe le bout de son capot à la 7 éme place avec une marque dont la valeur a progressé de 12 pc en un an. Toyota permet également à sa marque Lexus de faire son entrée dans ce classement à la 92e place.

    Plusieurs évolutions intéressantes sont à relever. D'abord l'arrivée en force de marques encore jeunes, symboles de la nouvelle économie et des nouvelles technologies au premier rang desquelles l'Internet. Un retour en grâce après les années noires qui ont suivi l'éclatement de la bulle Internet début des années 2000. Le génial moteur de recherche Google, devenu la référence dans le domaine sans campagnes de publicité tapageuses, est ainsi le grand gagnant de ce classement avec une marque désormais évaluée à 12,37 milliards de dollars. En croissance de 46 pc!

    Autres gagnants: le site de vente et d'achat de biens en ligne eBay, à la 47e place (+18 pc), qui s'appuie lui aussi sur une communauté mondiale d'internautes et Apple à la 39e place (+14 pc) qui tire pleinement profit du carton phénoménal du baladeur numérique iPod. Le secteur informatique américain est lui aussi bien représenté avec, outre Microsoft, IBM et Intel, HP (à la 8e place), Cisco (18e place), Dell (25e place) ou Oracle (29e place).

    Le luxe français

    Autre phénomène: la montée en puissance de certaines marques phares des économies émergentes dans un classement cependant encore largement dominé par les Etats-Unis et l'Europe. Un phénomène qui reste cependant encore limité à la Corée du Sud avec la présence de Samsung (20 éme place, +8 pc), Hyundai (75e place, +17 pc) ou les écrans plats de LG (94e place, +14 pc). Par contre, pas de trace dans ce top 100 d'entreprises chinoises ou indiennes.

    Parmi les grands perdants, on trouve Ford (30e place, -16 pc), qui souffre aux Etats-Unis de la concurrence des berlines japonaises nettement moins gourmandes en carburants, les grands magasins GAP (52e place, -22 pc), à l'image de marque trop floue, ou encore Kodak (70e place, -12 pc) qui a abordé trop tardivement le virage de la photo numérique.

    Au final, les entreprises américaines accaparent 52 places de ce classement et 11 dans le top 15 avec cependant certains grands absents comme le géant de la distribution Walt Mart ou Exxon, numéro un mondial de l'industrie pétrolière. Les multinationales européennes décrochent, elles, 35 places dans ce top 100. Le premier représentant du Vieux Continent est le Finlandais Nokia, en sixième position après plusieurs années de déclin. Pas de trace d'entreprises belges. Nos voisins néerlandais eux, sauvent l'honneur avec Philips (48e place, +14 pc), ING (85e place, +9 pc) et Shell (89e place, +4 pc).

    Et les Français? Ils placent seulement 8 de leurs fleurons dans ce classement. Dont 5 dans le secteur du luxe, des parfums et de la mode avec Louis Vuitton (17e place,+10 pc), L'Oréal (53e place, +6 pc), Chanel (61e place, +8 pc), Hermes (81e place, +9 pc) ou encore Cartier (86e place, +10 pc).

    Pour plus de renseignements, Web www.interbrand.fr ou www.interbrand.com.

    © La Libre Belgique 2006