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Naming - Page 2

  • Le changement de nom est un gadget

    Dimanche 27 décembre 2009

    www.nicematin.com

     

    Faut-il changer le nom de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) ?

     

    Le président du conseil régional, le socialiste Michel Vauzelle, a lancé une consultation auprès de la population qui a abouti à la sélection de sept noms (1). S'il était réélu, il a annoncé qu'il consulterait les habitants par référendum.

     

    Que pensez-vous de cette démarche ?

     

    C'est un gadget qui sert la communication tous azimuts de Michel Vauzelle alors que les habitants de la région ont des préoccupations plus importantes. Ils attendent qu'on leur parle de l'emploi, de l'aménagement du territoire, de la formation...

     

    Quel nom préférez-vous malgré tout ?

     

    Je considère que Provence-Alpes-Côte d'Azur résume bien ce que sont nos territoires. Les autres propositions font abstraction de la Côte d'Azur, le terme Méditerranée ne pouvant la remplacer car la réalité n'est pas la même à Marseille et à Nice. Le problème c'est l'abréviation Paca, qu'il vaut mieux ne pas utiliser.

     

    E.N.

     

    Les propositions de noms :

     

    Provence

    Pays de Provence

    Provence-Méditerranée

    Alpes-Méditerranée

    Alpes-Provence

    Provence-Alpes-Méditerannée

    Provence-Alpes-Côte d'Azur

     

    Le point de vue de Dominique Estrosi-Sassone, adjointe au maire de Nice et conseillère régionale sortante, n° 2 sur la liste majorité présidentielle dans les A.-M.

    Par Eric Neri (eneri@nicematin.fr) et avec la participation de nos agences locales.

     

  • Ces marques qui veulent la peau des hommes

    www.lesechos.fr

    Au rayon des produits de beauté, les antirides et anticernes destinés aux hommes pointent leur nez. Les marques mènent des recherches de plus en approfondies et lancent des innovations en cascade. Encore faut-il convaincre les mâles qu'ils en ont vraiment besoin...

    Si la banale mousse à raser ou les lotions après-rasage restent des produits indispensables pour les hommes, les crèmes anti-âge et autres contours des yeux, incontournables pour la majorité des femmes, commencent à coller aux moeurs masculines. Même s'il est difficile d'estimer avec précision ce marché encore naissant.

    Selon les derniers chiffres de la Fédération des entreprises de la beauté (Febea), le taux de pénétration des produits spécifiques à la peau mâle est passé, entre 1997 et 2007, de 0,9 à 2,4 % au rayon des soins cosmétiques en France. En attendant des données plus récentes qui ne seront pas disponibles avant début 2010, on peut considérer que leur poids actuel tourne autour de 5 %, compte tenu des nouveautés lancées en cascade ces deux dernières années.

    Il va sans dire que les marques déploient des trésors d'innovation pour séduire ce potentiel, en théorie énorme. Mais ça ne suffit pas. Car, contrairement à la gent féminine, toujours curieuse des dernières innovations cosmétiques, il faut vraiment pousser les hommes à tester un nouveau produit dont ils ne voient pas, a priori, l'utilité.

    « Pour les convaincre, nous devons être beaucoup plus pragmatiques et pédagogiques », souligne Morgane Jouot, chef de groupe de Nivea for Men, qui génère 27 millions d'euros par an pour les soins du visage - à comparer aux 258 millions d'euros des gammes du groupe destinées aux femmes. Lancé en 1989, son premier produit était un baume après-rasage hydratant suivi, deux ans plus tard, par la première crème de soin apaisante. « On s'est d'abord rattaché à la routine et à la gestuelle masculine, explique Morgane Jouot.

    Ensuite, notre offre s'est développée en adéquation avec l'évolution du comportement masculin. Aujourd'hui, on arrive à avoir des tendances presque simultanées chez l'homme et la femme. » Comme le premier contour des yeux sous forme de « roll-on » (principe similaire au déodorant à bille), que vient de lancer la marque du groupe allemand Beiersdorf.

    Différences biologiques

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  • Les marques françaises sauvées par le luxe

    Une petite nouvelle, Lancôme, et huit habituées dont un seul poids lourd : Louis Vuitton (16e). La relative faiblesse de la présence de la France dans le haut du panier traduit la difficulté de nos marques à devenir globales.

    Neuf sur 100. L'Hexagone parvient à placer neuf de ses fleurons dans le classement des cent marques les plus puissantes du monde. C'est bien. Sauf qu'une fois encore, ce sont les marques du luxe, les Louis Vuitton, Chanel, Hermès, Cartier et Lancôme — un nouvel entrant — qui défendent ses couleurs aux côtés de L'Oréal, Danone, Axa et Moët & Chandon. À noter que Hennessy, victime de la panne du secteur des boissons alcoolisées, notamment du marché asiatique du cognac, sort du classement.

    Faut-il en déduire, qu'en dehors le luxe, les grandes marques françaises peinent à acquérir un statut de marques milliardaires ? Non, bien sûr. La méthodologie de l'étude est sévère et exclut de facto celles qui n'ont pas encore pris pied sur au moins trois continents (voir entretien ci-contre). « Les marques ne naissent pas globales, elles le deviennent en suivant une courbe d'apprentissage », analyse Jean-Baptiste Danet, président d'Interbrand Europe.

    Reste que cette moindre représentativité traduit également certaines faiblesses. « Avant d'être des marques de poids, en chiffre d'affaires, nos grandes marques sont majoritairement des marques d'image. Par ailleurs, notre culture est encore très orientée vers le moyen de gamme. Nous créons donc moins de valeur, ce qui nous pénalise au niveau mondial », avance Georges Lewi, spécialiste des marques et directeur du BEC, Centre européen de la marque. Une culture du moyen de gamme doublée d'une timidité certaine en matière de diversification, il n'en faut guère plus pour limiter l'envol des prétendantes à la globalisation. « Les marques françaises semblent ne pas avoir compris que le monde est entré dans une logique « obamanienne » où le mouvement crée le succès. Elles pensent encore que le public leur en voudra si elles font des bêtises, alors que c'est l'inaction qui est sanctionnée », insiste l'expert en branding.

    L'extension fait peur

    Timorées, voire frileuses, les marques françaises, à l'inverse d'Apple, n'osent pas encore se lancer dans des politiques d'extension qui leur permettraient pourtant d'aborder de nouveaux marchés avec une certaine légitimité. Un exercice dans lequel excellent L'Oréal ou encore Danone dont les résultats, en cette année de crise, sont plus qu'honorables. Avec une progression de sa valeur de 10 %, Danone, malgré ses déboires chinois et son conflit avec son ex-partenaire Wahaha, fait ainsi partie des rares marques dont la valeur progresse de plus de 10 %.

    R. M.

  • best global brands Interbrand 2009 ranking

  • Un norvégien adopte un nom de 62 lettres

    www.nouvelobs.com

    Andreas
    Jankov, un fan de cinéma norvégien, porte maintenant le nom de Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov.

    U
    n norvégien, Andreas Jankov, a choisi de changer de nom, d'après le huffingtonpost. Mais ce chauffeur de bus fan de cinéma n'a pas fait dans la simplicité.

    Son nouveau nom officiel est maintenant Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov. Ce patronyme fait référence à plusieurs films et personnages.

    Du Seigneur des Anneaux à MacGyver

    Julius est le nom d'un chimpanzé célèbre du zoo de Kristiansand, en Norvège.

    Gimli fait référence à l'un des personnages principaux du Seigneur des Anneaux, un nain.

    Arn est un film de chevaliers célèbre dans le pays.

    MacGyver fait bien sur référence au personnage de la série éponyme incarné par Richard Dean Anderson.

    Chewbacka est un hommage au compagnon poilu de Han Solo dans Star wars.

    Highlander se rapporte au film américain de Russell Mulcahy retraçant l'histoire d'immortels s'entretuant et Elessar est une autre référence au Seigneur des Anneaux.

    "Je réfléchissais à ce nom depuis trois ans et il a été approuvé en janvier", a-t-il déclaré. Apparement, il a du laisser de côté "highlander" pour sa carte de crédit et son passeport car sinon son nom aurait été trop long. Le patronyme comporte tout de même 62 lettres

  • "Les extensions personnalisées permettront aux grandes marques d’architecturer la visibilité de leurs sites"

     

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    2ème interview sur les créateurs de marques. Notre invitée : Marie Pastelot, fondatrice et directrice de Nalian, société spécialisée dans la création de marques.

    Pour créer une marque chez Nalian, vous travaillez par territoires d’évocation ? Pouvez-vous nous expliquer comment fonctionne ce principe ?

    Lire la suite de l'interview

     

     

  • Paris en tête d'un sondage sur l'image de marque des villes

    www.lexpress.fr

    SINGAPOUR - Paris se classe en tête d'un sondage publié mercredi sur l'image de marque de 50 grandes villes, devant Sydney et Londres.

    L'indice CBI de l'institut Anholt-GfK Roper "mesure la perception de chaque ville, qui influence les choix sur les endroits où vivre, travailler et partir en vacances", explique son fondateur Simon Anholt.

    2009-06-17T060142Z_01_APAE55G0GQV00_RTROPTP_3_OFRTP-VILLES-SONDAGE-20090617.JPGIl a été calculé en interrogeant près de 10.000 personnes dans vingt pays en fonction de six catégories comme la notoriété, l'environnement, l'intérêt du style de vie ou la possibilité de trouver un emploi ou une école.

    "Alors que Sydney se classe première dans trois catégories, c'est la forte avance de Paris sur Sydney en termes de notoriété et d'animation qui la place en première position", explique le responsable de l'enquête, Xiaoyan Zhao.

    Les dix premières villes sont dans l'ordre Paris, Sydney, Londres, Rome, New York, Barcelone, San Francisco, Los Angeles, Vienne et Madrid. En queue de peloton, on retrouve le port saoudien de Djeddah, Bombay ou Le Caire.

     

     

  • Coca-Cola unifie sa galaxie de sites de marques

    Mardi 21 avril 2009
    www.journaldunet.com

    Coca-Cola propose en France une nouvelle plate-forme de marque au travers du site Coca-cola.fr.

    Ce dernier réunit dorénavant les sites de Coca-Cola, Coca-Cola light et Coca-Cola Zéro.

    coca.jpg

    Sa refonte a été entreprise par l'agence Fullsix afin de mettre en évidence les valeurs communes aux trois gammes de la marque tout en respectant leur identité propre.

    Cette nouvelle version du site met aussi en avant les actualités de la marque et de ses gammes et devrait bientôt mettre l'accent sur les contenus issus de partenariats.

  • Réseaux sociaux : usurper une identité n'est pas un délit en France

    Multimédia
    ZDNet.fr/

    Juridique
    Comme « sur Internet, personne ne sait que vous êtes un chien », selon un axiome célèbre, il n'est pas rare dans des sites de réseaux sociaux ou autres du Web 2.0 que des internautes empruntent une autre identité : le cas s'est produit à plusieurs reprises, en particulier sur Facebook, des politiques (Alain Juppé, le maire de Tournai) aux sportifs (le footballeur de la Juventus de Turin Alessandro Del Piero il y a quelques jours), en passant par un frère du roi du Maroc.

    Que se passe-t-il dans une telle situation ?
    Dans le cas de Facebook, l'intéressé ou un de ses représentants (agent, juriste...) saisit le site qui efface le profil litigieux, mais quid des cas limites - quand il y a un doute sur le titulaire réel d'une identité sur le site, ou quand la personne « copiée » n'est pas une célébrité ayant les moyens de recourir à un avocat ? Facebook n'a pas répondu à nos questions à ce sujet. Reste à voir si la montée de ce genre d'affaires permettra au site de continuer à gérer au fil de l'eau la question.

    Dans Wikipédia, vérification et éventuel renommage

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  • NALIAN a créé le nom de marque Les AIN'PERTINENTES

    Biennale-d'art-Citadin 72 dpi.jpgLa Biennale d'Art Populaire Citadin de Bourg-en-Bresse
    a fait appel à NALIAN pour la recherche et création du nom
    de marque Les AIN'PERTINENTES.

    Une exposition urbaine
    Durant l'été 2009, se déroulera la première biennale d'art populaire citadin au cœur de Bourg-en-Bresse et son agglomération.

    Il s'agit d'une exposition publique et gratuite dont le thème, le Poulet de Bresse, sera revu
    et corrigé par des artistes français ou étrangers ; une manifestation culturelle et ludique empreinte d'humour et d'originalité.

    Ain'pertinantes logo 72 dpi plus.jpg
    Des sculptures géantes du gallinacé seront installées dans des points stratégiques
    (lieux historiques et des sites les plus vivants). Ainsi, le public et les amateurs d'art pourront,
    en parcourant l'exposition, découvrir les éléments du patrimoine culturel, économique
    et historique de la ville.

    La dénomination Les AIN'PERTINENTES de Bourg-en-Bresse permet de mettre en avant
    le département de l'Ain et la ville de Bourg-en-Bresse tout en soulignant le trait à la fois pertinent et impertinent de la manifestation (trait distinctif, originalité, humour).

    www.lesainpertinentes.com

  • Bob Marley, c'est aussi une marque.

    Par Dorothée
    Publié le 12/02/2009 17:04

    Si Bob Marley était jusqu'à présent le nom de l'interprète de Buffalo Soldier, chef de fil de la culture Reggae décédé en 1981, Bob Marley est aussi une marque.

    Selon le Miami Herald, la famille de l'idole au pétard aurait vendu le nom Bob Marley à une société privée, Hilco Consumer Capital. Le pack Marley comprend son patronyme mais aussi son image.
    Bob Marley.jpg
    Combien vaut l'icône jamaïcaine? Le journal reste discret quant au montant de la transaction. Le merchandising autour de Marley pullule depuis longtemps. Mais désormais, les bénéfices iront dans la manne d'un seul.

    Le nouveau propriétaire de la marque compte d'ailleurs développer encore davantage les produits estampillés Bob Marley. Le chanteur doit halluciner et cette fois, pas à cause du pétard.

  • Les produits dérivés «Y'a bon» de Banania resteront en vente

    B.H. (lefigaro.fr) avec AFP
    23/01/2009 |

    Le Mrap, qui reprochait au célèbre fabricant de chocolat en poudre de commercialiser des objets portant le célèbre slogan, a été débouté par la justice.

    Le fameux slogan « Y'a bon » de la marque Banania ne représente pas un trouble à l'ordre public. C'est l'une des raisons qu'a avancées le tribunal de Nanterre pour débouter jeudi le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) dans son action en justice contre Nutrimaine, la société titulaire de la marque Banania.

    Le Mrap reprochait à Nutrimaine de ne pas avoir respecté un accord signé début 2006 avec le Collectif des Antillais, Guyanais et Réunionnais (Collectif Dom), qui consacrait la fin de l'utilisation du slogan publicitaire «Y'a bon», jugé dévalorisant pour les Noirs.

    Mais le Mrap avait fait constater à deux reprises la présence dans une boutique parisienne de la société La Vaissellerie de plusieurs produits dérivés portant le message «Y'a bon» accolé à la marque et au célèbre tirailleur sénégalais.

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  • Dominique Leguern: "L'artiste est une marque"

    www.lexpress.fr

    MIDEM 2009
    Par Gilles Médioni, publié le 17/01/2009 09:00

    Le MidemNetForum s'ouvre ce samedi 17 janvier, quelques heures avant le 43eMidem qui aura lieu du 18 au 21 janvier. A cette occasion, Dominique Leguern, directrice de la manifestation nous parle des nouveaux virages du marché du disque.

    Le Midem est raccourci d'une journée. Encore un signe de crise économique?

    Il y a quand même 400 exposants... Ceci dit la montée en puissance du digital n'a toujours pas compensé les pertes de ventes de disques qui devraient encore accuser une baisse de 12%. Les fabricants, les presseurs de CD, les distributeurs physiques et certains labels ont disparu. L'industrie du jeu vidéo et celle du dvd sont touchées par les faillites des Megastores notamment à Londres.

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  • Tourisme. Nouvelle marque même défis

    Publié le 30/11/2008
    Cyril Doumergue.

    Grand Tourmalet veut jouer la complémentarité ski, tradition et détente.

    Hier, c'était l'ouverture au domaine du Tourmalet. On le voit ici côté La Mongie, le soleil était au rendez-vous pour les familles et les skieurs.Ça y est, Grand Tourmalet est né. Les offices de tourisme de Bagnères, Vallée de Campan et Barèges ont donné naissance à une marque commune.

    Cet enfantement répond à une double problématique. Premièrement, installer une meilleure visibilité régionale, nationale et internationale, notamment sur internet, avec un site commun qui présentera, dès janvier 2009, tous les atouts du territoire : domaine du Tourmalet, pic du Midi, Aquensis, vallée de Campan, thermes et centre thermoludique de Barèges.
    200811300997_w350.jpg
    Deuxièmement, la création de la marque Grand Tourmalet répond à l'urgence d'une nouvelle mise en valeur du «non-ski». Comme l'indique Jacques Brune dans l'article du «Monde» (lire encadré), dans les Pyrénées, un skieur sur trois ne skie pas, et il est important de proposer une offre en vallée pour d'autres activités. Grand Tourmalet veut jouer la complémentarité entre les lits en vallée et l'offre ski.

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  • La Bourse suisse SWX change de nom et devient SIX

    (ats / 30 septembre 2008 16:07)
    www.romandie.com

    La Bourse suisse change de nom, abandonnant son appellation SWX pour devenir SIX Swiss Exchange.

    Cette modification de raison sociale est la conséquence directe de la fusion des entreprises d'infrastructure de la place financière suisse, à savoir SWX, Telekurs et SIS.

    Le fournisseur de données financières brutes de la bourse portera dorénavant le nom de SIX Exfeed.

  • Princesse à plumes, nouvelle marque de linge de maison

    www.kazanostra.fr

    sept. 2008 © DR

    Princesse à plumes
    est une toute nouvelle marque. Elle propose des coussins et du linge de table imprimé sur coton. La ligne automne hiver 2008-2009 associe couleurs et mots, calligraphie contemporaine et sobre graphisme.
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    Au départ de l’aventure, Marine Porte de Sainte Marie, sa créatrice, a une envie : « créer des objets quotidiens beaux et poétiques » et le désir de voir son art de prédilection, la calligraphie, habiller du linge de maison, de la vaisselle et des accessoires. La collection est visible sur le site de la Princesse.

    Pour en savoir plus

  • NALIAN est membre du Réseau CoDE CLUSTER

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    Bonjour,

    La taxe professionnelle constitue une des recettes principales des collectivités locales. Celle-ci oriente forcément leurs choix en matière d’actions de développement économique et d’aménagement des zones d’activités.

    Pour autant la création d’espaces d’activités va-t-elle nécessairement générer des ressources fiscales supplémentaires ? D’autres facteurs locaux ne sont-ils pas à prendre en compte ?

    Les intervenants, Jean-Pierre Coblentz (Stratorial Finances), Christohe Saunier (e-MAX) et Sébastien Thomas (Gaïa Conseil), vous proposent d’échanger sur cette problématique à partir d'une synthèse législative actualisée sur la taxe professionnelle, d’exemples concrets de positionnement d’espaces d’activités, et de pistes de mise en oeuvre d'actions de développement économique.

    TAXE PROFESSIONNELLE et ESPACES D'ACTIVITÉS,
    LES LIAISONS DANGEREUSES


    Le jeudi 23 octobre de 9 heures à 12h30 à Eurre (26)

    Cette réunion est organisée dans le cadre des rencontres du réseau CoDE CLUSTER en partenariat avec la Communauté de Communes du Val de Drôme (CCVD).

    Les échanges se poursuivront au cours du déjeuner offert par le réseau CoDE CLUSTER, et de la présentation en début d’après-midi du projet Ecosite de la CCVD dans le cadre de Biovallée.

    Renseignements et inscriptions en retournant le bulletin d'inscription joint avant le 10 octobre prochain
    à nalian@nalian.eu.

    Dans l’attente de cette rencontre, nous vous adressons nos plus cordiales salutations.

  • Humour de marques !

    - Qu'est-ce qu'un petit pois et une carotte qui se battent ensemble ?

    C'est un BON DUEL !!!


    - Deux chèvres sont sur un bateau : Baba et Babi.
    Baba tombe à l'eau, que se passe-t-il ?

    BABA COULE et BABI BÊLE !!!



    - Quel est le pluriel d'un Coca ?

    DES HALTÈRES !!!
    (car un Coca désaltère)


    - Que fait un crocodile quand il en rencontre un autre ?

    IL L'ACCOSTE !!!

  • Co-branding: Quand les stars se griffent!

    www.lagrandeepoque.com
    Écrit par Many Ngom, La Grande Époque - Montréal
    15-07-2008

    L’actrice Sarah Jessica Parker au lancement de sa ligne de vêtements, Bitten, le 23 mai 2007 à New York.

    De nos jours, il existe le co-branding qui est un «mariage marketing» entre deux notoriétés. Cette union entre les célébrités et la mode est très fréquente, c’est un domaine dans lequel le taux de divorce est quasiment inexistant.

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    (L’actrice Sarah Jessica Parker au lancement de sa ligne de vêtements, Bitten, le 23 mai 2007 à New York. (Evan Agostini/Getty Images)

    Ce n’est pas un concept nouveau, mais le monde dans lequel nous vivons vibre de plus en plus aux faits et gestes des stars, d’où la popularité de cette tendance. Ainsi, ce concept a beaucoup plus d’effet qu’une publicité classique puisqu’il associe l’intérêt que nous avons pour la star à la marque en question.

    Par ailleurs, il est aujourd’hui très utile pour une célébrité de s’associer à une marque. Elle peut ainsi assurer constance à sa notoriété. Avec le co-branding, la vedette peut se permettre même du temps sabbatique tout en entretenant sa cote de popularité auprès du public.

    Sarah Jessica Parker, ou Carrie de Sexe à New York, a sorti deux parfums et une collection de vêtements tout-aller entre la fin de la série télévisée et la sortie du film tiré de cette même série.

    David Beckham, en attendant que les États-Unis remportent la coupe du monde de soccer, a prêté son corps pour le lancement de sous-vêtements du géant de la mode, Emporio Armani.

    De même pour Pénélope Cruz qui pose aussi pour la marque Mango.

    Et le consommateur dans tout ça?

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  • Le nom de domaine America.com est toujours en vente Suivant

    Vendredi 30 mai 2008, 13h20

    America.com toujours sans propriétaire.

    Au terme de la semaine d'enchères sur les sites spécialisés Greatdomains.com et Sedo.com, les offres pour le nom de domaine n'ont pas dépassé le prix de réserve.

    Le gestionnaire de noms de domaine Internet Media Consultants SA (IMCSA) demandait au moins 2 millions de dollars et l'offre la plus haute n'était que de 1,71 million, indique l'AFP.

    Le nom de domaine le plus cher de l'histoire d'internet est Sex.com, vendu environ 12 millions de dollars en janvier 2006.