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creation de noms - Page 11

  • Téléphones griffés

    Source : www.w3sh.com
    Posted By Aurelie On 31st August 2006

    Après les sonneries, les coques en strass et autres goodies, le téléphone portable va franchir un nouveau pas vers la personnalisation en affichant un logo d’une marque de vêtements ou de sports.

    Comme elles s’affichent sur les tee-shirts, les marques de mode ainsi que les marques de cosmétiques et de luxe vont ainsi envahir nos portables.
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    Précurseur sur ce marché, [1] Modelabs (qui a lancé en 2005 des portables pour la marque de sport Airness et pour l’agence de mannequins Elite.) va sortir en octobre un téléphone aux couleurs de la télévision musicale américaine MTV.

    Un autre projet est prévu pour la fin de l’année en partenariat avec une marque de jeu vidéo japonais, dont le nom est tenu secret. Des contenus spécifiques accompagnent ces téléphones. Les portables MTV proposeront ainsi des vidéos clip, des extraits d’émissions.

    Il faut savoir que le téléphone griffé de luxe est un marché prometteur puisqu’il pourrait représenter un chiffre d’affaires équivalent à celui de la montre de luxe.

  • PinkTV enfin propriétaire de son nom

    Source : www.tetu.com
    Copyright tetu.com
    par Louis Maury


    France (Télévision)

    PinkTV a racheté son nom! Condamnée le 2 mai pour contrefaçon par le tribunal de grande instance de Paris, la chaîne gay n'avait plus le droit d'user du mot «Pink» (lire Quotidien du 3 mai). La chaîne a donc reglé cette affaire à l'amiable, sans quoi elle aurait pu se trouver dans l'obligation de se rebaptiser.
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    Le 2 mai dernier, PinkTV avait été condamnée pour contrefaçon par la justice qui lui avait interdit d'utiliser la marque «Pink». En effet, la chaîne, lancée le 25 octobre 2004, était poursuivie devant la troisième chambre civile du tribunal de grande instance de Paris par la société de production Fovea, qui avait déposé la marque «PINK» le 27 décembre 1999.

    Fovea était le producteur de l'émission «PINK» (Programme d'Information Non Konformiste), dont sept volets ont été diffusés par France 2 à partir de janvier 2000. Fovea avait assigné la chaîne en janvier 2005 pour contrefaçon tant de sa marque que de ses droits d'auteur. Dans son jugement, le tribunal jugeait que «l'atteinte portée aux droits d'auteur antérieurs de la société Fovea était caractérisée» et prononçait la nullité des marques PinkTV et de ses déclinaisons.

    Il était même fait interdiction à la société d'utiliser le signe Pink sous quelque forme que ce soit, sous astreinte de 10.000 euros par jour de retard, disposait le jugement. PinkTV avait alors annoncé son intention de faire appel du jugement. «Je les avais prévenus en 2004 lors du lancement de l'antenne, a précisé la directrice de Fovea, Isis Colombe-Combreas au quotidien gratuit 20 Minutes.

    J'avais même proposé un arrangement à l'amiable, qui leur aurait coûté bien moins cher!» Aucune des parties ne souhaite maintenant révéler le montant de la transaction. «L'essentiel est que PinkTV soit désormais propriétaire de son titre», précise la chaîne.

  • Guge, le nouveau nom chinois de Google, suspect de ringardise

    Source : www.01net.com
    Nicolas Sridi, de Pékin , 01net., le 26/04/2006 à 17h08


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    La filiale locale du moteur de recherche vient de changer de nom.
    Mais ses connotations rurales suscitent une vague de protestations.


    Google China, qui s'est déjà fait remarqué pour s'être rapidement conformé à la censure du Parti, vient de siniser son nom pour devenir Guge (prononcer « Gou Gue »). Le but de la manoeuvre est évidemment de se rapprocher des internautes de l'Empire du milieu. Un sondage, récemment réalisé en Chine, montre que plus de la moitié des personnes interrogées n'était pas capable d'épeler correctement « Google ». Mais le choix du second moteur de recherche en Chine (après Baidu.com) ne fait pas l'unanimité. Et il existe désormais un site pour protester, noguge.com.

    « Guge » en chinois évoque les chants folkloriques entonnés par les paysans au cours des récoltes, c'est cette connotation rurale et traditionnelle qui déplaît le plus. Pour les internautes chinois, majoritairement citadins, Google est le symbole d'une modernité à l'occidentale basée sur la high-tech. Ainsi, le site permet de participer à une pétition réclamant le changement du nom. Les slogans de la campagne sont explicites : « Google on t'aime, mais on n'aime pas Guge » ou encore « Guge n'est pas un nom correct, nous sommes insatisfaits, Google est-ce que tu nous entends ? ».

    Près de 10 000 personnes ont déjà signé la pétition et beaucoup ont laissé leurs commentaires sur le site. « Google évoque pour moi un sentiment d'indépendance alors que Guge me semble trop traditionnel et vieillot. » Tom Doctoroff, responsable de la filiale chinoise de l'agence publicitaire internationale JWT, se montre plus tempéré, mais néanmoins critique : « Un chant rural n'a rien à voir avec le sens original de Google. Vous faites de telles erreurs lorsque vous ne connaissez pas vos consommateurs. Selon moi, il s'agit d'une faute grave. »

    Côté utilisateurs, c'est Gougou (« chienchien ») qui semble être le nom le plus apprécié, car il colle parfaitement au signe du zodiaque chinois pour 2006, le chien. Mais Guge ne se laisse cependant pas démonter par cette vague de critiques. Un porte-parole de Google China a ainsi expliqué que « des noms comme Gougou ne correspondent absolument pas à l'image d'une entreprise ou d'un produit et ne reflètent ni nos objectifs ni notre mission ».

  • Les marques chinoises partent à l'assaut

    Source : www.letemps.ch
    Angélique Mounier-Kuhn
    Lundi 4 septembre 2006


    • Dans quelques années, les marques chinoises peupleront notre quotidien.
    • Certaines, comme Haier et Lenovo, se sont déjà taillé une réputation incontournable.


    Divaguons un peu. Dans la cuisine, un réfrigérateur Haier et un four à micro-ondes Galanz, dans le salon un écran télévision TCL et sur le bureau, à côté de l'ordinateur portable Lenovo, un téléphone Bird. Garée dans l'allée, devant la maison, un 4x4 Landwind dernier cri. Il faudra s'y faire. Toutes ces marques chinoises, encore incongrues à nos yeux et nos oreilles, feront un jour partie de notre quotidien.

    «Cela va arriver plus tôt que ce que l'on croit», soutient Dominique Turpin, professeur de marketing à l'IMD de Lausanne. «Les Chinois sont beaucoup plus rapides que les Japonais qui avaient mis deux décennies à développer la renommée internationale de leurs marques.»

    «Les Occidentaux ont cru que les entreprises chinoises se concentreraient sur l'immensité de leur marché intérieur», ajoute le professeur. Erreur d'appréciation. Car la Chine, premier atelier du monde, a déjà bien compris tout l'intérêt qu'elle aurait à ne pas se cantonner éternellement à son rôle de sous-traitant pour nos entreprises occidentales.

    Après avoir œuvré à la constitution de géants économiques nationaux, elle a dorénavant mis le cap sur la maîtrise de la très lucrative chaîne de distribution à l'international. «La Chine passe du stade de producteur pour les autres au stade de possesseur de marques, chinoises ou rachetées. Et ce n'est qu'un début», déclare ainsi Yves Carcelle, président de Louis Vuitton International.

    Pour ce faire, les entreprises de l'Empire du Milieu disposent de deux avantages colossaux: un réservoir inépuisable de main-d'œuvre bon marché, gage de prix imbattables, et leur faculté d'innovation rapide, en reprenant au besoin à leur compte les technologies importées par les entreprises étrangères. Autre atout, le soutien déterminé des autorités. «A l'heure de la mondialisation, l'un des objectifs économiques du gouvernement est d'encourager des entreprises à acquérir une dimension internationale, capable de concurrencer les firmes occidentales et japonaises», confirme Rengang Huang, délégué économique de la Chine auprès de l'Organisation mondiale du commerce. D'ailleurs, la Chine entend bien profiter des Jeux olympiques de Pékin en 2008 comme d'une vitrine planétaire pour ses champions émergents. Air China, Tsingtao, Haier et Lenovo en sont notamment les sponsors.

    Pour l'heure, seule une poignée de marques jouit d'une notoriété incontournable. En faisant l'acquisition fin 2004 de la division PC de l'américain IBM, Lenovo, premier fabricant d'ordinateurs en Chine, s'est propulsé au troisième rang mondial. TCL est devenu le plus grand producteur d'écrans télé au monde avec la reprise de certaines activités de Thomson en 2003. Après avoir conquis l'Asie du Sud-Est et l'Afrique, le fabricant d'électroménager Haier accapare déjà un tiers du marché américain des réfrigérateurs. Aujourd'hui, il affiche ostensiblement l'ambition de ravir la première place en Europe.

    Pour les autres, la longue marche a débuté. «Les marques chinoises sont conscientes qu'il leur faudra encore du temps et beaucoup d'efforts pour rattraper leurs concurrentes occidentales. Mais elles s'y préparent sans relâche», précise Rengang Huang. Ainsi, la Chine a encore beaucoup à faire pour se mettre à la page des techniques de marketing occidentales. Il lui faudra notamment convaincre la clientèle européenne que le positionnement de ses produits, le bas de gamme, n'est plus nécessairement synonyme de piètre qualité. Mais plutôt qu'avec un produit chinois, la ménagère en a pour son argent.

    «La qualité n'est plus un facteur de différentiation. Aujourd'hui, tout le monde vend des produits de qualité. Y compris la Chine dont la plupart des usines sont déjà aux standards occidentaux», affirme Dominique Turpin.

  • Ecrire son nom en hiéroglyphes comme au temps de l'Egypte des pharaons

    Source : www.egyptos.net

    Entrer votre nom et cliquez sur afficher pour voir la traduction en hiéroglyphes (chaque hiéroglyphe représente un son ou une consonne): cliquer ici

    La traduction est effectuée à partir des signes unilitères (qui désigne une consonne ou un son), il faut savoir que l'écriture égyptienne a aussi utilisé des signes qui avaient valeur de deux consonnes (les signes bilitères) ou de trois consonnes (les signes trilitères).

  • Orion, le nom du prochain vaisseau spatial de la Nasa

    Source : www.lefigaro.fr
    Publié le 25 août 2006


    «Nous l'avons appelé le Crew Exploration Vehicle pendant plusieurs années, mais aujourd'hui il a un nom : Orion.» La Nasa ne devait dévoiler le nom de son nouveau vaisseau que le 31 août, en même temps que l'attribution des marchés pour sa construction.

    Mais après la diffusion accidentelle d'un message enregistré par l'astronaute américain Jeff Williams, depuis la Station spatiale internationale, l'agence spatiale américaine a décidé d'annoncer officiellement son nom.

    En choisissant Orion, la constellation d'étoiles la plus connue et la plus facilement identifiable depuis la Terre, la Nasa espère que le nom du vaisseau deviendra aussi évocateur, dans le domaine de l'exploration spatiale, que l'a été Apollo dans les années 1960 et 1970.

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  • Le nom des nombres

    Source : Nicolas Granier
    Le nom des nombres :
    le système français étendu.



    Entrez un nombre en chiffres et cliquez sur Afficher pour faire apparaître son nom en toutes lettres.
    N = (cliquer ici)

    Afficher en toutes lettres :
    le nombre N lui-même.
    le nombre 10N c'est-à-dire un 1 suivi de N zéros.
    le nombre 106N soit le N-ième nombre en "...illion".

  • Cannes, marque déposée

    Source : www.lefigaro.fr
    Fabienne Reybaud. Publié le 22 août


    Ses palaces, ses casinos, ses boutiques de luxe, sa Croisette, son Palais des festivals... Moins people que Saint-Trop’, plus sexy que Monaco, la cité cannoise attire chaque année plus de 2,5 millions de visiteurs. Un village global où princes saoudiens,banquiers londoniens et nouvelles fortunes russes trouvent...leurs marques.

    medium_canne.2.jpg(AP / J. Christensen)

    « Nous assumons totalement le fait d’accueillir ici les gens les plus riches du monde ! affirme David Lisnard, maire adjoint de Cannes et président du Palais des festivals et des congrès. Hôtels, restaurants, clientèle..., le haut de gamme est surreprésenté, cela fait partie de l’identité de la ville et nous permet aussi de beaucoup redistribuer : Cannes a un taux record de logements sociaux pour la région, le même que celui de Marseille ! » Bien. Évidemment, sur cette fameuse Croisette longue de 4 kilomètres, où les chauffeurs de taxi prennent des cours d’anglais mais oublient de mettre le compteur, ce ne sont pas les HLM qui sautent aux yeux... Sinon une enfilade de palais et d’hôtels somptueux, d’immeubles élégants et de plages chauffées à blanc non par l’odeur des sardines grillées mais par les compils lounge et des infusions frappées de verveine- gingembre sirotées avec indolence par de jeunes Ukrainiennes en Bikini Dior, quand ce ne sont pas des princesses arabes voilées de Pucci. Le pittoresque et le folklore cannois sont là.

    Les 70 000 habitants de la cité azuréenne se moquent comme d’une guigne des danses provençales et de la pêche locale. Cela ne leur a jamais rapporté un sou. La beauté de la baie, si. Le nom de leur ville encore plus : depuis quelques années, Cannes est, à l’instar d’un produit de luxe, une marque déposée. Avec tout ce que cela comporte en termes d’image, d’offre et de services...

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  • Insolite : Apple s'attaque aux noms en 'Pod'

    Source : www.clubic.com
    Publiée par Alex le Mercredi 16 Août 2006
    Brève Insolite


    Est-il abusif d'utiliser un nom à la consonance proche de celle d'un baladeur à grand succès pour désigner et promouvoir un appareil dont la finalité est tout autre ? Pour Apple, la réponse à cette question ne fait apparemment aucun doute. La firme à la pomme a en effet récemment demandé par courrier à deux sociétés de cesser et de renoncer à utiliser la syllabe « pod » dans le nom de leurs produits, évoquant une violation de la marque « iPod ».

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    Mach5products commercialise un appareil baptisé Profit Pod, destiné à recueillir les informations émises par les distributeurs automatiques ou les bornes d'arcade munis d'un collecteur et à dispenser du comptage manuel des pièces de monnaie. Selon Apple, la présence d'un écran, la proximité avec l'univers du jeu vidéo, la forme rectangulaire et - bien sûr - la présence de la syllabe « pod » dans le nom sont des arguments suffisants pour justifier la confusion entre le Profit Pod et ses propres produits. Une lettre similaire serait parvenue siège de TightPod, qui fabrique des protections pour ordinateurs portables.

    Le Profit Pod de Mach5products

    D'après un avocat spécialisé dans le droit des marques, ce genre de démarche serait relativement courant, les marques cherchant à se protéger par tous les moyens de la concurrence, ou de la dilution de leur marque lorsque la proximité entre deux produits ne parait pas évidente. Dans le cas de la société Mach5products, c'est une demande de dépot sur la marque Profit Pod, déposée en 2004, qui a vraisemblablement poussé Apple à demander le changement de nom.

  • Le terme "Pod" est-il la propriété d'Apple ?

    Source : www?neteco.com
    17/08/2006


    Estimant le risque de contrefaçon de marque élevé, Apple a alerté plusieurs sociétés pour qu'elles cessent d'associer le terme 'Pod' à leurs marques et produits

    Contrefaçon de marque ?

    Susceptible, Apple a envoyé la semaine dernière des lettres d'alerte à des sociétés américaines pour qu'elles cessent d'utiliser le terme "Pod".

    Estimant le risque de contrefaçon de marque élevé, le concepteur du baladeur numérique le plus vendu au monde, l'iPod, leur demande de renommer leurs produits et marques "afin d'éviter toute confusion".

    Mach5products a reçu l'une de ces lettres. Cette société basée en Floride commercialise un terminal de collecte de données depuis des machines, jeux et distributeurs, nommé "Profit Pod".

    Apple aurait indiqué dans sa lettre que "les deux appareils transmettent et reçoivent des données, fonctionnent avec un ordinateur et ont des composantes similaires."

    TightPod, un fabriquant d'étuis pour ordinateurs portables basé dans le New Jersey, a lui aussi été alerté par le groupe informatique américain. Terry Wilson, gérant de TightPod, serait prêt à accepter les doléances d'Apple, à la condition que le groupe participe pour moitié au financement de l'opération.

    La multinationale est en position de force face à ces entreprises de taille moyenne. Sa démarche, protéger ses investissements et ses marques, y compris vis-à-vis d'entités actives dans d'autres secteurs, n'est pas nouvelle.

    Récemment Google "a invité" plusieurs organes de presse, dont le puissant Washington Post, à ne plus utiliser le terme 'to Google' et ses dérivés pour désigner une recherche effectuée sur Internet.

  • Dites 'pod' et Apple voit rouge...

    Source : www.neteco.com
    Par la Rédaction


    Apple menace les entreprises qui glissent l'expression 'pod' dans le nom de leurs produits

    Les entreprises qui rencontrent le succès avec un produit sont très souvent susceptibles lorsque des produits 'concurrents' adoptent une orthographe dont la consonance est proche de celle du nom de leur propre produit.

    Apple, dont la susceptibilité n'est plus à démonter, ne déroge pas à la règle. Fort du succès mondial de son 'iPod' - très largement premier baladeur numérique du marché en volume, comme en chiffre d'affaires ou en part de marché (80 %) - le constructeur s'inquiète de l'apparition de produits pas forcément concurrents, mais dont il juge le nom trop proche du sien.

    Ainsi en est-il de 'Profit Pod', une borne de comptage des pièces de monnaie pour les distributeurs automatiques, et de 'TightPod', un fabricant de protections pour ordinateurs portable, qui ont été invités par Apple et par courrier à renoncer à l'utilisation de la syllabe 'pod'.

    Que leur reproche Apple ? De violer sa marque 'iPod' en plaçant dans dans leur marque, ou le nom de leurs produits dont l'activité est jugée trop proche de celle de l'iPod, la syllabe 'pod'.

    L'action d'Apple n'est pas nouvelle. Les entreprises cherchent à protéger leurs marques, dont le coût d'installation dans l'esprit du consommateur représente souvent un investissement marketing et publicitaire considérable. Les poursuites engagées contre Google, dont les règles parfois jugées laxistes permettent d'exploiter des noms de marques concurrentes dans des liens sponsorisés, viennent nous le rappeler.

    Le constructeur cherche à écarter toute forme de concurrence qui pourrait faire de l'ombre à son produit et aux marges qu'il dégage.

    Il faudrait cependant rappeler à Apple qu'un 'pod' est une 'cosse', et que la plupart des appareils électriques et électroniques disposent de 'pods' ? Si son service juridique devient actif sur cette expression, Apple pourrait bien réserver des surprises à de nombreuses entreprises…

  • DÉPOSER UNE MARQUE

    Source : APCE Agence Pour la Création d'Entreprises

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    Toute entreprise, quelle que soit sa forme, ou toute personne physique, peut déposer une marque auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi).

    Il peut s'agir d'une marque de fabrique, de commerce ou de service, ou tout simplement du nom de l'entreprise s'il est suffisamment original et non encore utilisé par une autre entreprise concurrente.

    Que peut-on déposer en tant que marque ?

    Un signe verbal, qui peut s'écrire ou se prononcer (nom, mots, lettres, chiffres, sigle, slogan...).
    Un signe figuratif (dessins, logos, hologrammes, reliefs... mais aussi des formes, nuances précises ou combinaisons de couleurs...).
    Un signe sonore (sons, phrases musicales pouvant être matériellement traduits).

    Ces signes doivent être distinctifs et suffisamment originaux.

    Le dépôt d'une marque ne doit pas porter atteinte à des droits antérieurs. On ne peut, par exemple, déposer un nom qui a déjà fait l'objet d'une marque antérieure ou qui est déjà utilisé par une autre entreprise dans le même domaine car il y a alors un risque de confusion dans l'esprit du public. Les titulaires des marques notoirement connues se protègent quelque soit le produit ou le service visé.

    Certaines terminologies peuvent être sévèrement réglementées ou irrecevables en tant que marque. Attention, par exemple, à l'emploi des mots "France", "Français", "Europe" ou encore "médical", "docteur" et d'une manière générale, de toute terminologie pouvant entraîner une confusion dans l'esprit du public. De même, ne sont pas admises les marques ayant une consonance ou une apparence similaire.


    Pourquoi déposer une marque ?

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  • Google désapprouve l'emploi de son nom en tant que verbe

    Source : Challenges.fr | 17.08.2006

    Le célèbre moteur de recherche Google a considéré comme une insulte le fait que son nom soit employé en tant que verbe, rapporte le quotidien britannique Times du jeudi 17 août. Une telle pratique pouvant porter atteinte à son image.

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    L'emploi du verbe “to google“ dans le langage courant a explosé ces dernières années et deux dictionnaires ont récemment ajouté ce verbe dans leur recueil de mots. Le “Merriam-Webster“ y associe la définition “utiliser le moteur de recherche Google pour rechercher, sur le web, des informations sur quelqu'un ou quelque chose“.

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  • Les «Pages jaunes» perdent leur statut de marque protégée en Allemagne

    Source : www.agefi.com
    Vendredi - Samedi - Dimanche 11 - 12 - 13 août 2006

    La décision de l’agence de protection des brevets et des marques pourrait coûter très cher à Deutsche Telekom qui n’a toujours pas privatisé cette activité.

    Frédéric Therin à Munich

    L’annonce est un coup dur pour DeTeMedien. Après deux ans de réflexion, l’agence allemande de protection des brevets et des marques (DPMA) a annoncé hier sa décision de retirer de sa liste de noms protégés «Gelbe Seiten» et «Yellow Pages», les traductions en allemand et en anglais de «Pages jaunes».

  • Quand les boutiques Brice s'attaquent à «Brice de Nice»


    ANNE SALOMON. Publié le 11 août 2006

    www.lefigaro.fr

    Les producteurs du film «Brice de Nice» condamnés pour contrefaçon de marque.

    RIEN ne semblait pouvoir atteindre Brice de Nice. Le film, sorti en janvier 2005, avait rencontré un succès inespéré. Avec plus de 4 millions d'entrées, il se situait juste après les énormes machines américaines Star Wars et Harry Potter. Les producteurs du film avaient même été autorisés par Nike à imprimer son emblématique virgule - mais à l'envers - sur le tee-shirt jaune du héros. Le groupe américain avait longuement jaugé la nouvelle virgule et finalement décidé qu'elle constituait un clin d'oeil à la leur, presque un hommage. Tout se déroulait donc comme dans un rêve.

    medium_brice.jpgMais voilà qu'un beau jour d'avril, les producteurs apprennent que des poursuites pour contrefaçon sont engagées contre eux. La virgule de Nike n'est pas concernée, la couleur jaune n'est pas déposable... C'est en réalité une entreprise de prêt-à-porter dont les magasins sont situés dans des galeries commerciales qui réclame justice. Elle s'appelle Brice et s'offusque que son nom ait pu être utilisé sans avoir été consultée. Elle demande que Mandarin, la société de production, ne puisse plus user du nom Brice sur ses tee-shirts ou son site Internet. L'entreprise va plus loin encore en faisant remarquer que son magasin de Nice pourrait souffrir de l'existence du site bricedenice.com.

    Bref, Brice estime avoir le monopole de Brice et accuse ni plus ni moins Mandarin de contrefaçon. Au passage, elle lui réclame 150 000 euros de dommages et intérêts, 200 euros par infraction constatée et 10 000 euros par jour jusqu'à ce que Mandarin ait cessé complètement d'utiliser la marque Brice.

    Tee-shirt Brice ou tee-shirt de Brice

    Le coup est rude. L'avocat de Mandarin, Marc Schuler, du cabinet Taylor Wessing, se demande alors comment un prénom pourrait être déposé et donc protégé comme une marque... À la mi-juillet, les juges parisiens lui ont donné raison sur ce point. Mais ils ont quand même condamné Mandarin à verser 14 000 euros à Brice.

    La raison n'est pas banale. Sur le site du film, un slogan a posé problème aux magistrats : « N'oublie jamais de porter ton tee-shirt Brice avant de brancher une nana. » Et là, on ne plaisante plus avec le droit. Mandarin aurait pu écrire « ton tee-shirt de Brice » mais pas « ton tee-shirt Brice ». Car un vêtement Brice est la propriété de la marque du même nom. En termes juridiques, cela s'appelle de la contrefaçon par reproduction. Et c'est à ce titre que Brice de Nice a finalement été condamné.

    En revanche, Mandarin a parfaitement le droit de continuer à exploiter le prénom Brice. Car selon les juges, aucune confusion n'est possible aux yeux des consommateurs. D'une part parce que les vêtements classiques commercialisés par Brice ne sont en rien comparables avec les tee-shirts exclusivement jaunes du personnage du film. En outre, les tee-shirts Brice de Nice ne sont disponibles que sur Internet alors que Brice est vendu dans des magasins en dur. L'infraction de contrefaçon par imitation n'a donc pas été retenue. Autrement dit, Mandarin va pouvoir continuer à exploiter son filon. On chuchote même qu'un Brice 2 serait en préparation...

  • Plus qu'un nom

    Sheila Copps
    11/08/2006 21h33

    Journal de Montréal


    Quelqu'un peut-il mettre du plomb dans la tête de Réal Bourassa? Pourquoi une personne normale affublerait-elle une franchise de basket-ball d'un nom qui soit aussi méprisant que «vaches» l'est pour les femmes et «nègres» pour les Noirs?
    Dégradant et humiliant
    Pouvez-vous imaginer des Outgames organisés par de «grandes pédales»? Raciste est la seule façon de qualifier son utilisation du mot «frogs».


    Je soupçonne qu'en proposant un tel nom pour sa nouvelle franchise de l'Association américaine de basket-ball, l'entrepreneur québécois Bourassa savait qu'il allait soulever pareille controverse.

    «Le Québec encouragera-t-il les Frogs?». clame un titre à la une du Globe and Mail, faisant ainsi allusion à la controverse. Politiciens et rédacteurs sportifs ont mis le nom au pilori, mais M. Bourassa n'en démord pas.

    Il dit qu'on l'a plus d'une fois surnommé «frog» sans que ça ne l'affecte. Toutefois, M. Bourassa, c'est une chose de choisir de rire de soi-même, et c'en est une autre de former une équipe qui sillonnera l'Amérique du Nord comme une caricature du peuple québécois.

    Même son deuxième choix de nom, Kebekwa, semble ridiculiser les gens. Si Bourassa a quelque chose à prouver, il devrait choisir une autre arène que le sport. Politique et sports sont une combinaison mortelle qui ne peut que ruiner les chances de son équipe.

    Les «Jumping frogs» seraient non seulement une humiliation pour la plupart des Québécois, mais ce nom pourrait également entraîner le boycott de son équipe.

    S'il est une chose que les Québécois détestent, c'est bien l'affront, et ce choix bizarre semble destiné à en être un...

    Évocateur et inspirant
    Quant au basket-ball, il est grand temps qu'une nouvelle équipe s'installe au Québec et les noms ne manquent pas pour inspirer la fierté à la province. Forteresse de Québec, par exemple, nom évocateur de force et d'unité, éléments inspirants s'il en est pour une équipe gagnante.

    En outre, il focaliserait l'attention sur la nature historique de la ville de Québec, qui est l'un des deux sites urbains du patrimoine mondial de l'UNESCO au Canada.

    Ou encore les Maraudeurs de Montmorency, pour rappeler la magnifique chute située près de la ville de Québec. Très peu de joueurs peuvent rêver en égaler la hauteur !

    Même les plaines d'Abraham serait un grand nom pour une équipe désireuse de faire les annales du basket-ball au Québec.

    La réussite de toute nouvelle équipe nécessite le soutien de la collectivité entière. Cela ne rime à rien de la mettre au monde avec un nom insultant pour les francophones. Les clichés grossiers doivent être abolis plutôt que d'être érigés en appellations d'origine.

    Clichés grossiers
    Pouvez-vous imaginer un Terre-Neuvien qui nommerait son équipe «les Newfies» ? Qu'en serait-il des «Pois de senteur» pour une équipe de Hamilton ? Autant d'images navrantes dont les collectivités essaient désespérément de se débarrasser.

    N'en faites pas un nom d'équipe, donnant ainsi crédit aux bigots qui se délectent surtout des clichés grossiers. M. Bourassa a un choix vaste comme le monde.

    En tant que passionnée de basket-ball (et ancienne championne canadienne de ce sport), j'aimerais bien assister à un match au programme de la nouvelle ligue américaine.

    Cependant, si cela veut dire appuyer le dénigrement de la culture française, ne comptez pas sur moi.

    Les seules grenouilles que je connaisse sont dans l'étang derrière chez moi.

  • Équipe de basketball : Un nom controversé

    Souce : www.radiocanada.ca
    Mise à jour le vendredi 11 août 2006, 13 h 52 .

    Jumping Frogs

    La suggestion du propriétaire de la nouvelle équipe de Québec de l'Association américaine de basketball de nommer son équipe les Jumping Frogs continue de susciter des réactions.

    medium_jump.jpgL'ancien ministre responsable de la Francophonie, Denis Coderre, somme les dirigeants de mettre tout de suite cette option au panier. Comme plusieurs, le député libéral de Bourassa la considère comme une insulte pour les francophones. « Je trouve ça dégradant. [...] Ça va être quoi notre hymne national, la chanson de notre ami Robert Charlebois ? », s'insurge M. Coderre.

    Cette possibilité a notamment provoqué des réaction dans les quotidiens La Presse et le Globe and Mail, de Toronto. Le propriétaire de la nouvelle franchise de basketball défend cependant son choix d'appeler son équipe les Jumping Frogs.

    L'organisation hésite toutefois entre ce nom et celui de Kebekwa. Le nom retenu sera annoncé à la fin du mois à la suite d'un vote populaire sur Internet. Les Jumping Frogs ou les Kebekwa disputeront leur premier match en novembre.Les explications de Marc Durand

  • Nouveauté : Kia Cee'd, tel est son vrai nom

    Source : www.moniteur-automobile.presse.fr/fr/

    On attendait un patronyme au modèle issu du concept présenté à Genève. Finalement, Kia a décidé de garder le même nom.

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    Dans le genre, Kia a fait fort.
    On nous présente un concept en faisant miroiter l'annonce d'un nouveau nom pour le modèle définitif.
    Et en fin de compte, et ben c'est le même !
    La Cee'd (prononcer Sid) est la nouvelle voiture familiale du segment C de Kia.
    Un modèle conçu et construit en Europe, en Slovaquie, et attendu sur nos marchés en décembre.
    On n'apprendra rien de neuf sur le modèle, hormis qu'il devrait marquer un tournant pour le constructeur.
    En prime, Kia nous a proposé quelques clichés de l'intérieur de la Coréenne

  • Appelez-moi PLAYSTATION 3 !

    www.inpactvirtuel.com

    Lundi 14 août 2006 à 06h30, rédigé par Gizmo

    Sony présente la première console majuscule

    Play Station, Playstation, Pléstèchionne... mais comment ça s'écrit, #@!! de !!$%@^# ?" s'insurge le correcteur sous amphets qui perd les pédales au bout de sa soixantième news corrigée en une demi-heure...


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    Revenons quelques années en arrière... La PlayStation, première du nom, s'écrit PlayStation, avec un P et un S majuscule. Ses abréviations, PSX ou PSOne n'ont jamais été officielles. PSX était, si mes souvenirs sont bons, son nom de code, d'ailleurs. Quant à la PSOne, c'est le nom de la PlayStation blanche et petite, sortie à la fin de la vie de la console.

    La PlayStation 2 s'écrit de la même manière : P et S majuscules. Mais jamais le nom de PS2 n'a été officiellement autorisé. Bon, ne rêvez pas, hein, ce n'est pas pour ça que Sony ne l'a pas déposé...

    Idem pour la PlayStation Portable. Notez les majuscules. Idem pour le nom PSP, jamais officiellement autorisé, même s'il orne la console, justement.

    Bon, on vous rassure, hein, qui dit non officiellement autorisé, ne veut pas dire non toléré...

    Tout ça pour dire que par contre, tout change pour la PLAYSTATION 3. En effet, l'écriture officielle se voudra tout en majuscules. Et que Sony utilisera également officiellement l'abréviation PS3.

    Voilà voilà voilà...

  • Annonce des marques nationales préférées des internautes chinois

    Source: le Quotidien du Peuple en ligne

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    Les résultats de l'Enquête 2006 sur les marques préférées des internautes chinois ont été annoncé dernièrement au public et les prix honorifiques ont été décernés aux dix lauréats suivants :

    Wuliangye (producteur d'alcool), Guangfa (carte de crédit bancaire), Xuechi (groupe de confection d'habits), Stare Grid Corporation of China (producteur d'électricité), Haier (groupe de fabrication d'équipements électroménagers), China Construction Bank Corporation (principal banque d'Etat), Hongta (groupe de fabrication de cigarettes), Chiao Tung Bank Co. Ltd (Bank of Communications, l'une des quatre plus anciennes banques chinoises fondée en 1907 sous la dynastie des Qing) et Lenovo China (le plus grand producteur d'équipements informatiques de Chine).

    D'autre part, Wuliangye a obtenu le prix leader des dix grandes marques chinoises.

    La présente enquête a été lancée et organisée par l'Association chinoise d'internet.