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Naming News - Page 2

  • REDRESSER DES MARQUES QUI SE PORTENT TRÈS MAL EST UN VRAI CHALLENGE»


    www.influencia.net


    Une fois par mois, INfluencia et les Produits de l'année donnent la parole à un(e) responsable marketing et l'interrogent sur son métier. 11 questions et le droit de répondre «joker» à l'une d'entre elles. Cette semaine Hugues Pietrini, directeur marketing et R&D du Groupe Orangina Schweppes.

    INfluencia: Le marketing a presque été érigé en science exacte. Pourtant l'affect joue également un rôle dans la réussite des marques/produits. Laissez-vous une part d'affect/d'inconnu dans vos stratégies ?

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    Orangina 2010.jpg
    Hugues Pietrini :
    Ce n'est pas du tout une science exacte. Bien sûr cela dépend du  type de business dans lequel on travaille. Si l'on fait du marketing BtoB sur des produits très fonctionnels, on peut mettre en place des techniques un peu plus mécaniques.


    Mais sur des marchés où l'on doit vraiment travailler l'image des marques, comme Schweppes ou Orangina, la partie émotionnelle est  fondamentale, pour toucher les consommateurs et faire en sorte qu'ils se rappellent de vous. L'important est d'avoir une vision simple et claire sur la marque. C'est notre mission au quotidien.


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  • Laguiole demande à la justice de trancher

    www.lavoixdunord.fr

    | L'HISTOIRE DU JOUR |

    La commune aveyronnaise de Laguiole, mondialement connue pour ses couteaux fermants à manche légèrement recourbé et siglé d'une abeille, fabriqués depuis le XIXe siècle, a saisi le tribunal de grande instance de Paris afin de retrouver l'usage de son nom, subtilisé depuis dix-sept ans par un entrepreneur qui appose la marque Laguiole sur des couteaux importés d'Asie et sur une pléthore de produits.

    L'histoire commence en 1993. Gilbert Szajner, un particulier de Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne, dépose la marque Laguiole pour désigner non seulement des couteaux, mais aussi du linge de maison, des vêtements, des briquets ou encore des barbecues. Contre redevance, il accorde des licences à des entreprises françaises et étrangères qui peuvent commercialiser sous le nom Laguiole des produits d'importation.

    Laguiole.jpgEn février 2009, alors que la commune crée un nouveau logo et le dépose à l'Institut national de la propriété industrielle, Gilbert Szajner bloque la procédure sous prétexte qu'il est l'unique détenteur des droits.

    Mécontente, la petite ville de l'Aubrac poursuit donc M. Szajner, ses sociétés et une dizaine de ses licenciés, demande la nullité des marques, et réclame 5 millions d'euros en réparation du préjudice.

    « Les dépôts de marque que Gilbert Szajner a accumulés lui ont permis de s'arroger un véritable monopole sur le nom Laguiole qu'il oppose à la commune et à ses administrés pour empêcher leur croissance au profit de la sienne », affirme le maire de la commune.

  • Quand les grandes marques font leur cinéma

    www.lesechos.fr


    Coup sur coup, David Lynch et Martin Scorsese viennent de réaliser deux ovnis publicitaires, respectivement pour Dior et pour Chanel. En faisant appel à des réalisateurs stars, les marques de luxe cherchent à s'approprier un territoire chargé d'imaginaire.


    Le premier se déroule à New York, au son du « She Said Yeah », des Stones, et est signé Martin Scorsese, qui y a insufflé la brusquerie de son style et son rythme haché.

    Le second, conçu par David Lynch, met en scène Shanghai dans des volutes de fumée bleue et déroule un scénario où le rêve et la réalité se chevauchent en permanence.


    Ces deux films publicitaires partagent un point commun : la star est moins le produit que le réalisateur et l'ambiance qu'il apporte.


    Aucune mention, dans le film de Scorsese qui sera diffusé dans quelques mois à la télévision (via des spots de 60, 45 et 30 secondes), en cinéma et dans la presse, du nouveau jus masculin de Chanel, « Bleu », lancé à la mi-août. Sinon dans le plan final, comme un point d'exclamation...

    C'est-à-dire tout juste après que Gaspard Ulliel, égérie masculine du parfum, jouant son propre rôle de jeune acteur prometteur, ait brutalement renversé la table d'une conférence de presse, pour signifier son refus des conventions.


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  • NALIAN Naming News, nouvelle adresse Blog

    Bonjour,


    Merci de bien vouloir prendre en compte notre nouvelle adresse Blog :


    www.naliannamingnews.com


    NALIAN Naming News, L'actualité des noms de marque


    A très bientôt !


    Marie PASTELOT

    Directeur NALIAN Naming

  • L'OMPI dévoile son nouveau logo

    L'OMPI a dévoilé son nouveau logo le 26 avril 2010 - date marquant le quarantième anniversaire de l'entrée en vigueur de la Convention instituant l'OMPI et le dixième anniversaire de la Journée mondiale de la propriété intellectuelle.  

    Le nouveau logo constitue la pierre angulaire de la nouvelle identité visuelle de l'Organisation et reflète les nouvelles orientations prises pour faire face à l'évolution rapide de la propriété intellectuelle au XXIe siècle. 

    newlogo OMPI.gif

    Ce nouveau logo illustre le dynamisme et l'esprit d'innovation de l'Organisation et constitue un symbole puissant de la revitalisation de l'OMPI et de sa réorientation stratégique.  

    Le graphisme s'inspire de la forme du bâtiment principal du siège de l'Organisation, structure emblématique bien connue de tous les États membres et toutes les parties prenantes de l'OMPI.  

    La couleur bleue rappelle le lien de l'Organisation avec les Nations Unies.  


    Les sept lignes courbes symbolisent les sept éléments de la propriété intellectuelle énoncés dans la Convention instituant l'OMPI :

     

    • œuvres littéraires, artistiques et scientifiques,
    • interprétations des artistes interprètes et exécutions des artistes exécutants, phonogrammes et émissions de radiodiffusion,
    • inventions dans tous les domaines de l'activité humaine,
    • découvertes scientifiques,
    • dessins et modèles industriels,
    • marques de fabrique, de commerce et de service, ainsi que noms commerciaux et dénominations commerciales,
    • protection contre la concurrence déloyale et tous les autres droits afférents à l'activité intellectuelle dans les domaines industriel, scientifique, littéraire et artistique. 


    Les lignes sont courbées pour indiquer le caractère rassembleur et sans exclusive de l'OMPI, un lieu de discussion qui accueille toutes les parties prenantes et leurs points de vue.  Elles sont également incurvées vers le haut en signe de dynamisme, afin de représenter les idées, le mouvement et le progrès liés à l'utilisation de l'innovation et de la créativité.  

    Le logo est établi sur une base solide constituée par l'acronyme et la dénomination de l'Organisation, ce qui représente la place qu'elle occupe depuis longtemps au centre de la politique internationale en matière de propriété intellectuelle.  Les lignes nettes et modernes du logo symbolisent la confiance, la fiabilité et l'efficacité essentielles à l'image de marque de l'OMPI.


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  • Nom de domaine en arabe : c’est possible !

    http://business.blogencommun.fr/2010-05-nom-de-domaine-en-arabe-cest-possible/

     

    Un nom de domaine écrit en arabe ! Oui c'est possible depuis cette semaine, pour le moment seul 3 pays le propose, L'Arabie saoudite, l'Egypte, les Emirats arabes unis.

    nom-domaine-arabe-300x225.jpgLes internautes peuvent écrire des noms de domaine « entièrement de droite à gauche » et cela est une première dans le monde internet qui était composé alors que de caractère latin.

    D'autres pays devraient prochainement recevoir l'autorisation de l'Icann pour utiliser des noms de domaine entièrement écrits avec leurs propres caractères, comme la Russie par exemple.

    En effet, plus de la moitié des 1,6 milliard d'internautes utilisent des langues qui ne sont pas basées sur des écritures en caractères latins.


    par ArnO

  • Google, IBM et Apple au sommet du classement mondial des marques

    www.lesechos.fr

    [ 28/04/10  ]

    La cinquième édition du Top 100 des marques établi

    par MillwardBrown consacre la suprématie des firmes technologiques. Coca-Cola et McDonald's reculent

    à la 5 e et 6 e place.

    Le classement complet Top 100 marques (MillwardBrown 2010).pdf

    Un peu plus chaque année, les entreprises technologiques dominent le classement mondial des marques établi par le spécialiste britannique des études de marchés MillwardBrown, filiale du groupe WPP.

    Ainsi, Google, IBM, Apple trustent le podium du classement 2010. Classé troisième encore en 2009, Coca-Cola recule à la cinquième place tandis qu'à la sixième, McDonald's cède lui aussi une place.


    Ce classement, réactualisé chaque année depuis cinq ans, croise les résultats de sondages réalisés auprès des consommateurs dans 24 pays avec l'analyse des dépenses des ménages fournie par Datamonitor et Bloomberg pour la collecte des données financières des sociétés (1).

    Google, qui n'a que onze ans d'existence, est ainsi valorisé 114 milliards de dollars, en hausse de 14 % d'une année sur l'autre, devant ses compatriotes IBM (86 milliards, soit + 30 %) et Apple (83 milliards, + 32 %).


    Des valeurs anticrise

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  • Découvrez les vrais noms des rockeurs

    Dossier du 09/04/2010

    www.musiquemag.com

    En France, tout le monde ou presque sait que Jean-Philippe Smet, Claude Moine et Hervé Forneri sont les vrais patronymes de Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Dick Rivers. Mais l'usage du pseudonyme n'est pas l'apanage du rockeur français des années 60. Les musiciens anglo-saxons se servent également très souvent de noms d'emprunts à des fins diverses et variées (protéger leur état civil et leur vie privé, se donner un nom de méchant qui colle à leur personnalité, faire une bonne blague qui dure entre vingt et trente ans, etc.). Quels sont donc les noms de scène de Christopher John Boyle, John Anthony Gillis et Michael Ryan Pritchard ?

    Bien évidement Sting n'est ni un nom ni un prénom puisque l'ancien chanteur-bassiste de Police s'appelle Gordon Sumner. L'état civil de David Bowie est David Robert Hayward Jones, celui de Bob Dylan est Robert Allen Zimmerman, quant à Steven Tyler le chanteur d'Aerosmith, sa famille le connaient mieux sous son  véritable nom : Steven Victor Tallarico. Les nom et prénom du bassiste de Kiss, Gene Simmons ressemblent a un pseudo : Chaim Witz. Quant à Bono et The Edge de U2, leurs véritables noms sont Paul David Hewson pour le chanteur et David Howell Evans pour le guitariste.

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  • Thierry Mugler lance WOMANITY

    http://www.influencia.net


    Inviter les femmes à vivre une expérience inédite, surprenante et ludique autour du thème de la féminité : le projet de Thierry Mugler est audacieux, car WOMANITY est...

    womanity.jpg

     ...pour l'instant un espace d'expression et d'échange sur le web, qui invite la gent féminine -mais aussi masculine - à donner sa définition de la WOMANITY, mot déposé par la marque, et à partager sa vision de ce que signifie être une femme aujourd'hui. Pas de parfum Womanity, pas d'eau de toilette Womanity, pas de maquillage WOMANITY ! « Le nom est trop fort pour le réduire à un produit », affirme Joël Palix, président de Clarins Fragrance Group. Osé !


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    par Isabelle Musnik

  • PEPSI change de nom

    www.influencia.net

    Florence Berthier 

    La langue espagnole n'est pas toujours simple...
    La marque de soda en joue et fait fi de son P.  

    Pepsi.jpgDécidément Pepsi Cola est joueur et ne cesse d'innover. Après sa «co-fusion»
    de logo réussie avec les baskets Gourmet (INfluencia du 4 février 2010), le voilà s'amusant - encore une fois - avec la prononciation locale de sa marque.

    Tout est parti d'une campagne menée en Argentine, en 2009,
    où  Fernando Torres, joueur de football, n'arrive pas à dire correctement le deuxième «P» de Pepsi, comme «24,333%»
    de ses compatriotes.

    Enervé après sa 189ème prise ratée, il arrache cette fameuse lettre
    de l'affiche placardée derrière lui et affirme avec fierté au réalisateur vociférant, que chez lui on dit : «Pecsi».

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  • Pepsi et Gourmet «co-fusionnent» leur logo


    Publié le 27 janvier 2010 par Florence Berthier 

    Inhabituel voire innovant : deux marques s'associent pour mieux courir après leur cible.  Un phénomène de "logofusion" des plus rares dans le monde du marketing... Affaire à suivre de très près...

    Pepsi et Gourmet, spécialisée dans la chaussure de sport, se sont associés - à l'initiative de la société conseil Epiphany - pour une édition spéciale de la basket Gourmet UNO. Jusque là rien d'exceptionnel, Emporio Armani et Reebok ont fait la même chose.

    Mais à la différence de ces deux dernières qui se sont contentées de juxtaposer leur nom, les deux marques ont eu l'originalité d'imbriquer leur logo au point d'en créer un, spécifique au modèle.

    actu_638_vignette.jpgEn effet, inscrite largement sur la languette de la chaussure, la marque Gourmet intègre bien un «O» mais sous la forme du fameux globe bleu-blanc-rouge de Pepsi. A part ce code chromatique, aucune autre mention écrite n'est faite.

    Toutefois, toute la chaussure -blanche et très sobre- reprend exactement les couleurs de la canette Pepsi  sur les coutures et les lacets. Destinée à être portée au printemps et en été -d'où l'association logique avec Pepsi, fabricant de boissons rafraîchissantes- elle a été conçue en toile de coton.

    A travers cette initiative, les deux marques créent du lien en impliquant leur clientèle respective et démontrent leur volonté d'aller d'une communauté à une autre. Et tout en s'appropriant les vertus de chacune, la fraîcheur pour Pepsi et la mode pour Gourmet, elles créent l'événement et se rejoignent habilement sur le thème de la reconnaissance sociale.

    Enfin, avec cette paire de baskets potentiellement «collector», c'est aussi l'occasion d'augmenter leur notoriété, d'élargir leur cible et de mener la vie dure à leurs concurrentes et à des  collections aussi très créatives, comme Adidas et Starwars récemment sorties.

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  • Na'vi, la langue d'Avatar

    www.lexpress.to


    Comment vous y prendriez-vous pour inventer une langue?

    Deux personnages du film de James Cameron, Avatar, pour qui une langue a été inventée

    Paul Frommer a étudié bien des langues. Anglophone d’origine, il a même parlé couramment l’hébreu, le perse et le malais. Mais il ne maîtrise pas encore la langue Na’vi. Et pourtant, il l’a inventée!

    Ce linguiste de l’école de commerce Marshall, en Californie du Sud, a été recruté par le cinéaste James Cameron pour inventer la langue des Na’vi, le peuple vedette de son prochain film Avatar.

    Pour choisir les sons parlés par les Na’vi, le linguiste est parti des lettres contenues dans les noms des personnages et des sons que James Cameron avait lui-même en tête.

    «Il voulait une langue fluide et musicale, raconte-t-il. J’ai donc ajouté à ces premiers sons des consonnes éjectives et d’autres sons courts et rebondissants comme ceux qu’on trouve dans les langues africaines ou amérindiennes. Et puis, j’ai inséré des combinaisons de sons étranges.» Comme dans fngap, le mot Na’vi pour métal.

    Des sons, des mots,une grammaire

    Ensuite, il a inventé les mots. «J’ai décidé de leur morphologie: comment se construisent-ils, comment se modifient-ils?» Si habituellement, la terminaison des verbes français se conjugue, les verbes Na’vi eux se conjuguent en leur milieu. Cette conjugaison interne existerait aussi aux Philippines.

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    navi-compendium-french.jpg

  • Azinat.com, ambassadeur du département.

    Sur Internet. Fière de l'Ariège, une équipe lance un label qui met en valeur les spécificités locales.

    www.LaDepeche.fr

    Lancé depuis quelques mois sur Internet, Azinat. com commence à marquer les esprits auprès des Ariégeois d'ici et d'ailleurs. On a pu découvrir le label lors de la nuit blanche du 09/09/09 organisée à Foix par le conseil général et l'Agence de développement touristique du département, lors de la remise des prix du Who's Who « les ambassadeurs de l'Ariège sur le Net ».

    200912270450_w350.jpg

    Certains en ont eu un aperçu sur un T-shirt noir moulant ou ample, ou encore au passage devant la vitrine d'un bar ou d'un restaurant à Foix, Ax-les-Thermes, Laroque d'Olmes, ou encore à Mirepoix. L'azinat est un plat typique des hautes vallées de l'Ariège qui s'accompagne de rouzolle.

    « Nous avons créé cette marque identitaire essentiellement pour valoriser l'idée qu'être Ariégeois d'origine ou de cœur est quelque chose de positif, offrir un peu de fierté d'être ariégeois chez les jeunes générations.

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  • Le changement de nom est un gadget

    Dimanche 27 décembre 2009

    www.nicematin.com

     

    Faut-il changer le nom de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) ?

     

    Le président du conseil régional, le socialiste Michel Vauzelle, a lancé une consultation auprès de la population qui a abouti à la sélection de sept noms (1). S'il était réélu, il a annoncé qu'il consulterait les habitants par référendum.

     

    Que pensez-vous de cette démarche ?

     

    C'est un gadget qui sert la communication tous azimuts de Michel Vauzelle alors que les habitants de la région ont des préoccupations plus importantes. Ils attendent qu'on leur parle de l'emploi, de l'aménagement du territoire, de la formation...

     

    Quel nom préférez-vous malgré tout ?

     

    Je considère que Provence-Alpes-Côte d'Azur résume bien ce que sont nos territoires. Les autres propositions font abstraction de la Côte d'Azur, le terme Méditerranée ne pouvant la remplacer car la réalité n'est pas la même à Marseille et à Nice. Le problème c'est l'abréviation Paca, qu'il vaut mieux ne pas utiliser.

     

    E.N.

     

    Les propositions de noms :

     

    Provence

    Pays de Provence

    Provence-Méditerranée

    Alpes-Méditerranée

    Alpes-Provence

    Provence-Alpes-Méditerannée

    Provence-Alpes-Côte d'Azur

     

    Le point de vue de Dominique Estrosi-Sassone, adjointe au maire de Nice et conseillère régionale sortante, n° 2 sur la liste majorité présidentielle dans les A.-M.

    Par Eric Neri (eneri@nicematin.fr) et avec la participation de nos agences locales.

     

  • Ces marques qui veulent la peau des hommes

    www.lesechos.fr

    Au rayon des produits de beauté, les antirides et anticernes destinés aux hommes pointent leur nez. Les marques mènent des recherches de plus en approfondies et lancent des innovations en cascade. Encore faut-il convaincre les mâles qu'ils en ont vraiment besoin...

    Si la banale mousse à raser ou les lotions après-rasage restent des produits indispensables pour les hommes, les crèmes anti-âge et autres contours des yeux, incontournables pour la majorité des femmes, commencent à coller aux moeurs masculines. Même s'il est difficile d'estimer avec précision ce marché encore naissant.

    Selon les derniers chiffres de la Fédération des entreprises de la beauté (Febea), le taux de pénétration des produits spécifiques à la peau mâle est passé, entre 1997 et 2007, de 0,9 à 2,4 % au rayon des soins cosmétiques en France. En attendant des données plus récentes qui ne seront pas disponibles avant début 2010, on peut considérer que leur poids actuel tourne autour de 5 %, compte tenu des nouveautés lancées en cascade ces deux dernières années.

    Il va sans dire que les marques déploient des trésors d'innovation pour séduire ce potentiel, en théorie énorme. Mais ça ne suffit pas. Car, contrairement à la gent féminine, toujours curieuse des dernières innovations cosmétiques, il faut vraiment pousser les hommes à tester un nouveau produit dont ils ne voient pas, a priori, l'utilité.

    « Pour les convaincre, nous devons être beaucoup plus pragmatiques et pédagogiques », souligne Morgane Jouot, chef de groupe de Nivea for Men, qui génère 27 millions d'euros par an pour les soins du visage - à comparer aux 258 millions d'euros des gammes du groupe destinées aux femmes. Lancé en 1989, son premier produit était un baume après-rasage hydratant suivi, deux ans plus tard, par la première crème de soin apaisante. « On s'est d'abord rattaché à la routine et à la gestuelle masculine, explique Morgane Jouot.

    Ensuite, notre offre s'est développée en adéquation avec l'évolution du comportement masculin. Aujourd'hui, on arrive à avoir des tendances presque simultanées chez l'homme et la femme. » Comme le premier contour des yeux sous forme de « roll-on » (principe similaire au déodorant à bille), que vient de lancer la marque du groupe allemand Beiersdorf.

    Différences biologiques

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  • Les marques françaises sauvées par le luxe

    Une petite nouvelle, Lancôme, et huit habituées dont un seul poids lourd : Louis Vuitton (16e). La relative faiblesse de la présence de la France dans le haut du panier traduit la difficulté de nos marques à devenir globales.

    Neuf sur 100. L'Hexagone parvient à placer neuf de ses fleurons dans le classement des cent marques les plus puissantes du monde. C'est bien. Sauf qu'une fois encore, ce sont les marques du luxe, les Louis Vuitton, Chanel, Hermès, Cartier et Lancôme — un nouvel entrant — qui défendent ses couleurs aux côtés de L'Oréal, Danone, Axa et Moët & Chandon. À noter que Hennessy, victime de la panne du secteur des boissons alcoolisées, notamment du marché asiatique du cognac, sort du classement.

    Faut-il en déduire, qu'en dehors le luxe, les grandes marques françaises peinent à acquérir un statut de marques milliardaires ? Non, bien sûr. La méthodologie de l'étude est sévère et exclut de facto celles qui n'ont pas encore pris pied sur au moins trois continents (voir entretien ci-contre). « Les marques ne naissent pas globales, elles le deviennent en suivant une courbe d'apprentissage », analyse Jean-Baptiste Danet, président d'Interbrand Europe.

    Reste que cette moindre représentativité traduit également certaines faiblesses. « Avant d'être des marques de poids, en chiffre d'affaires, nos grandes marques sont majoritairement des marques d'image. Par ailleurs, notre culture est encore très orientée vers le moyen de gamme. Nous créons donc moins de valeur, ce qui nous pénalise au niveau mondial », avance Georges Lewi, spécialiste des marques et directeur du BEC, Centre européen de la marque. Une culture du moyen de gamme doublée d'une timidité certaine en matière de diversification, il n'en faut guère plus pour limiter l'envol des prétendantes à la globalisation. « Les marques françaises semblent ne pas avoir compris que le monde est entré dans une logique « obamanienne » où le mouvement crée le succès. Elles pensent encore que le public leur en voudra si elles font des bêtises, alors que c'est l'inaction qui est sanctionnée », insiste l'expert en branding.

    L'extension fait peur

    Timorées, voire frileuses, les marques françaises, à l'inverse d'Apple, n'osent pas encore se lancer dans des politiques d'extension qui leur permettraient pourtant d'aborder de nouveaux marchés avec une certaine légitimité. Un exercice dans lequel excellent L'Oréal ou encore Danone dont les résultats, en cette année de crise, sont plus qu'honorables. Avec une progression de sa valeur de 10 %, Danone, malgré ses déboires chinois et son conflit avec son ex-partenaire Wahaha, fait ainsi partie des rares marques dont la valeur progresse de plus de 10 %.

    R. M.

  • best global brands Interbrand 2009 ranking

  • Un norvégien adopte un nom de 62 lettres

    www.nouvelobs.com

    Andreas
    Jankov, un fan de cinéma norvégien, porte maintenant le nom de Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov.

    U
    n norvégien, Andreas Jankov, a choisi de changer de nom, d'après le huffingtonpost. Mais ce chauffeur de bus fan de cinéma n'a pas fait dans la simplicité.

    Son nouveau nom officiel est maintenant Julius Andreas Gimli Arn MacGyver Chewbacka Highlander Elessar-Jankov. Ce patronyme fait référence à plusieurs films et personnages.

    Du Seigneur des Anneaux à MacGyver

    Julius est le nom d'un chimpanzé célèbre du zoo de Kristiansand, en Norvège.

    Gimli fait référence à l'un des personnages principaux du Seigneur des Anneaux, un nain.

    Arn est un film de chevaliers célèbre dans le pays.

    MacGyver fait bien sur référence au personnage de la série éponyme incarné par Richard Dean Anderson.

    Chewbacka est un hommage au compagnon poilu de Han Solo dans Star wars.

    Highlander se rapporte au film américain de Russell Mulcahy retraçant l'histoire d'immortels s'entretuant et Elessar est une autre référence au Seigneur des Anneaux.

    "Je réfléchissais à ce nom depuis trois ans et il a été approuvé en janvier", a-t-il déclaré. Apparement, il a du laisser de côté "highlander" pour sa carte de crédit et son passeport car sinon son nom aurait été trop long. Le patronyme comporte tout de même 62 lettres

  • "Les extensions personnalisées permettront aux grandes marques d’architecturer la visibilité de leurs sites"

     

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    2ème interview sur les créateurs de marques. Notre invitée : Marie Pastelot, fondatrice et directrice de Nalian, société spécialisée dans la création de marques.

    Pour créer une marque chez Nalian, vous travaillez par territoires d’évocation ? Pouvez-vous nous expliquer comment fonctionne ce principe ?

    Lire la suite de l'interview

     

     

  • Paris en tête d'un sondage sur l'image de marque des villes

    www.lexpress.fr

    SINGAPOUR - Paris se classe en tête d'un sondage publié mercredi sur l'image de marque de 50 grandes villes, devant Sydney et Londres.

    L'indice CBI de l'institut Anholt-GfK Roper "mesure la perception de chaque ville, qui influence les choix sur les endroits où vivre, travailler et partir en vacances", explique son fondateur Simon Anholt.

    2009-06-17T060142Z_01_APAE55G0GQV00_RTROPTP_3_OFRTP-VILLES-SONDAGE-20090617.JPGIl a été calculé en interrogeant près de 10.000 personnes dans vingt pays en fonction de six catégories comme la notoriété, l'environnement, l'intérêt du style de vie ou la possibilité de trouver un emploi ou une école.

    "Alors que Sydney se classe première dans trois catégories, c'est la forte avance de Paris sur Sydney en termes de notoriété et d'animation qui la place en première position", explique le responsable de l'enquête, Xiaoyan Zhao.

    Les dix premières villes sont dans l'ordre Paris, Sydney, Londres, Rome, New York, Barcelone, San Francisco, Los Angeles, Vienne et Madrid. En queue de peloton, on retrouve le port saoudien de Djeddah, Bombay ou Le Caire.