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mardi 01 août 2006
Interbrand et Business Week publient leur classement des marques qui ont la plus grande valeur. Google arrive en 24e place, mais est de loin la marque la plus en croissance avec 46%.
Le classement ressort de la pondération de nombreux critères depuis 20 ans déjà et plus de 4000 marques. Son ingrédient principal est la valeur financière générée par une marque.
Les marques qui à l'inverse ont connu la plus grande décroissance : Gap, Kodak et Ford.
Le palmarès complet ici.
Publié par Jean-Francois Renaud le août 1, 2006 11:56 AM
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Marques mondiales : le high-tech domine
www.lefigaro.fr
SONIA DEVILLERS. Publié le 31 juillet 2006
Actualisé le 31 juillet 2006 : 08h28
Le classement annuel d'Interbrand sur la valeur des cent plus grandes marques mondiales montre que les enseignes traditionnelles peinent à se renouveler.
LA PERCÉE spectaculaire de Google et la chute vertigineuse de Gap. Le classement 2006 d'Interbrand couronne le retour en force des marques Internet. Il sanctionne également l'incapacité des enseignes traditionnelles à se renouveler.
Chaque année, cette filiale d'Omnicom calcule la valeur financière des cent premières marques mondiales. Son estimation comprend le potentiel d'une marque à engendrer du chiffre d'affaires ainsi que sa capacité à entretenir la préférence, dans le temps, sur son marché.
Sans surprise, le top 25 est extrêmement stable d'une saison sur l'autre. « À ce niveau-là, il s'agit d'enseignes qui composent notre quotidien grâce à un travail de fond et à des investissements marketing réguliers », explique Jean-Baptiste Danet, PDG d'Interbrand France. Le seul fait marquant de haut du classement est la montée en puissance de « marques longtemps réservées aux professionnels, comme GE et Intel. Elles ont réussi à s'imposer comme références pour le grand public ».
Il faut également remarquer l'entrée de Google dans ce début de classement, à la 24e place. La marque de ce moteur de recherche vaut aujourd'hui 12,38 milliards de dollars, en progression de 46 %. Cette firme qui est considérée comme le plus redoutable adversaire du géant Microsoft, est à la fois la coqueluche des investisseurs et des consommateurs dans le monde entier. « Ce mouvement illustre le dynamisme de sociétés telles que eBay (+18 %) ou Apple (+12 %), des marques qui se sont mondialisées à une vitesse fulgurante et qui ont su imposer immédiatement leurs produits et leur philosophie aux consommateurs. Ce phénomène est le propre des enseignes américaines et du secteur des nouvelles technologies : les notions d'ancienneté sur le marché et de patrimoine ne comptent plus », souligne Jean-Baptiste Danet. La firme californienne surfe sur le succès de son baladeur, l'iPod, vendu à plus de 50 millions d'exemplaires dans le monde.
Autre succès notable, les deux entreprises qui font leur entrée au classement 2006 en intégrant le bas du tableau : Lexus décroche le 92e rang ; Burberry le 98e rang. Lexus est la marque du constructeur automobile japonais Toyota, qui a accompli l'exploit de devenir le numéro un du haut de gamme aux États-Unis, en misant sur l'écologie et la technologie. Burberry « est l'exemple de la marque de mode qui a réussi à passer au luxe en réussissant tant sur le marché de la mode que sur celui du parfum ».
Arrivée en force des CoréensEnfin Hyundaï, 75e du classement, affiche une hausse de 17 % de sa valorisation. Sa performance illustre l'arrivée en force des marques sud-coréennes, depuis l'entrée au classement, il y a quatre ans, de Samsung. Ce dernier atteint le 20e rang, avec une valorisation en progression de 8 %. LG est présent, à la 95e place, et une valorisation en hausse de 14 %.
Le tableau Interbrand enregistre aussi quelques dégringolades. Dans la photographie, Kodak est victime de la révolution numérique et de l'arrivée de nouveaux concurrents, qui ont mieux réussi que lui à s'adapter aux goûts des consommateurs. Autre perdant : le constructeur automobile américain Ford. Dans l'agroalimentaire, Heinz a du mal à s'adapter aux impératifs de diététique et de santé. La marque Gap subit la plus forte dépréciation de valeur (-22 %). « C'est le cas d'une enseigne solidement ancrée dans le paysage, mais qui peine à se renouveler en termes d'offre. Du coup, elle perd petit à petit ses liens avec le consommateur », précise Jean-Baptiste Danet. Mais des concurrents se chargent de recruter la clientèle déçue. L'espagnol Zara (73e rang) grimpe ainsi de 15 places. -
Blogs : MSN Space change de nom et devient Live Spaces
Mercredi 02 août 2006 à 10h35, rédigé par Vincent Hermann
Source de l'INformation : Live Spaces
www.pcinpact.com
Microsoft continue inlassablement de transformer et d’inventer des services pour les remettre à la sauce « Live ». Puisque MSN Messenger est devenu Windows Live Messenger, il était normal que les blogs l’accompagnant évoluent eux aussi. C’est désormais le cas, et les MSN Spaces sont devenus les Live Spaces.
Alors bien entendu, il s’agit d’une belle occasion de revoir un peu le design général du site et des blogs, bien qu’il soit de toute manière possible à l’auteur d’influer comme d’habitude sur l’apparence de son blog. L’ensemble des espaces personnalisés est automatiquement passé au nouveau visage qui offre, il faut bien le dire, un aspect plus propre et soigné que les anciens MSN Spaces, lesquels finissaient souvent par devenir franchement brouillons.
Bien sûr, on ne devrait pas parler de blogs, car les Spaces sont, comme leur nom l’indique de véritables espaces où l’on peut faire plus que poster des billets d’humour sur tout ce qui bouge. L’avantage du passage à la version « Live », c’est que ces espaces communiquent désormais avec Windows Live Messenger et Live Mail. Ainsi, les trois services partagent la même liste de contacts, et les règles définies sur l’un sont valables sur les autres. Conséquence directe pour les Live Spaces : la gestion des contacts et des communications est plus fine. On pourra par exemple choisir précisément qui peut accéder à son espace personnel, qui peut contacter l’auteur ou encore qui peut voir le profil de cet auteur.
Notons enfin l’apparition de la possibilité d’ajouter des gadgets directement dans l’espace personnel. On pourra ainsi coller un petit encadré affichant la météo et la température qu’il fait chez vous à l’heure où on consulte votre site. Bon ok, ça ne sert pas forcément à grand-chose, mais après tout, on parle bien d’espace « personnel », alors il n’y en a que pour l’auteur. -
Noms de marque à l'envers
Pour débuter cette liste de noms de marque "à l'envers",
je propose le nom de marque TGV qui, à l'envers, donne VGT
(phonétiquement en français "végéter"),
ce qui n'est pas franchement dynamique et rapide !
On peut citer également UMP (vous savez initialement
l'"Union pour la majorité présidentielle") qui, à l'envers,
donne... PMU !
Si vous avez d'autres exemples, surtout n'hésitez pas. -
Le coup de tête de Zizou devient une marque
www.football.fr
06/08/2006 - 14:38
On apprenait en milieu de semaine dans le Beijing Daily qu'un entrepreneur chinois a déposé une licence d'exploitation sur l'image de la silhouette de notre idole nationale Zizou qui donne un violent coup de tête dans le thorax de l'italien Marco Materazzi, lors de la finale de la Coupe du Monde, à Berlin, le 9 Juillet dernier.
Cette démarche lui a coûté
200 euros et pourrait lui rapporter gros : en effet, il peut exiger jusqu'à 100 000 euros de toute entreprise voulant reproduire cette image sur tout types de marchandises : vêtements, chaussures, gadgets...
En France, la même folie s'est emparée de la population au travers d'une chanson humoristique "Coup de boule", vendue à plus de 60 000 exemplaires lors de sa première semaine de commercialisation, accédant ainsi à la première place du Top 50, tout en ajoutant les 120 000 sonneries vendus dans la même semaine.
Un phénomène.
Par olweb69, olweb69 -
Trop tôt pour un débat sur le nom à Asbestos
La question du nom de la Ville d'Asbestos a refait surface récemment dans l'actualité. Mais, pour le maire Jean-Philippe Bachand, pas question d'ouvrir le débat avant un an.
www.lanouvelle.net
Le maire d'Asbestos a rappelé qu'il avait, pour le moment, bien d'autres chats à fouetter. «Les négociations entourant la convention collective des employés et la situation de la Mine Jeffrey constituent nos priorités actuelles», a-t-il signalé lors d'un entretien téléphonique.
Le conseil municipal, justement, rencontrera mardi soir le syndicat des employés municipaux pour recevoir ses demandes. «Nous les analyserons pour ensuite revenir avec une proposition», a signalé le maire Bachand.
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La filière coutelière de Thiers lance une marque collective
Les Echos n° 19688 du 15 Juin 2006 • page 20
AUVERGNE
Au printemps 2007, les consommateurs découvriront les couteaux estampillés « Esprit de Thiers », une démarche à laquelle adhèrent 35 entreprises du bassin thiernois pour redresser une filière très concurrencée par les pays émergents.
SYLVIE JOLIVET
La Fédération française de la coutellerie (FFC) vient de lancer la signature collective « Esprit de Thiers », à laquelle adhèrent 35 des 83 entreprises coutelières du bassin thiernois (1).
« Cette signature sera un formidable moyen de promotion et de développement tant en France qu'à l'exportation », prévoit Pierre Thérias, président de la FFC.
« Il s'agit de défendre des emplois du bassin », poursuit Thierry Déglon, coutelier et maire de Thiers, qui souligne que cette démarche est soutenue par l'Etat et les collectivités via le contrat territorial signé il y a deux ans.
Cette initiative intervient dans un contexte difficile.
Le secteur coutelier de Thiers _ qui réalise 70 % de la production nationale _ a perdu un millier d'emplois en dix ans. Aujourd'hui, 1.700 personnes travaillent dans 173 entreprises, contre encore 225 en 1999.
Le nombre de firmes artisanales et industrielles fabriquant des produits finis est passé de 114 à 83, entraînant la disparition de leurs sous-traitants et fournisseurs (90, contre 111 en 1999).
Selon la CCI, la plupart des sociétés de plus de 100 salariés ont succombé à la concurrence de pays émergents (Chine, Brésil, Pakistan), qui a tiré vers le bas les prix payés par la grande distribution.
Les très petites entreprises ont subi l'extinction des circuits de vente traditionnels (quincailleries et coutelleries).
Les artisans qui s'en sortent ont créé des niches : couteaux pour la découpe de viande, petit outillage, produits très design...
Les entreprises les plus importantes se sont souvent spécialisées dans des gammes pour professionnels, restauration par exemple, tout en créant une offre globale pour les particuliers : des couteaux d'entrée de gamme, le plus souvent produits hors de France, aux couteaux les plus sophistiqués fabriqués à Thiers.
Application et engagement
Seuls ceux-ci pourront être estampillés « Esprit de Thiers ».
En effet, la « charte d'application et d'engagement » prévoit, en critère numéro un, l'appartenance au bassin et les quatre étapes de transformation réalisées sur place.
La qualité technique _ rigidité, solidité, tranchant, résistance à la corrosion _ et l'esthétique étant d'autres conditions. Le respect de celles-ci sera vérifié lors d'un audit et d'essais réalisés par Casimir, pôle auvergnat de transfert de technologies.
Les premiers produits référencés seront en magasin au printemps 2007.
Une campagne de communication grand public sera lancée au même moment.
« Ce nom permettra au consommateur de mieux identifier les savoir-faire des couteliers de Thiers.
Toutefois, chacun conservera sa propre marque et les produits qui lui sont spécifiques », explique Pierre Thérias.
(1) Ces 35 entreprises représentent 80 % de la production du bassin. -
Condamnation confirmée de Google pour "contrefaçon de marques, concurrence et publicité déloyales"
nouvelobs.com
Source : Reuters le 29/06/2006 07:07
La société Louis Vuitton, propriété du groupe LVMH, a fait part, mercredi 28 juin, de la confirmation par la Cour d'appel de Paris de la condamnation de Google et de sa filiale française en première instance pour "contrefaçon de marques, concurrence et publicité déloyales", dans le cadre de leur activité de régie publicitaire.
"La prétention de Google d'échapper à sa responsabilité en raison du régime spécial de responsabilité limitée institué par la loi sur la confiance dans l'économie numérique (LCEN) du 21 juin 2004 est rejetée. Il lui est interdit, dans le cadre de son activité de régie publicitaire, l'usage des marques appartenant à la société Louis Vuitton sur toutes les extensions de son site accessibles depuis la France", a expliqué la filiale de LVMH.
Et de préciser que le montant des dommages et intérêts a été porté à 300.000 euros.
Pour sa défense, l'américain a argué que, depuis le début de la procédure en 2003, il a instauré une politique interdisant aux annonceurs en ligne d'utiliser des marques ne leur appartenant pas et interdisant la publicité pour des produits contrefaits.
"Le jugement d'aujourd'hui ne soulève pas le moindre nouveau point", a déclaré un porte-parole du moteur de recherche. -
Des dizaines de milliers de noms de domaine .eu suspendus pour fraude
400 centres d’enregistrement frauduleux sont poursuivis pour violation de contrat.
Clement James (Vnunet.com), vnunet 28-07-2006
L’EURid, l’autorité chargée de gérer les noms de domaine .eu, a annoncé la suspension de 74 000 noms de domaine .eu et a intenté une action contre 400 centres d’enregistrement de noms de domaine pour violation de contrat. Un consortium de centres d’enregistrement de noms de domaine aurait en effet acquis des noms de domaine dans l’intention de les revendre plus cher, ce qui a précipité la décision de l’EURid. Dans ce secteur d’activité, cette pratique appelée « warehousing » est absolument interdite.
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Coca-Cola reste la marque la plus chère du monde
CLASSEMENT
La valeur de Coca-Cola atteint 83 milliards de francs. Meilleur suisse, Nescafé vaut 15,5 milliards.
ATS, Publié le 29 juillet 2006, www.24heures.ch
Coca-Cola mène le bal des marques les plus connues de la planète. / AP / JEFF CHIU
Coca-Cola demeure la marque la plus chère du monde avec une valeur de 83 milliards de francs.
Cinq entreprises suisses figurent dans le top 100. Nescafé reste la marque suisse la plus cotée,
tandis que l'UBS enregistre la plus forte progression.
Nescafé se maintient à la première place suisse avec le 23e rang à 15,5 milliards de francs, selon le classement établi par le consultant zurichois Interbrand Zintzmeyer Lux et l'hebdomadaire américain Businessweek.
UBS placée
L'UBS a progressé de 15% pour atteindre une valeur de 10,83 milliards de francs et occupe désormais le 42e rang, soit deux de mieux que l'an passé. Elle est talonnée par le groupe pharmaceutique Novartis, 43e avec un total de 9,77 milliards de francs.
Nestlé, en progressant de trois places, occupe désormais le 63e rang. L'entreprise horlogère Rolex reste 72e malgré une hausse de sa valeur de 8% à 5,25 milliards de francs.
Le classement est toujours dominé par les marques américaines: celles-ci occupent sept des dix premiers rangs et 51 places dans le Top 100. Les cinq premières places sont occupées par Coca-Cola, Microsoft, IBM, General Electric et Intel. La première marque non américaine du classement est l'équipementier télécoms finlandais Nokia, sixième.
La plus forte progression de l'année a été réalisée par le moteur de recherche sur internet Google (+46%), qui gagne seize rangs et se classe désormais 24e. La chaîne de cafés Starbucks (+20%), le site d'enchères online eBay (+18%), le constructeur de téléphones portables Motorola (+18%) et le constructeur automobile coréen Hyundai (+17%) tirent aussi leur épingle du jeu. A l'inverse, le recul le plus sévère a été essuyé par le groupe américain d'habillement Gap (-22%), suivi par le constructeur automobile américain Ford (-16%) et le spécialiste du film photo Kodak (-12%). Le brasseur Heineken et la société de location de voitures Hertz sont quant à elles éjectées du Top 100.
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"Les marques attaquent", par Soïzic Briand (Challenges)
Challenges.fr | 27.07.2006 | 12:47
CET été, les marques attaquent. Et, pour la première fois, de façon collective. Faut-il qu’elles se sentent en danger! Il est vrai que depuis un an, la grande distribution conspue leurs prix élevés. Que les marques de distributeurs (MDD) arrivent à plus de 28% de part de marché et que les consommateurs ne leur sont plus aussi fidèles.
A partir du 17 juillet, donc, 22 d’entre elles, d'Ariel à Skip, de Coca-Cola à Lipton, de Whiskas à Ballantines vantent leurs mérites. Sur pas moins de 37.000 panneaux d’affichage, on retrouvera la même accroche commençant par "Qui mieux que…". Une campagne financée par les marques -toutes ont payé 100.000 euros-, orchestrée par l’association Prodimarques et l’Ilec (Institut de liaison et d’études des produits de consommation) et qui mêle habilement singularité et similarité
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